Rien n’est à attendre de ce conseil constitutionnel de soi-disant sages anciens politiciens gâtés élus de tous bords ce n’est qu’un épouvantail à moineaux pour faire durer un suspense qui n’existe même pas !?

 

Coignard – Réforme des retraites : l’interminable feuilleton

CHRONIQUE. La séquence doit se clore aujourd’hui, et le président, relancer son mandat dans les jours qui viennent. À moins qu’un autre scénario se dessine…

LE PRESIDENT JOUE L’USURE ET A DE LA PATIENCE RIVEE AU CORP ET CROIT EN SA BONNE ETOILE PEUT ETRE TERNIE MAIS PAS ETEINTE LOIN DELA, GRACE A DES FRANÇAIS QUI NE SOUFFRENT PAS ENCORE ASSEZ !?

Ce Monsieur petit bourgeois a tout raté depuis 2017 alors il veut réussir gonflé par son orgueil démesuré cette reforme des retraites même si elle ne plait pas à une majorité de Français (tant pis pour notre démocratie battue en brèche !?)

Jamais le Conseil constitutionnel n'a suscité autant de passion, autant d'attention que durant ces dernières semaines. Le suspense est à son comble ce vendredi, jour où les Sages vont révéler leur décision. Mais derrière celle-ci, qui concerne la validation de la réforme des retraites, se profile celle qui concerne le RIP, le référendum d'initiative partagée.

Il ne s'agit pas d'un sujet accessoire, car le feu vert éventuel donné au recueil des 4,8 millions de signatures nécessaires pour que cette initiative parvienne à son terme ouvrirait une nouvelle période d'incertitude et de débats. Même promulguée, la loi sur les retraites continuerait d'être menacée par cette procédure. La « relance » des réformes annoncée par l'exécutif devrait se dérouler tandis que le compte à rebours, et le décompte des signatures, retiendrait l'attention, plus ou moins soutenue, de l'opinion publique. Alors même que la mobilisation contre la loi a encore faibli hier, alors que le patron de la CFDT, Laurent Berger, a redit qu'il n'entendait pas poursuivre la contestation sous sa forme actuelle en cas de non-censure du Conseil constitutionnel, ce vendredi n'est donc pas forcément le jour du grand dénouement.

Conseil constitutionnel : qui sont les 9 Sages qui vont se prononcer sur la réforme des retraites

Un festival de maladresses

Emmanuel Macron, deux fois candidat à la présidentielle, deux fois vainqueur, a fait de la réforme des retraites un thème majeur de chacune de ses deux campagnes. En 2017, il entendait modifier le système de fond en comble. Son projet ambitieux et séduisant, porteur d'espoir et d'égalité, bénéficiait du soutien de la CFDT. Une bonne dose de procrastination, assortie d'une incapacité – déjà ! – à exposer clairement la réforme, aggravée par l'ajout par le Premier ministre de l'époque, Édouard Philippe, d'une mesure d'âge qui a brisé sa singularité, a eu raison de ce grand dessein. Le texte a été voté, certes, mais il a été ajourné, pour cause de pandémie, puis enterré.

Référendum d'initiative partagée, mode d'emploi (usine à gaz si difficile à mettre en place voire presque impossible !)

En 2022, le président a sorti de son chapeau la retraite à 65 ans. L'antithèse de ce qu'il avait défendu cinq ans plus tôt. L'exercice était périlleux, mais le chef de l'État réélu en a fait sans ciller l'acte fondateur de son second mandat. Celui qui allait donner le ton de la suite. Las ! Un festival de maladresses s'est organisé, dans lequel on retiendra, comme une prouesse, les propos d'un sénateur de son premier carré de fidèles, expliquant doctement que la pénibilité n'était plus la même que par le passé pour les déménageurs ou les couvreurs parce qu'ils pouvaient désormais être équipés d'exosquelettes ! On en rirait presque encore si le sujet n'était pas si important pour l'avenir du pays.

Cela fait donc désormais six ans que la France vit avec le feuilleton des retraites, sans que l'exécutif parvienne à y accrocher le mot « fin ». Et ce n'est peut-être pas fini.

Ce mauvais feuilleton sur la reforme des retraites n’est pas encore fini et le président à qui ces français ont donné ce trop de pouvoir grâce à cette Vème république usée obsolète et monarchique faite pour ces politiciens et partis politiques ringards dont les leaders ne pensent qu’à eux qui s’époumonent en pure perte car divisés et ses Français qui râlent leur principal défaut !?

Car privilégiant leur petits « chacun pour soi » en fait avalant tout et ce même avant  la réélection qu’ils ont faite de ce petit bourgeois opportuniste « cerise sur ce gâteau empoisonné » ce qui n’a rien changé même pire a aggravé la situation de la France qui régresse même à l’international ou ce Monsieur si orgueilleux se pavane dans sont jet privé offert par la France donc des Français même riches à qui on voulait les supprimer car trop polluant en pérorant voulant donner des leçons aux autres qui en plus déclenche un tollé général de ceux qu’il vise !?

Donc résumons pour nos concitoyens pour cette réforme de retraites « les carottes sont cuites » car ce n’est pas le conseil constitutionnel qui peut l’empêcher artifice qui fait patienter ce président pas pressé champion de la procrastination maladive car sur d’enfoncer la porte que bien de français niais lui ont ouverte et qui donc le mérite !?

Je suis âgé ayant connus tous les présidents de la Vème république de GAULLE y compris (qu’il voudrait en plus imiter) le summum de ce qu’on peut faire de pire dans notre démocratie qui s’effrite chaque jour je ne sais pas si je verrais 2027 mais je plains le peuple et la France que ce Mr traite si mal ?!

C’est inconcevable de la part de nos institutions kafkaïennes étatiques et surtout des Français lambda qui ne réfléchissent plus qui se laisse manœuvrer de cette façon par un président « monarque » qui n’est pas de leur monde et qui en plus les dédaigne ouvertement se moquant d’eux !?

Retour en arrière digne de l’ancien régime !?

jdeclef 14/04/2023 11h36