jeudi 27 avril 2023

C’est curieux ces 1ers ministres de tous bords qui veulent servir de larbins interchangeables à nos présidents qui se prennent pour des pseudo monarque de l’ancien régime mais qui montre que les Français incurables élisent et réélisent ces présidents de plus en plus nuls au fil des quinquennats et + de 40 ans !?

 

« Cent jours » : la mission impossible d’Élisabeth Borne ?!

ÉDITO. La Première ministre a dévoilé ce mercredi une nouvelle feuille de route à la demande d’Emmanuel Macron. Un sursis pour un sursaut ?

En fait la place de 1er ministre doit être bonne car elle ne dure pas longtemps et les reproches leur glisse sur le dos comme les plumes d’un canard il suffit d’être un collaborateur inféodé servile à son patron car de toute façon c’est notre président pseudo monarque qui décide de tout dans cette Vème république monarchique usée obsolète faite pour eux !?

ET POUR LES FRANCAIS ILS N’ONT QUE CE QU’ILS MERITENT CAR ILS VOTENT (MAL) EN PRINCIPE POUR LE PRESIDENT QUI LUI CHOISI SON 1ER MINISTRE ?!

Premier ministre n'a jamais été un métier facile. « Le poste est invivable », disait Georges Pompidou, qui l'a occupé six ans et trois mois. Il précisait : « Tout le monde vous tape dessus : le Parlement, le pays, vos amis, le président. Même un Machiavel y craque, même saint François d'Assise. » Élisabeth Borne n'est ni l'un ni l'autre, mais elle fait ce qu'elle peut. En la priant de présenter ce mercredi au pays – et surtout à lui-même – un programme législatif reconfiguré jusqu'à l'été, Emmanuel Macron lui a offert un sursis pour l'appeler au sursaut. Il a surtout déclenché un compte à rebours.

Dans son allocution de la semaine dernière, le président – cela a été remarqué – n'a pas cité le nom de la Première ministre mais il a pris date : un bilan d'étape devra être tiré dès le 14 juillet des initiatives qu'elle et son gouvernement auront engagées. C'est à ce propos que Macron a évoqué « cent jours d'apaisement, d'unité, d'ambition et d'action ». Il en a, certes, tracé les grandes directions (la santé et l'école, l'ordre républicain, la vie au travail, la transition écologique), mais il a laissé le soin à Élisabeth Borne de préciser les détails, c'est-à-dire l'essentiel. C'est donc elle qui sera jugée à la fin. En attendant, la voilà déjà condamnée à cent jours d'inquiétude.

À Matignon, Élisabeth Borne fait de la résistanceLui a-t-il confié une mission impossible ? Ça y ressemble. Opiniâtre et disciplinée, l'intéressée s'est mise à la tâche et a mobilisé ses ministres – y compris, dit-on, quelques-uns dont elle avait oublié l'existence. Mais aussi fortes soient ses annonces, il y a fort à parier qu'elles ne suffiront pas à convaincre que le pays se transforme ni que les problèmes se règlent – sur le niveau scolaire, la crise de l'hôpital ou la maîtrise de l'immigration, comment amorcer en trois mois ce qui tarde depuis tant d'années ? La magie de Noël ne se résume pas au calendrier de l'avent. Et quelques mesures catégorielles, si elles peuvent aider à faire bouillir la marmite, ne couvriront pas les bruits de casseroles.

Un manque de soutiens, plus que d'idées

De fait, rien ne sert de lancer des chantiers si l'on ne sait comment les mener à bien. Or ce n'est pas d'idées que manque ce pouvoir, mais de soutiens. Le 21 mars, Macron invitait déjà sa Première ministre à « élargir » la majorité relative à l'Assemblée, avec ce post-scriptum qui semblait autant un avertissement qu'un encouragement : « J'espère qu'elle y parviendra. » Elle n'y est pas parvenue, faute de partenaires disponibles – et raisonnables. Durant les cent jours de rabe qu'il lui a octroyés, elle a peu de chances d'y arriver davantage, pour la même raison (d'autant que, si l'on refait les comptes, les cent jours n'en sont que quatre-vingt-huit).

La « méthode Borne », censée être la panacée du dialogue constructif pour convaincre des opposants récalcitrants, a montré ses limites. À l'avenir, elle risque fort de consister en de petites négociations à hue et à dia – ce qu'elle appelle des « majorités de projet » – avec ce qu'il reste d'esprits sains dans l'Hémicycle, surtout si la dame de Matignon veut tenir sa promesse de ne plus recourir au 49.3 en dehors des textes budgétaires…

Ce serment, on le sait, a laissé Macron pantois (et même un peu plus). Venue de la technocratie de gauche, Élisabeth Borne n'a-t-elle pas lu Thucydide, qu'aimait à citer Mitterrand ? « Tout homme tend à aller jusqu'au bout de son pouvoir », prophétisait le stratège athénien. La Première ministre, à l'inverse, a décidé seule de rétrécir ses pouvoirs, ce qui revient à se couper un bras sur un coup de tête. Ce faisant, elle s'est exposée au risque de l'impuissance tout en alimentant le procès (injuste) fait au pouvoir de brutaliser les institutions. Même si l'affaire des retraites avait laissé Macron de bonne humeur, il y avait de quoi l'agacer.

Erreurs de calcul et de casting

Depuis lors, le couple exécutif semble faire chambre à part : Matignon se coltine l'Assemblée, Macron s'intéresse au Sénat. Au Palais-Bourbon règne le désordre, au Luxembourg se dessinent – peut-être – des possibles concordes. La réforme des retraites l'a montré, c'est avec la droite modérée et elle seule que le président peut pactiser, puisqu'il n'y a plus de gauche modérée. Cette équation-là, aussi matheuse soit-elle, Élisabeth Borne n'a pas su la résoudre. Dès lors, se pose la question de savoir ce qu'elle apporte à celui qui l'a nommée, car c'est le seul critère qui conditionne la longévité d'un chef de gouvernement.

Édouard Philippe incarnait le dépassement des clivages par le haut, puisqu'il venait des Républicains, tendance Juppé. Jean Castex personnifiait la proximité, avec sa simplicité bonhomme, son mandat local et son accent chantant. Élisabeth Borne, elle, devait illustrer le recentrage vers la gauche, pour honorer le barrage dressé face à Marine Le Pen au second tour de 2022. La base électorale du macronisme penchant à droite, elle s'est retrouvée en porte-à-faux. Une erreur de calcul a conduit à une erreur de casting.

« Ton gouvernement, c'est cata » : Macron vers un remaniement forcé ? Est-elle condamnée pour autant ? Non. Son meilleur atout reste la propension présidentielle à la procrastination, et il faut admettre qu'aucune solution évidente ne s'offre pour la remplacer au pied levé à Matignon avec de meilleures chances de succès. Là est peut-être la vraie explication du mystère des cent jours : c'est le temps que Macron se donne pour trouver mieux.

Mme BORNE une 1ere ministre politicienne semblant compétente à la vue de l’interview qu’elle a accordée à France 2 à Télé MATIN et qui a bien répondu aux questions posées pertinentes de son interlocuteur !?

Son programme à réaliser en 100 jours est trop court et mission impossible donnée par le président et cette Dame a commis l’erreur de se faire harponner en acceptant sa nomination comme 1ere ministre alors que ce président qui ne respecte rien ni elle que ce soit la France ou les Français avait usé déjà deux 1ers ministres lors de son 1er quinquennat !?

Qu’elle soit là ou change si elle n’arrive à rien il la jettera comme un kleenex usagé et si elle obtient peu de résultats probants il se les attribuera !?

Président qui n’a rien fait lors de sa 1ere mandature sauf de jeter les Français dans la rue en 2018 alors qu’à peine élu en 2017 avec les colères manifestations diverses voire violentes ou grèves etc.

Citoyens qui l’ont réélu par défaut perdus craignant le lendemain en leur faisant peur par l’émergence des extrémistes de gauche ou droite avec l’alibi sanitaire de cette Covid toujours présente mal gérée et cette guerre en UKRAINE avec ses bavardages creux que ce dictateur Russe dérangé n’a même pas écouté sans compter les crises internationales économiques induites inflationnistes énergétiques dont les Français souffrent (mais pas encore assez semble-t-il ?)

On aura peut-être en juillet un(e) premier ministre nouveau car il a annoncé en juin une baisse des prix des denrées alimentaires pour JUIN ?!

Mais quand on voit ses promesses ou prédictions fumeuses les Français qui l’ont réélu sans réfléchir paierons l’addition qui n’est pas complète et en plus ce faux monarque veut faire les JO de 2024 un autre gouffre financier sans fond réservé à des riches pouvant s’offrir des places très onéreuses lors de la cérémonie d’ouverture à PARIS et une insécurité quotidienne qui n’est déjà pas maitrisée il leur restera la télé !?

Jdeclef 27/04/2023 11h04

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