jeudi 12 octobre 2023

Le temps de l’action dans nos pays libres et démocratiques doit remplacer la bienpensante hypocrite des donneurs de leçons bavards qui versent des larmes de crocodiles qui nous gouvernent et nous protègent mal car après l’Ukraine car notre monde entier malade glisse à nouveau dans des guerres mondiales larvées et horreurs que l’on a trop vite oubliées !?

 

Otages israéliens : l’odieux chantage du Hamas ?!

En capturant plus d’une centaine de personnes, le mouvement islamiste bascule dans une stratégie de la terreur d’une ampleur inédite.

Par Julien Peyron

(On a déjà toujours pas compris avec ce DAESH E.I et ses attentats périodiques qui perdure mais comme devenus moins nombreux on oublie trop vite !?)

(En espérant que l’on n’oubliera pas si vite ce drame insupportable touchant les JUIFS ISRAELIENS  mais avec les dirigeants bienpensants de nos démocraties libres ce n’est pas gagné hélas !?

la jeune femme supplie, elle tend un bras vers son compagnon. Celui-ci est impuissant, il a les mains attachées dans le dos et il est retenu par plusieurs hommes. Il regarde s'éloigner son amie, embarquée sur une moto entre deux terroristes. La vidéo de la scène est glaçante. Elle montre Noa Argamani, 25 ans, et son petit ami lors de l'attaque surprise du Hamas contre Israël. Aux premières heures du jour, le 7 octobre, le mouvement islamiste a notamment ciblé le festival Tribe of Nova, qui se tenait dans le nord-ouest du désert du Néguev, à 6 kilomètres de la bande de Gaza. La fête a tourné à la tragédie : plus de 250 morts pour le seul festival sur les 700 recensés par Israël.

Un bilan vertigineux qui comporte encore une inconnue de taille : combien de personnes ont été capturées, comme Noa et son petit ami ? Un porte-parole de Tsahal a évoqué un nombre « substantiel » d'otages. Un expert israélien estime qu'ils seraient « environ 150, dont une grande majorité a été transférée dans la bande de Gaza ». Parmi eux, des soldats, mais surtout beaucoup de civils, des femmes, des enfants, des personnes âgées. D'autres vidéos circulent. Elles montrent des hommes battus par la foule, des femmes dénudées embarquées à l'arrière de pick-up, des enfants apeurés et insultés. Difficile de mesurer le traumatisme que ces images vont causer. L'effroi va durer des mois, voire des années.

Cible. Une Israélienne capturée dans le kibboutz Kfar Azza, dans le sud d’Israël, est transportée dans la bande de Gaza, le 7 octobre. © Hatem Ali/AP/SIPA

Boucliers humains. De son côté, le Hamas jubile. Ces otages constituent un butin de guerre. Ils vont lui permettre d'exercer un double chantage. Premièrement, les dizaines de civils retenus vont être disséminés aux quatre coins de la bande de Gaza pour servir de boucliers humains. Déjà, des leaders palestiniens menacent d'exécuter un otage à chaque bombardement israélien. Un stratagème qui vise à semer le doute au sein de l'état-major et de la classe politique israélienne au moment où sont élaborées les opérations de représailles. Israël osera-t-il lancer une offensive d'ampleur à Gaza au risque de voir périr les siens ?

Deuxièmement, ces prisonniers peuvent être utilisés comme monnaie d'échange. Car le Hamas n'est pas seulement un spécialiste des attentats meurtriers. Il mise aussi sur les prises d'otages, qui lui servent à la fois de source de financement et d'outil de propagande. Le mouvement est passé maître aussi bien dans la mise en scène de ces enlèvements que dans l'art d'en tirer des rançons. Une manière d'asseoir sa popularité auprès de la population gazaouie aux dépens des autres factions palestiniennes.

Chasse à l’homme. Des Palestiniens escortent un otage israélien, insulté et battu par la foule, à Khan Younès, dans la bande de Gaza. © AFP or licensors

Doctrine Hannibal. Le premier kidnapping du Hamas remonte à 1994. À l'époque, le mouvement parvient à enlever un soldat israélien, Nachson Wachsman, dans un village du centre d'Israël. Il sera tué par ses ravisseurs quelques jours plus tard, lors du raid mené par Tsahal pour tenter de le libérer. À l'époque, Israël applique la doctrine dite d'Hannibal, du nom du général carthaginois qui préféra prendre du poison plutôt que de se rendre aux Romains. Celle-ci prévoit d'éviter « à tout prix » qu'un soldat tombe entre les mains de l'ennemi, quitte à mener des opérations pouvant le blesser ou le mettre en péril. La mort de Nachson Wachsman choque l'opinion publique israélienne et met à mal le processus de paix engagé avec l'Autorité palestinienne de Yasser Arafat. Exactement l'effet recherché par le Hamas, qui s'oppose à tout compromis avec l'État hébreu.

Douze ans plus tard, en 2006, le mouvement terroriste règne sur la bande de Gaza, évacuée par les Israéliens, quand il parvient à s'emparer du caporal Gilad Shalit. S'ensuivent cinq années de négociations au cours desquelles le Hamas va faire monter les enchères. Les opérations militaires en vue de libérer le soldat s'étant toutes soldées par des échecs, Israël est contraint de négocier par l'intermédiaire de l'Égypte et de la Turquie.

Outrage. À Khan Younès, une Israélienne violentée est jetée à l’arrière d’un pick-up. © AFP or licensors

Dilemme. Le 18 octobre 2011, Gilad Shalit est libéré. En échange, 1 027 Palestiniens sortent des prisons israéliennes. Un ratio qui s'explique par la considération que porte Israël à ses soldats et à ses citoyens et que le Hamas exploite avec cynisme. Le mouvement islamiste va jusqu'à négocier les corps sans vie des soldats de Tsahal. Les dépouilles de Hadar Goldin et d'Oron Shaul, tués en 2014, sont toujours retenues dans la bande de Gaza, le Hamas demandant en échange la libération de centaines de ses hommes. Lors de l'épisode Gilad Shalit, une large majorité d'Israéliens se déclarait favorable au fait de passer des accords, même léonins, avec ses ennemis.

Mais, à l'heure où le pays enterre ses morts, l'opinion publique est-elle toujours aussi encline à la négociation ? Israël peut-il accepter les exigences de l'organisation responsable de la pire attaque de son histoire ? « Le pays est face à un dilemme, reconnaît une source diplomatique israélienne. Il y a une différence entre un soldat captif et 100 otages. Certains Israéliens s'opposent désormais à tout échange, car des Palestiniens libérés à l'époque de Gilad Shalit ont aussitôt rejoint les rangs du Hamas et ont contribué à préparer de nouvelles attaques », assure-t-elle. La situation inédite dans laquelle se retrouve Israël pourrait accoucher d'une nouvelle doctrine, selon laquelle la libération d'un otage n'est pas l'objectif premier. Selon un décompte de l'ONG Addameer, 5 200 Palestiniens sont détenus en Israël. Quelques heures après le début de l'attaque du 7 octobre, un chef du Hamas jubilait sur l'antenne d'Al Jazeera : « Ce que nous avons entre nos mains nous permettra de libérer tous nos prisonniers. »

 

Le mouvement Hamas, fondé dans la bande de Gaza en décembre 1987, a suscité un nombre considérable d'études, d'ouvrages et d'analyses, surtout depuis sa victoire aux législatives palestiniennes, en janvier 2006, et sa prise de contrôle de Gaza, en juin 2007 ! 

Les racines du Hamas puisent dans le « mouvement des Frères musulmans » égyptien, déjà extrémiste qui a trouvé depuis longtemps matière à interagir fortement avec les événements de la scène palestinienne, voisinage géographique avec la bande de Gaza oblige.

Ça c’est pour l’histoire résumée mais il est considéré comme une organisation terroriste par l'Union européenne et les États-Unis. Et surtout par les pays libres et démocratiques Israël a fermé leurs frontières avec la petite bande de terre. Une décision qui conduira à la première guerre entre Gaza et Israël en 2008. La première d'une longue liste : 2008, 2012, 2014, 2021 et désormais 2023 (appelée intifada) !?

Résultat des guerres larvées dirigées contre les juifs ISRAELIENS (car le but non caché) de ce Hamas est d’éliminer tous les juifs jusqu’à ce jour et devenue maintenant guerre totale devenue une barbarie sans nom !?

Se souciant pas des habitants de GAZA ces gazaouis dont il se servent de bouclier humain indirectement !?

Hélas pour eux et les habitants d’ISRAEL ils ne peuvent que survivre avec cette menace continuelle de ces barbares et indirectement depuis 1947 date de création de l’état Hébreu !?

Nous avec nos dirigeants du monde libre et démocratique nous ne faisons que de la fausse diplomatie de salon de bienpensant donneurs de leçons hypocrites de bavards habituels tout en compassion larmoyante !?

Car après avoir bavassé ou protesté contre ce HAMAS terroriste et sa victoire douteuse en 2006 et prise de pouvoir en 2007 leur nuisance n’a pas cessée est pire que les attentats islamiques de 2001/2015 dans notre monde qui va si mal dont leurs dirigeants ne protègent pas assez leurs peuples et même des médias qui édulcore ou censure les protestations des internautes !?

Alors moi vieux Français qui publie chaque jour sur « le POINT » je le dis car j’ai honte !?

JDeclef 12/10/2023 11H45

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1 commentaire:

  1. les censeurs DU POINT et leur censure arbitraire moyenâgeuses des modérateurs et rédaction inféodés au pouvoir en place de bien pensant donneurs de leçons inutiles hypocrites ont encore frappé ne respectant pas la liberté d'expression seul droit qui reste aux Français lambda car ces faux journaleux ne font que de la mauvaise politique au lieu de vraie information versant des larmes de crocodiles çà aussi est une honte qui montre hélas la dégringolade d'un monde qui devient hyper dangereux jusqu'à aller au pire !?

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