mardi 31 octobre 2023

Il y a longtemps que notre crédibilité n’est plus qu’un lointain souvenir au PROCHE ORIENT ou EN AFRIQUE sur les ruines de notre empire colonial et avec ce jeune président qui n’a pas connu cela et ce passé et pourtant instruit il n’a rien appris à part faire du théâtre avec son épouse enseignante qui lui a peut-être enseigné le bon Français mais pas assez l’histoire de France ( encore moins celle du monde !?)

 

Guerre Hamas-Israël : la crédibilité perdue de la France au Proche-Orient !?

ÉDITO. Notre passivité s’explique par notre fragilité intérieure et par nos divisions. Pourtant, l’impuissance n’est pas une fatalité.

Par Luc de Barochez

Publié le 30/10/2023 à 06h30, mis à jour le 30/10/2023 à 08h59

S'enfoncer la tête dans le sable dès qu'un problème semble insoluble est un réflexe politique bien ancré. Les dirigeants français et européens l'ont suivi avec constance ces dernières années au Proche-Orient. Or voilà que la guerre entre Israël et le Hamas fait revenir en boomerang la question palestinienne. Laisser un abcès sans traitement aide rarement à le guérir.

Trop passives, la France et l'Union européenne ne jouent plus que des seconds rôles sur la scène israélo-arabe. Paris et Bruxelles ont assisté en spectateurs à la seule détente significative de ces dernières années, les accords d'Abraham, qui tendaient à normaliser les relations entre Israël et certains pays arabes mais qui ont négligé, à tort, le sort des Palestiniens.

Le pogrom perpétré le 7 octobre par les séides du Hamas a révélé au grand jour l'indécision des capitales européennes. Emmanuel Macron a attendu dix-sept jours avant de se rendre en Israël, alors que pas moins de 35 citoyens français ont été tués dans le massacre. Pas plus que ses pairs européens qui l'ont précédé, il n'avait ni la queue d'une idée pertinente, ni le début d'un projet mobilisateur. Seul le président américain, Joe Biden, en parvenant à débloquer un mince filet d'aide humanitaire pour Gaza, a montré que les États-Unis restaient, malgré leur volonté de se concentrer sur le défi chinois, un acteur central au Levant.

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Notre pusillanimité provient d'abord de notre fragilité intérieure. Les atrocités du Hamas ont aggravé les fractures de nos sociétés autour de questions qui les polarisent plus que toutes autres : la place de l'islam, l'intégration des migrants, l'antisémitisme… Plus le conflit s'intensifie, plus les opinions occidentales sont réceptives aux messages radicaux, qu'ils soient de droite ou de gauche. Notre effacement s'explique en outre par l'incapacité de nos gouvernants à définir une politique proche-orientale cohérente – alors que la guerre en Ukraine a prouvé qu'ils étaient capables d'agir de concert dès lors qu'ils percevaient une menace imminente.

Politique d'équilibre

La cacophonie qui a suivi le carnage du 7 octobre a exposé les profondes divergences entre les pays qui privilégient l'alliance avec Israël (Allemagne, Italie, par exemple) et ceux qui mettent au premier plan leur solidarité avec les Palestiniens (Espagne, Irlande). On ne sait d'ailleurs plus très bien où placer la France dans ce classement, tant sa politique est devenue illisible. C'est ce qui arrive lorsqu'on cherche à plaire à tout le monde. La « politique d'équilibre » prônée par Emmanuel Macron ressemble à la quête futile d'une équivalence morale qui revient trop souvent à mettre Israël et le Hamas, l'agressé et l'agresseur, sur le même plan.

Pourtant, il n'y a pas de fatalité à l'impuissance. Il fut une époque où la France avait sinon du poids, du moins des initiatives remarquées et des positions tranchées (qu'on se souvienne de la guerre d'Irak en 2003). Et où l'Europe était capable de s'entendre à propos des droits des Palestiniens (déclaration de Venise, 1980). L'urgence impose de sortir la tête du sable. Car la France et l'Union européenne ont des intérêts vitaux à défendre dans cette affaire.

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Le premier défi est d'ordre géopolitique. Le conflit menace de déstabiliser notre environnement sur la rive sud de la Méditerranée, de déclencher une nouvelle crise de nos approvisionnements énergétiques et de creuser un peu plus le fossé entre l'Occident et de nombreux pays dits du Sud. Le second défi est migratoire. La catastrophe humanitaire qui se dessine à Gaza – potentiellement la pire depuis 1948 dans la région – est susceptible de jeter sur les routes de l'exode des dizaines de milliers de personnes. Le troisième défi est intérieur, autour de la cohésion de nos sociétés. Les deux pays de l'Union qui abritent les plus importantes populations juives sont la France et l'Allemagne. Créer les conditions de leur avenir en paix et en sécurité ferait un beau et utile projet franco-allemand.

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Il importe d'ores et déjà de travailler à l'après-guerre, ce qui implique de restaurer la légitimité et l'autorité de nos diplomaties ; de réfléchir aux garanties de sécurité que l'Europe pourrait fournir ; de faire en sorte que les modérés dans le camp palestinien cessent d'apparaître comme les dindons de la farce ; d'aider à l'émergence de nouveaux interlocuteurs capables de prendre langue avec Israël ; de cesser de penser que l'appel incantatoire à un État palestinien pourrait par miracle accoucher un jour de la paix. Ce serait au moins un bon début.

Désolé de le dire mais avec ce président bienpensant donneurs de leçon petit bourgeois parvenu qui s’écoute parler pour ne rien dire d’utile on s’en est aperçu avec déjà la guerre Russo Ukrainienne et ses contacts avec Poutine cela ne peut être que logique notre dirigeant ne sait que bavarder en s’écoutant parler pour ne rien dire d’utile en agissant pas ou peu !?

Les Français encore trop naïfs l’ont hélas réélu par notre système électoral qui favorise les sortants mais avec une majorité en fait qui ne reflète pas la réalité !?

Beaucoup plus en fait ne l’apprécie pas et ne se dérange même plus pour aller voter car depuis + de 40 ans rien ne change et donc pratique « le chacun pour soi » !?

Ce drame horrible de cette guerre ISRAELO PALESTINIENNE CONTRE CE HAMAS QUALIFIE DE TERRORISTE ISLAMIQUE PAR LA COMMUNAUTE MONDIALE A JUSTE TITRE nous touche indirectement par les communautés JUIVES ET ARABES OU MAGREHBINES ET PALESTINIENNES importantes sur le sol de notre pays depuis + de 60 ans et la fin de notre empire colonial africain et extrême oriental ce qui a amené notre petit bourgeois dirigeant hyper bavard à faire le tour pour porter la bonne parole à des pays musulmans indirectement concernés car en fait c’est une guerre de plus religieuse remontant depuis la nuit des temps et à nos croisades millénaires entre l’ORIENT ISLAMIQUE ET L’OCCIDENT JUDEO CHRETIEN !?

Alors notre petit président de notre petite France car personne ne l’écoute et même se moque de lui et de notre pays il arrive trop tard ce donneur de leçon bienpensant donneurs de leçons à tout le monde il ferait mieux de protéger les Français dans leur quotidien car le terrorisme islamique lui est bien présent car revenu en filigrane par des menaces diverses !?

Jdeclef 31/10/2023 11h50 LP

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