lundi 3 novembre 2014

NOTRE PAYS PAR L'INERTIE D'UN PRÉSIDENT ET DE SA POLITIQUE BORNÉE DEVIENT INGOUVERNABLE ET LA CONTESTATION DESCEND DANS LA RUE AVEC SES EXCÈS VIOLENTS !


Des incidents ont émaillé la manifestation interdite à Stalingrad le 2 novembre, en soutien à la mort de Rémi Fraisse

Les gendarmes ont utilisé la lacrymogène pour empêcher quelques manifestants de forcer un barrage…

VIDEO. Manifestation à Stalingrad en mémoire de Rémi Fraisse: «La moindre des choses, c'était de braver l'interdiction»


«La moindre des choses, c’était de braver l’interdiction», répète Jean, 37 ans. Ce dernier a refusé de se rendre au rassemblement silencieux devant le mur de la paix en mémoire de Rémi Fraisse, tué il y a une semaine sur le barrage de Sivens (Tarn), sans doute à cause d’une grenade offensive lancée par un gendarme mobile. «Là-bas, c’est ambiance bobo. Y aller, c’est refuser le rapport de force», soutient-il, au milieu d’une foule de 300 personnes, rassemblées ce dimanche après-midi place Stalingrad, à Paris.
Ce rassemblement, pourtant interdit par la préfecture de police, a bien eu lieu, après des appels sur les réseaux sociaux et forums. Officiellement, le NPA et le collectif Notre-Dame-des-Landes d'Ile-de-France ont retiré leur participation à cette mobilisation, prévue pour 15h. Depuis plusieurs heures, déjà, les CRS avaient encerclé le lieu et filtré les allées et venues des passants, fouillant leurs sacs et leurs poches à la recherche d’objets susceptibles de devenir des armes en cas d’affrontement. En tout, 78 personnes ont été interpellées, la plupart bien en amont de la place Stalingrad. «On est parti de Montreuil. Les flics en civil nous ont suivis et ont arrêté plusieurs d’entre nous, ceux qui avaient des banderoles», raconte un manifestant.
Une source policière a précisé que certains d’entre eux étaient munis de «marteaux, pinces, casques, poings américains, des pétards et des engins incendiaires».

«Liberté, liberté!»

Pourtant, sur la place de la Rotonde, face au Canal de l’Ourcq, ce sont des œufs qui font figure de projectiles déployés à terre devant une pancarte: «Allez-vous faire cuire un keuf». Provocation immédiatement embarquée par les CRS, sous les huées, aux cris de «Liberté, liberté!»
«Une voiture qui brûle, un patron séquestré, une occupation de la CAF, une bouteille d’eau jetée, un fauchage d’OGM, une réquisition de logement vide sont autant d’actes de révolte et de colère légitimes», scande un jeune homme qui se présente comme porte-parole de «l’assemblée de lutte pour Rémi». Son discours est clairement adressé aux forces de l’ordre. «Lorsqu’ils tuent l’un d’entre nous, ils nous disent que notre vie n’a aucune valeur. Prouvons-leur que prendre une de nos vies leur coûtera très cher», poursuit-il.

Il n'est plus possible de devoir supporter de telles manifestations récurrentes contre n'importe quels projets quels qu'ils soient!


Sous prétexte qu'ils déplaisent à une partie de notre société française qui doit subir en plus la crise qui perdure!

Parallèlement il est totalement insupportable à tous citoyens normaux de devoir souffrir des exactions, vandalismes, violences de groupes extrémistes qui ne sont là que pour détruire ou se confronter aux forces de l'ordre comme dans un jeu vidéo pervers qu'ils transposent dans la réalité sur le terrain!


Et qui sont là que pour çà seulement, sans s’intéresser au sujet qui a déclenché ces manifestations!

Il faut réprimer avec une extrême rigueur ces extrémistes violents et les sanctionner très sévèrement sans quoi à terme ce sera invivable!

Il faut organiser des referendums nationaux ou locaux sur ce type de sujets de sociétés ou d’aménagement et travaux du territoire (et en respecter le résultat après)


Il faut plus de démocratie participative pour laisser enfin la parole aux français et leur donner la possibilité de choisir sur des sujets qui les concerne directement!

Il faut cesser de subir comme "des moutons bêlants" les directives issues d'un pouvoir central représenté par un seul homme le président et son 1er ministre et son gouvernement inféodé, le tout assujetti à une assemblée dont le parti majoritaire suit le pouvoir en place sans s'occuper des aspirations et désirs des français!


Sans quoi ces types de manifestations et les violences condamnables induites perdurerons en s’amplifiant et la France tombera dans l'anarchie!


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