samedi 15 novembre 2014

SAPIN LE PESSIMISTE EST CAPABLE DE NOUS POUSSER UN COCORICO!


Michel Sapin a estimé que la prévision gouvernementale se trouvait "confortée" après l'annonce des chiffres du troisième trimestre(le visage satisfait et jovial d'un parfait incapable!)

Croissance : la France fait (un peu) mieux que prévu


Au troisième trimestre, le pays enregistre une croissance de 0,3 % par rapport au deuxième, selon les premières estimations de l'Insee.

La France a affiché au troisième trimestre une croissance de 0,3 % par rapport au deuxième, selon la première estimation publiée vendredi par l'Insee, un peu meilleure que prévu. La Banque de France, par exemple, n'attendait que 0,2 % et la plupart des économistes étaient encore plus pessimistes. L'Institut national de la statistique et des études économiques a par contre revu à la baisse la performance économique française de l'été en annonçant que le produit intérieur brut au deuxième trimestre avait baissé de 0,1 %. La première estimation avait fait état d'une stagnation.
Le ministre des Finances, Michel Sapin, a estimé dans un communiqué que la prévision gouvernementale d'une croissance française de 0,4 % en 2014 se trouvait "confortée" après l'annonce des chiffres du troisième trimestre. Il a toutefois jugé que l'activité restait "trop faible" pour créer des emplois. L'économie au troisième trimestre en France a été soutenue par les dépenses de consommation des ménages, qui ont continué à progresser, quoique moins vite qu'au deuxième trimestre (+ 0,2 % contre + 0,3 %), et surtout par les dépenses de consommation des administrations publiques, qui ont grimpé de 0,8 % cet été.

Bal de la publication

L'investissement, public comme privé, a une nouvelle fois reculé (- 0,6 %). Dans le détail, l'investissement des entreprises a certes de nouveau fléchi, mais moins fortement que lors des trimestres précédents : - 0,1 % contre - 0,5 % au printemps et - 0,6 % au premier trimestre. Mais l'investissement des ménages, c'est-à-dire essentiellement l'achat de logements, a, lui, reculé de 1,7 % au troisième trimestre, tandis que celui des administrations publiques a baissé de 1,2 %, le plus fort recul observé depuis le début de l'année.
La contribution du commerce extérieur à l'évolution du PIB a été négative (- 0,2 point), comme c'est le cas chaque trimestre depuis le début de l'année, en raison d'importations qui progressent plus vite que les exportations. La France a ouvert le bal de la publication des chiffres de la croissance vendredi ; elle doit être suivie de l'Allemagne puis de la zone euro dans son ensemble.

Le fait est que ce "pouième" d'embellie provisoire ne représente rien qui ne change la situation de la France et le quotidien de nos concitoyens!

Estimation pour ce faire plaisir au niveau gouvernemental et à F.Hollande pour aborder une fin d'année morose et préparer ces vœux de nouvel an que personne ne croira!

jdeclef 14/11/2014

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