lundi 24 avril 2023


 

Un an après sa réélection, Emmanuel Macron espère un nouveau départ (ah bon parce qu'il y en avait eu un "VRAI" départ..?!)

Un an jour pour jour après l'obtention d'un second mandat, le 24 avril 2022, Emmanuel Macron sort fragilisé par le passage de la réforme des retraites.

On a élu un président incompétent narcissique et procrastinateur mais nous avons aussi des Français aussi nuls que lui car ils l’ont réélu jusqu’en 2027 donc ils ont ce qu’ils méritent bien que se ne soit pas la majorité d’entre grâce eux pièges des méandres électoraux de cette Vème république faites pour nos politiciens élus de tous bords qui ne profitent qu’à eux !?

 Un premier anniversaire de réélection entaché par une tempête politique. En décrétant une drôle de période de cent jours pour se relancer, après la très critiquée réforme des retraites, Emmanuel Macron a ainsi acté l'impasse politique dont il peine à s'extirper. Retour sur les dates marquantes de la première année du second quinquennat du chef de l'État.

24 avril 2022 : un bis repetita face à Marine Le Pen

Le 24 avril 2022, Emmanuel Macron était réélu à 44 ans, battant au second tour de la présidentielle Marine Le Pen, comme cinq ans plus tôt. Mais avec 41,45 % des suffrages, la candidate du Rassemblement national obtient un score historique face au chef de l'État (58,55 %). Hors période de cohabitation, il parvient à devenir le premier président réélu sous la Ve République et le troisième à effectuer un deuxième mandat après François Mitterrand (1981-1995) et Jacques Chirac (1995-2007).

Les indéniables réussites du président Macron

16 mai 2022 : Élisabeth Borne débarque à Matignon

Trente ans après le départ d'Édith Cresson, Élisabeth Borne devient la deuxième femme nommée au poste de Première ministre, succédant à Jean Castex. Durant le premier quinquennat d'Emmanuel Macron, l'ancienne patronne de la RATP s'est vu confier trois ministères : les Transports, la Transition écologique et le Travail. Après Georges Pompidou, Raymond Barre et Dominique de Villepin, elle est le quatrième chef du gouvernement sous la Ve République à n'avoir jamais brigué un mandat électif au suffrage universel avant sa nomination.

À Matignon, Élisabeth Borne fait de la résistance

19 juin 2022 : la perte de la majorité absolue aux législatives

Le début du second mandat d'Emmanuel Macron est caractérisé par une campagne des élections législatives mouvementée qui débouche sur une claque pour le chef de l'État. À l'issue du deuxième tour, marqué par une abstention historique (52,4 %) et une double percée de la Nupes (131 députés) et du RN (89 députés), les macronistes ne conservent que 250 sièges (dont 172 du groupe Renaissance, ex-LREM) sur 577, à 39 voix de la majorité absolue.

Pourquoi Emmanuel Macron rêve de dissoudre l'Assemblée

Trois nouveaux ministres sont battus et évincés du premier gouvernement Borne : Amélie de Montchalin, Brigitte Bourguignon et Justine Benin. Yaël Braun-Pivet devient, quant à elle, la première présidente de l'Assemblée nationale. Dans les couloirs de l'Assemblée, les débats ont été plus que jamais électriques sur l'année écoulée avec dix recours au 49.3 de la part du gouvernement et douze motions de censure déposées pour faire voter les budgets 2023 de l'État et de la Sécurité sociale.

Fin septembre 2022 : la France paralysée par les grèves et les pénuries de carburant

Des automobilistes à l'arrêt et des tensions sociales qui ressurgissent. Une grève de plus de 35 jours pour les salaires dans les raffineries et les dépôts de carburant, entamée fin septembre par la CGT, provoque des pénuries et s'étend peu à peu aux centrales nucléaires. Pour sortir de la crise et aider les Français, le gouvernement propose une ristourne sur les carburants et un bouclier contre la hausse des prix énergétiques.

« On rentre dans le dur » : l'exécutif sur un volcan

23 septembre et 3 octobre 2022 : deux poids lourds de la macronie mis en examen

Le 23 septembre, le secrétaire général de l'Élysée et bras droit du président, Alexis Kohler, est mis en examen pour « prise illégale d'intérêts » dans une enquête en lien avec l'armateur italo-suisse MSC. Le 3 octobre, le garde des Sceaux Éric Dupond-Moretti est renvoyé en procès pour « prise illégale d'intérêts » dans une affaire de contentieux avec des magistrats.

Affaires Kohler et Dupond-Moretti : Macron leur réaffirme sa confiance

Leur maintien en poste est vivement critiqué mais Emmanuel Macron leur apporte son soutien. Pour Alexis Kohler, le chef de l'État a jugé « tout à fait légitime » son maintien parce que son secrétaire général « n'est pas ministre ». Quant au garde des Sceaux, il estime que c'est un « cas très particulier » et une mise en examen ayant lieu « dans le cadre d'une procédure qui est une saisine des syndicats de la magistrature, sur une affaire qui impliquait des magistrats ». Cela ne toucherait « en rien ce qu'il a fait en tant que ministre ni des sujets qui relèvent de la morale », a poursuivi le chef de l'État.

Janvier 2022 : présentation de la réforme des retraites et premières journées de mobilisation

C'est un projet de loi contesté qui a directement affecté l'image d'Emmanuel Macron auprès des Français. Le 10 janvier 2023, Élisabeth Borne dévoile la réforme pour reporter l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans à l'horizon 2030. Dès les premiers jours, la mobilisation des opposants s'organise. Le 19 janvier, une première mobilisation intersyndicale réunit plus de deux millions de manifestants (selon la CGT), 1,12 million (selon la police). Douze jours après, le 31 janvier, la colère s'intensifie : 1,272 million de personnes défilent partout dans le pays selon la police contre 2,8 millions selon la CGT.

« Entre black blocs et services d'ordre syndicaux, il y a une rivalité très forte »

14 avril 2022 : validation du Conseil constitutionnel après trois mois de contestation

Après trois mois de crise politique et sociale, le Conseil constitutionnel a rendu, le 14 avril, une décision extrêmement attendue sur la très contestée réforme des retraites. Le Conseil constitutionnel a décidé de valider l'essentiel de la réforme, dont le report de l'âge légal de 62 à 64 ans. Selon lui, « aucune exigence constitutionnelle n'a été méconnue » par l'exécutif, que ce soit dans son recours à un budget rectificatif de la Sécurité sociale pour faire passer sa réforme ou à la procédure décriée du 49.3 à l'Assemblée. Le Conseil constitutionnel a néanmoins rejeté six dispositions, dont « l'index séniors » et certaines dispositions concernant le droit au départ anticipé pour les fonctionnaires en catégories actives.

Retraites : pourquoi la messe n'est pas encore dite en France

17 avril : 100 jours pour se relancer 

Emmanuel Macron souhaite donner un nouveau départ à son second quinquennat. Dans son allocution, le 17 avril, le président de la République a évoqué les travaux qui attendent le gouvernement et la majorité lors de « cent jours d'apaisement, d'unité, d'ambition et d'action au service de la France ». Emmanuel Macron a notamment énuméré « trois grands chantiers » : le travail, la justice et l'ordre républicain, et le progrès pour mieux vivre. Le chef de l'État prévoit déjà un bilan de ces cent jours lors d'une date symbolique, le 14 juillet 2023.

« Rien à dire aux Français », « vœux pieux »… Macron étrillé par le corps politique

22 avril : record d'impopularité et casserolades

Après la promulgation de la réforme des retraites, la cote de popularité d'Emmanuel Macron a chuté pour atteindre son niveau le plus bas à 26 %. Un quart des Français se déclarent résignés, indique un sondage BVA pour RTL publié le 22 avril. Le chef de l'État a perdu deux points depuis la fin mars « retrouvant le palier atteint » au tout début de la crise des Gilets jaunes en octobre 2018. Sur les 72 % des Français qui se disent mécontents du président de la République, 47 % sont « très mécontents », chiffre en hausse de sept points traduisant une accentuation de la colère contre son action. Décidé à renouer avec les Français lors de déplacements en région, Emmanuel Macron a vu ses bains de foule être ternis par des concerts de casseroles en Alsace et dans l'Hérault.

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Notre président à la tête dure aveuglé par son égo démesuré et sa procrastination maladive et son moi personnel croyant tout savoir en fait une coquille vide bavard s’écoutant parler au point de souler les Français qui en ont assez de ses discours alambiqués vides de sens de donneurs de leçons de bienpensant hypocrite car ne débouchant sur rien de concret alors qu’il les a poussé dans la rue ces citoyens lambda avec cette reforme des retraites ratée car pas acceptée par une majorité de FRANÇAIS  et le reste des problèmes sociétaux nombreux qu’il n’a même pas commencer à traité ou à régler sans compter les événements internationaux crises diverses qu’il est inutile d’énumérer et qui en fait n’a pas du tout protégé le peuple qu’il dédaigne se payant le luxe bobo de les insulter en plus !?

Il a eut la chance d’être réélu par des français perdus ayant peur du lendemain qui lui ont donné trop de pouvoir qui a mal utilisé ou pas du tout d’ailleurs et qui fait mine d’un petit mea culpa !?

CAR IL N’A RIEN FAIT ET PIRE SEMBLE-T-IL NE SEMBLE PAS QUOI FAIRE DE PLUS C’EST CELA LA REALITE ?!

Répit de 100 jours forcément trop court pour rattraper un retard de + de 5 ans car cela ne se rattrape pas ?!

Le bilan c’est que les Français râleurs comme d’habitude vont perdre leur temps jusqu’en 2027 car il n’a su dire que pour les denrées alimentaires essentielles à la vie courante cela durerait jusqu’à l’été car il se devait de dire quelque chose pour essayer de calmer le peuple des "gens de peu" mais même çà il l'a raté?!

Petite parenthèse on a appris qu’en Allemagne malgré leurs erreurs énergétiques avec le gaz russe les salaires vont augmenter de 5.50% chez nous on ne peut pas ou ne veut pas le faire par nos dirigeants et leurs explications fumeuses de Bercy ou LEMAIRE !?

Les Français sont des citrons que pressent nos gouvernements et dirigeants mais qui n’ont plus de jus car n’ayant plus d’argent qu’ils ont déjà dépensé comme pour « le quoi qu’il en coute » virtuel ou chèque en blanc et cet alibi de crise sanitaire de la COVID ?!


Jdeclef 24/04/2023 10h29

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