mardi 3 octobre 2023

Les carottes sont cuites avec un président incurable et son gouvernement composé de sa clique de ministres incapables inféodés à son pouvoir qui profitent de leurs avantages dus par leurs mandatures !? Taper dans les retraites des Français est une forfaiture et ce ministre comme d’autres obéit à son patron et 1ere ministre en tête avec son fameux article 49/3 !?

 

Coignard – Retraites : de belles promesses… avec l’argent des autres !?

CHRONIQUE. Plus 5,2 % de hausse pour les retraites de base, c’est une belle annonce, mais qui cache une mauvaise nouvelle pour les salariés du privé ?

QUAND UN GOUVERNEMENT QUEL QU’IL SOIT COMMENCE A PUISER DANs LES CAISSES DE RETRAITES DU PRIVE DES FRANCAIS C’EST TOUT SIMPLEMENT DU VOL ET MALEUREUSEMENT LES FRANCAIS NE VEULENT PAS VOIR OU S’EN RENDRE COMPTE ET ILS AVALENT TOUT ?!

(C’est inconcevable le pouvoir de l’égoïsme de la versatilité et du chacun pour soi dévastateur dont seul le pouvoir profite car les Français jusqu’en 2027 ont la tête sur le billot et même peut être encore après !?)

Ce n'est pas tout à fait l'attaque du train postal, mais cela y ressemble un peu. Le ministre du Travail Olivier Dussopt et ses équipes, certes, ne portent ni masques ni armes, mais ils ont pris leur victime par surprise. Leur victime, c'est l'Agirc-Arrco, qui gère les retraites complémentaires des salariés du secteur privé. Les partenaires sociaux qui pilotent ce régime doivent annoncer demain mercredi une bonne nouvelle aux treize millions de retraités auxquels ils versent une pension : une revalorisation de 4,6 % à compter du mois de novembre. C'est un peu moins que l'inflation, mais autant que l'évolution des salaires dans le privé.

Pour parvenir à cet accord, et s'entendre sur la marche à suivre jusqu'en 2026, patronat et syndicats se sont réunis à plusieurs reprises et se sont mis d'accord vendredi dernier. Ils ont acté, outre l'augmentation des pensions, l'abandon du malus pour les nouveaux retraités touchés par la réforme des retraites ainsi que la création de nouveaux droits pour ceux qui continuent de travailler et versent donc des cotisations sociales. Il ne restait plus qu'à fixer les dernières modalités lors d'une ultime rencontre, ce mercredi.

Retraites complémentaires : les enjeux de la négociationC'est alors qu'Olivier Dussopt sort du bois. Son cabinet annonce au Medef et à la CFDT qu'il va falloir faire preuve de solidarité, et verser entre 1 et 3 milliards d'euros par an au régime général des retraites, pour compenser l'effet bénéfique de la réforme des retraites sur les finances de l'Agirc-Arrco. Cette exigence compromet l'annonce de revalorisation : un milliard d'euros en moins dans les caisses rabote la hausse des pensions de 1 % environ. Elle indigne les partenaires sociaux, qui considèrent payer leur part à travers l'abandon du malus d'une part, et une contribution de 400 millions d'euros par an à l'augmentation des petites retraites promise par la réforme.

C'est en effet le monde à l'envers. L'exécutif fait le joli cœur et annonce une revalorisation de 5,2 % de toutes les pensions de base au premier janvier 2024, alors que le régime général connaît un équilibre précaire. Et pour tenir son engagement, il puise dans le pactole des retraités du secteur privé, qui lui, bien géré, dégage des excédents !

Bras de fer musclé

Ce qui ne passe pas, c'est aussi la méthode employée par le gouvernement. Bercy lorgne depuis des années sur le trésor de l'Agirc-Arrco, près de 70 milliards dans lesquels il est tentant de se servir en période de disette. L'exécutif avait déjà tenté une manœuvre l'an dernier mais n'avait pu parvenir à ses fins. Il attaque cette année sous un autre angle. Si l'Agirc-Arrco ne plie pas, le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) se chargera de le faire, soit au travers d'une convention de financement prévue dans son article 9, soit par un amendement qui supprime les compensations à l'euro près des exemptions de charges sociales.

Coignard – Interview d'Emmanuel Macron : beaucoup de mots pour – presque – rienDans ce bras de fer, qui s'annonce musclé, les partenaires sociaux disposent pour se défendre d'une arme très provisoire : leur participation, ou non, à la conférence sociale annoncée par Emmanuel Macron pour le 16 octobre.

Mais au-delà de cet affrontement, c'est le double langage tenu sur les finances publiques qu'il convient de surveiller : pas d'augmentation des impôts, et même des baisses d'impôts, un peu différées certes, mais tellement vantées, et de façon si répétées ! Incapable de réduire les dépenses structurelles de l'État au-delà d'une petite poignée de milliards, le gouvernement n'est pas peuplé de magiciens. Il doit donc recourir, pour tenir ses engagements, au moins formellement, à quelques faux-semblants. Ou, pour le dire plus crûment, se servir dans d'autres caisses que la sienne. L'Agirc-Arrco est la première, mais sûrement pas la dernière…
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Le président étant aussi bavard que mauvais dirigeant (peut être pire que dans la lignée de ses prédécesseurs qui ont été élu voire réélu depuis plus de 40 ans !?)

Car quand un petit bourgeois parvenu élu par défaut arrive à être président en bon opportuniste par la défection de son prédécesseur qui a jeté l’éponge avant la fin de son quinquennat plutôt que de risquer de se faire battre car avec sa probable non réélection après avoir profité des avantages avant pendant dix ans comme secrétaire du PS qu’il a poussé à rendre comme son parti de cette gauche marginalisée et pas étouffé par la honte ou le manque d’amour propre de plus en plus commun chez nos présidents passés et même présent actuellement avec le locataire de l’Elysée en place !?

Avec en plus les extrêmes qui frappent à la porte comme Mélenchon super trublion tribun aboyeur de foire excité créateur de cette LFI insoumise qui porte bien son nom et frondeuse voire mal élevés en trublion quelque fois violent et la NUPES agrégat de ces politiciens de gauches PS/PC voir même ces écolos verts qui ont viré leur cuti vers l’extrémisme avec d’autres partis gauchisant marginaux !?

Mais surtout quand nos dirigeants au pouvoir avec notre pays déjà surendetté à hauteur de 3 013,4 milliards d'euros le 31 mars 2023 soit 98% du PIB en viennent à puiser indirectement dans les caisses de retraite c’est eminement gravissime et montre un pays aux abois et son président qui ne sait pas ou trouver de l’argent pour survivre et pousser la population à faire la queue aux associations caritatives pour simplement manger à leur faim (ce qui est le cas pour certains de nos compatriotes dont certaines familles survivent déjà dans la rue avec femmes enfants dans la rue et l’hiver approche ?!)

Et certains de ses Français élus n’ont pas honte préférant donner des leçons de bienpensant donneurs de leçons hypocrites c’est honteux moi qui est connu cette VEME REPUBLIQUE créée depuis le début par de Gaulle que j’ai connu car âgé cela m’empêche de dormir !?

Avec en plus des médias comme le POINT cet hebdo qui s’acharne à censurer ces types de commentaires ce qui ne sert à rien en oubliant que la liberté d’expression est inscrite dans notre constitution !?

JDeclef 03/10/2023 11h28


1 commentaire:

  1. Ces modérateurs et rédaction du POINT inféodés au pouvoir en place ne veulent PAS regarder la vérité en face en ne respectant pas la liberté d'expression inscrite dans notre constitution qui les gêne et donc sont indirectement répréhensible envers la loi et montrer hélas que là nous voyons bien que notre pays libre et démocratique va mal à cause de Français qui sont grugés depuis des décennies sous tous les gouvernements passés et présents depuis + de 40 ans mais qui semble encore avaler tout par une partie de nos concitoyens qui en fait n'y comprennent rien ou ne s'intéressent plus à la politique menée dans leur pays pourtant encore démocratique mais jusqu'à quand ?! Jusqu'en 2027 ? Par leurs mauvais choix électoraux sauf que là ils ont tort car courant à leur perte dans les 4 ans à venir ce qui est grave surtout s'ils ne font rien pour ce fameux changement qu'ils réclament et qui n'arrive jamais depuis + de 40 ans CE QUI EST DESESPERANT !?

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