L’information c’est en principe pour dire la vérité mais comme maintenant on a peur de celle-ci on l’édulcore au maximum chez nos dirigeants mais internet et ses réseaux sociaux se chargent du reste même s’il faut en prendre et en laisser car les médias classiques ne sont pas impartiaux comme « LE POINT » par exemple qui censure à tour de bras car inféodé au pouvoir Français en place !?

 

Comment l'Occident perd la guerre de l'information !?

L'ÉDITO DE LUC DE BAROCHEZ. Nous sous-estimons l’offensive anti-occidentale menée sur les réseaux sociaux et dans les médias par les régimes autoritaires et les groupes terroristes.

Par Luc de Barochez

Publié le 25/10/2023 à 11h12

QUAND LES INTERNAUTES ET LES LECTEURS INTELLIGENTS S’EN DONNENT LA PEINE ILS PEUVENT AVOIR UN MAXIMUM D’INFORMATIONS EXACTES ET AVEREES AVEC UN MINIMUM DE RECHERCHE SUR LE NET MAIS POUR LES FRANÇAIS LAMBDA « MESSIEURS TOUT LE MONDE » C’EST MOINS FACILE ?!

Ce conflit déclenché par le Hamas au Proche-Orient apporte une nouvelle preuve que nos sociétés libérales sous-estiment la gravité de la guerre de l'information qui les vise. Il s'agit d'une offensive à bas bruit, non déclarée, qui manipule les opinions publiques en semant le désordre et la confusion afin de discréditer les démocraties. La désinformation malveillante a beau être vieille comme le monde, les puissants outils technologiques contemporains que sont l'intelligence artificielle (IA), les réseaux sociaux et la vidéo lui donnent une portée inédite et une dangerosité inouïe.

Si le Hamas privilégie la bataille de l'information, c'est qu'il n'a pas les moyens de vaincre Tsahal par les armes. Pour le faire plier, il mise sur les opinions publiques. C'était là le but du raid terroriste du 7 octobre : humilier l'État juif, détruire le mythe de son invincibilité, prendre des otages pour mettre la population civile à genoux, tout en creusant le fossé entre le monde arabo-musulman et l'Occident. L'opération s'est poursuivie avec le grand mensonge sur l'hôpital anglican de Gaza, prétendument bombardé le 17 octobre par l'armée israélienne alors qu'il a manifestement subi l'impact d'une roquette défaillante tirée par les islamistes eux-mêmes.

Semer le doute

La vérité importe peu, hélas, car les hommes sont enclins à ne croire que ce qui conforte leurs préjugés. « L'esprit humain est ainsi fait que l'illusion a plus de prise sur lui que la réalité », écrivait au XVI^e siècle le grand humaniste Érasme de Rotterdam. Le récit s'est installé dans les opinions arabes qu'Israël est responsable de l'explosion à l'hôpital. Par peur de leur propre opinion publique, les dirigeants arabes reprennent à leur compte l'imposture des islamistes palestiniens, alors même qu'ils les exècrent. Leur lâcheté permet aux parrains du Hamas, l'Iran et la Syrie, d'atteindre sans coup férir leur but stratégique : torpiller les efforts de normalisation arabes avec Israël.

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Si cette propagande est efficace, c'est aussi qu'elle est amplifiée à travers le monde par la Russie et la Chine. Ces deux puissances poursuivent des stratégies de déstabilisation numérique afin de dénigrer les États-Unis et leurs alliés. La méthode est invariable : semer le doute afin que le vrai et le faux ne puissent plus être distingués. L'image générée par l'IA d'un bébé hurlant dans les décombres de Gaza a ainsi été diffusée abondamment et brandie avec colère par des manifestants dans le monde arabe. À l'inverse, la photo d'un nouveau-né mort brûlé par les terroristes dans un kibboutz israélien, diffusée par le compte officiel du gouvernement de Jérusalem, a été disqualifiée sur les réseaux sociaux comme un faux, produit par l'IA, alors qu'elle est vraie.

L'accusation du « deux poids, deux mesures » portée contre les Occidentaux est dévastatrice. Car, lorsque l'impression se propage que leur soutien à Israël s'accompagne d'une indifférence au sort des civils palestiniens, il devient encore plus difficile pour eux de convaincre les pays du Sud non seulement du bien-fondé de leur position au Proche-Orient, mais aussi de la justesse de la cause ukrainienne face à l'agression russe. L'historien David Colon, qui vient de publier un livre passionnant sur le sujet (1), regrette que les démocraties n'aient pas encore pris la mesure des ravages que peut causer l'offensive informationnelle, alors que les régimes autoritaires et les groupes terroristes, eux, l'ont bien compris. « Les armes médiatiques peuvent être plus puissantes que les bombes atomiques », disait le manuel de propagande de l'État islamique publié en 2017.

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Nos démocraties occidentales sont perméables à ces attaques en raison de leur polarisation croissante, de la perte de crédibilité de la parole publique, mais aussi de la naïveté de nos dirigeants. Un exemple ? En 2014, l'Ukraine fut critiquée pour avoir interdit la chaîne Russia Today (RT). On accusa Kiev de piétiner la liberté d'expression. Il fallut huit ans et le déclenchement d'une guerre par Moscou pour que le reste de l'Europe comprenne que RT était bien un outil de propagande du Kremlin – et l'interdise en conséquence. Les leçons n'ont pas été tirées et les mêmes errements se poursuivent lorsque gouvernants et médias prennent pour argent comptant les communiqués du Hamas à Gaza. Il est temps de s'apercevoir que les opérations d'influence malveillante sont un outil au service des ennemis de nos libertés.

Ce titre reflète bien la réalité de notre société malade et de notre monde entier devenu instable et dangereux que beaucoup de nos concitoyens ne voulaient pas voir malgré l’évidence de ces attentats islamiques qui en fait n’ont jamais cessés seulement diminués car devenus isolés !?

Mais qui viennent de renaitre avec ces assassinats dans nos collèges d’enseignants après ce pauvre professeur S.PATY qui avait défrayé la chronique et que l’on avait presque oublié ou cette guerre en Ukraine dont on ne parle plus !?

Mais là avec ces attentats de terroristes islamiques de guerres d’une barbarie épouvantable contre ISRAEL et son peuple JUIF on vient de rentrer dans le retour de la peur que l’on avait connu dans la période 2001/2015 !?

Mais hélas pour notre malheur nos bienpensant donneurs de leçons hypocrites ne veulent pas encore nommer ou dénoncer le mal à l’état pur de ces drames à consonances religieuses que l’on connait en fait depuis des millénaires remontant à nos croisades et guerres de religions !?

Car ce n’est pas politiquement correct dans nos diplomaties internationales hypocrites encore une chance notre dirigeant si bavard en profite tout son soul pour pérorer ce qui lui va comme un gant et qui fait le tour des pays arabes en portant la bonne parole dite de paix (mais ne nous a pas encore demandé de vivre avec ce terrorisme comme le changement climatique !?)

Avec ce pauvre pays ISRAEL et les JUIFS qui essaient de survivre à ce HAMAS de barbares et ce drame horrible sans nom de ce XXI eme siècle on n’est pas si loin des dernières guerres européennes devenues mondiales et leurs horreurs passées avec l’holocauste et la solution finale hitlérienne sans oublier la guerre ukrainienne l’Arménie ou les kurdes !?

On n’est pas si loin de la 3eme de ces guerres dites mondiales et ces fanatiques islamistes hyper dangereux et leurs religions obscurantistes moyenâgeuses et on va recommencer à regarder par-dessus de nos épaules en longeant les murs car nous ne sommes pas assez protégés par nos dirigeants en place et gouvernements de tous bords et leur mauvaise politique nulle ET INUTILE !?

Jdeclef 25/10/2023 15h26

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