vendredi 14 avril 2023

Ce président frais moulu de 2017 n’est pas à la hauteur de la fonction présidentielle et s’il s’en rend compte c’est déjà un progrès faut-il pour cela qu’il oubli son orgueil démesuré commun à ceux qui deviennent présidents dans notre république qui les transforme en monarques sans couronne !?

 

Emmanuel Macron a-t-il encore envie d’être président ?

Dans Les Sans Jours, Ludovic Vigogne relate les premières semaines du second mandat d’un chef de l’État qui semble avoir perdu la flamme.

Qu’il ne se retienne pas une majorité de Français veulent le changement depuis + de 40 ans et notamment son départ car son arrivé en 2017 n’a rien arrangé mais a fait pire en rabaissant la France et surtout les Français qu’il dédaigne alors qu’il n’arrive pas à la cheville de certains bien plus performants et courageux que lui !?

C’est un président étrange, pour le moins contrarié, que la plume affûtée du journaliste politique Ludovic Vigogne donne à voir. Dans Les Sans Jours (éditions Bouquins), l'auteur retrace avec force détails les premiers moments du second quinquennat d'Emmanuel Macron. Ce « mandat nouveau » que le président avait proclamé lors de sa cérémonie d'investiture.

Las, entre la nomination d'Élisabeth Borne à Matignon alors qu'il avait envisagé le poste pour Catherine Vautrin, un revers qu'il n'avait pas vu venir aux élections législatives, un écosystème renouvelé au Parlement contre son gré, son échec à imposer une structuration unitaire de sa majorité, les luttes d'influences et guerres intestines dans son camp, c'est tout le système Macron qui s'est enrayé en quelques semaines, entre le 24 avril, jour de la victoire sans euphorie, jusqu'au long séjour estival du couple présidentiel au Fort de Brégançon, durant les trois premières semaines d'août. « Les “cent jours”, c'est ainsi qu'il est de tradition de dénommer la période qui suit l'élection du chef de l'État. Pour Emmanuel Macron, cela a été des jours sans. Des sans jours », écrit Ludovic Vigogne.

Les indiscrets – Les secrets du passage à vide de MacronEntre « erreurs stratégiques » et « turbulences intérieures » d'un jeune chef de l'État qui vient d'accomplir l'exploit sous la Ve République d'être réélu sans en passer par une période de cohabitation, l'auteur, journaliste à L'Opinion, plonge le lecteur au cœur d'un pouvoir déboussolé, usé. Une fin de règne avant l'heure. Un récit captivant, d'autant plus édifiant au moment où, en pleine crise des retraites et comme au lendemain du fiasco des législatives, le temps semble à nouveau suspendu au sommet de l'État.

Je n’ai plus d’ego. J’ai été réélu. Ce qui m’intéresse, ce sont les réformes.Emmanuel Macron

Emmanuel Macron avait-il vraiment envie de remporter l'élection présidentielle ? Désire-t-il encore présider le pays ? Les Sans Jours jettent une lumière crue sur ces questionnements qui pèsent sur la première année de cette seconde présidence du fondateur d'En Marche !. En plus d'un flottement permanent, une impression de fragilité, inhabituelle chez Emmanuel Macron, s'est installée sur sa gouvernance.

La nomination ratée de Catherine Vautrin

« Je n'ai plus d'ego. J'ai été réélu. Ce qui m'intéresse, ce sont les réformes », a pourtant fait savoir le président lorsqu'il a reçu Catherine Vautrin à déjeuner au palais de l'Élysée. Nous sommes le jeudi 12 mai. Dix-huit jours après son sinistre sacre célébré à la va-vite au Champ-de-Mars, Emmanuel Macron convie la présidente de la métropole de Reims, ancienne ministre de Jacques Chirac. L'affaire est entendue : le président et sa future Première ministre devisent sur l'architecture gouvernementale, la nomination de son cabinet à Matignon. Le samedi 14 mai, Jean Castex l'accueille à son tour en toute discrétion à son domicile parisien pour ce qui s'apparente à une passation informelle de pouvoirs.

Le lundi 16 mai, Élisabeth Borne est finalement nommée. « Tel Jacques Chirac, qui vit Dominique de Villepin s'imposer à Matignon en lieu et place de Michèle Alliot-Marie qu'il avait initialement choisie, Emmanuel Macron s'est fait tordre le bras », compare Ludovic Vigogne. « Le jeudi, il s'apprêtait à désigner une élue de terrain venue de la droite comme Première ministre. Le lundi, ce sera une techno issue de la gauche. » Si l'épisode est connu, jamais le retournement présidentiel n'avait été si finement et précisément raconté. Un changement de pied qui continue aujourd'hui de désarçonner les plus proches du chef de l'État, qui y voient le point de départ d'un mandat mal-né. Et le symbole d'une autorité pour la première fois défiée, une partie de sa garde rapprochée ayant fait activement obstacle à la nomination de la sarkozyste.

Emmanuel Macron, le scepticisme jusque dans son campDurant ces trois semaines de tergiversations et de procrastination, Jean Castex n'a pourtant qu'une envie, celle de partir, et le plus rapidement possible. Pour éviter un faux plat à l'approche des élections législatives, certains conseillent à Emmanuel Macron de dissoudre l'Assemblée, de lancer une grande loi, de convoquer le Congrès de Versailles… Il n'en sera rien. Une sensation de vide s'installe. « Est-ce que ce début de mandat l'excite vraiment ? Dans ces premières semaines, Emmanuel Macron refait ce qu'il a déjà fait », note Ludovic Vigogne. On apprend que la dirigeante de la Banque centrale européenne, Christine Lagarde, a refusé le Quai d'Orsay, malgré l'entremise de Nicolas Sarkozy. Le même Nicolas Sarkozy, que l'on retrouve au fil des pages des Sans Jours estomaqué par le degré d'impréparation de ce début de second mandat. « En ayant choisi d'étirer le temps au maximum, le président n'avait mis aucun souffle dans ses premières semaines au pouvoir, alors que sa reconduction n'en avait déjà pas insufflé », écrit l'auteur, selon qui la majorité relative sortie des urnes en juin n'est que le « résultat d'une entame ratée qui resterait sa faute originelle ».

Emmanuel Macron, de l'isolement à l'impuissanceL'enquête Les Sans Jours révèle aussi les dysfonctionnements, guerres de clan et rivalités qui minent le premier cercle d'Emmanuel Macron. Des tensions, des relations ambivalentes avec de potentiels successeurs comme Édouard Philippe et Bruno Le Maire qui continuent de dérégler l'horloge du pouvoir. Et, au fond, les doutes qui gagnent petit à petit les plus fidèles du président, déstabilisés par ce passage à vide… Et l'absence de sens.

Quand on veut être président de la république dans une démocratie à la Française il faut en avoir l’étoffe par une expérience de la politique de notre pays et de ses politiciens de tous bords élus que ce soit des ex députés ou sénateurs voir des leaders de partis ringards anachroniques de cette VEME REPUBLIQUE usée devenue monarchique pourtant souvent médiocres dont beaucoup tirent la couverture à eux pour profiter des multiples avantages et privilèges dont ils sont dotés car accordés par les Français lambda qui votent mal mais qui donnent en plus trop de pouvoir presque absolu au présidents élus et c’est là que le bas blesse pendant leurs quinquennats !?

Avec ce président petit bourgeois parvenu, arrivé là comme « un cheveu sur la soupe » par opportunisme par la défection son prédécesseur et qui faisait partie de son ex gouvernement en plus ce qui a piégé facilement une partie de Français lambda en plus qui a tiré au sort ses députés pour constituer son gouvernement fantôme « d’en marche » ?!

Le problème a été bien qu’élu en 2017 il a déjà été confronté aux mécontentements de nombreux français lambda avec en 2018 les évènements de gilets jaunes et manifestations diverses ou grèves induites qui ont perdurée jusqu’à maintenant car ayant été réélu par des français naïfs ayant peur du lendemain qui l’ont réélu car il a agité l’épouvantail de l’extrême droite de M.LE PEN et autres extrémistes de gauche mélenchonistes !?

Mais ce Mr bon chic bon genre est d’une incompétence remarquable en politique intérieure et internationale qui tire la France vers le fond car il a tout raté et s’il n’a plus envie d’être président qu’il s’en aille il ne sert à rien et là une majorité les Français le remercieront car ses discours alambiqués ou sa procrastination teintée de donneur de leçon bienpensant devient plus qu’indigeste !?

Qu’il dissolve l’assemblée change de gouvernement de 1er ministre au mieux et en passant la main svp !?

Jdeclef 14/04/2023 15h22


1 commentaire:

  1. Naturellement dire que notre président est nul ou incompétent ce n'est pas permis par les modérateurs du Point bornés et sa rédaction inféodée au pouvoir qu'il exerce en ne respectant pas en plus la liberté d'expression soi-disant libre dans notre constitution de cette V eme république Gaulienne de 65 ans digne d'un mise à la retraite qui fait justement la une de ses reformes de cette pauvre FRANCE que comme moi j'aime mais qui se dégrade à cause de ses dirigeants de tous bords qui ne valent pas tripette se moquant du peuple Français si naïfs ne pensant qu'à eux !

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