dimanche 22 octobre 2023

Quand on a le nez dedans on dit que cela pue mais on ne fait rien d’utile pour enlever l’odeur et nettoyer ces ordures pestilentielles !?

 

L’explosion de l’hôpital de Gaza, le grand mensonge du Hamas !?

ENQUÊTE. En accusant l’armée israélienne d’avoir tué 500 civils dans un hôpital, le groupe terroriste à berné les médias du monde entier.

Par Jérémy André (en Israël) et Lou Roméo (à Paris)

Là on a gagné par l’inaction de nos autorités et gouvernements de tous bords ou on retrouve l’insécurité des attentats ISLAMIQUES de 2001/2015 et ceux qui se produisent encore isolés qui n’ont pas cessé en fait depuis + de 20 ans!?

C’est l'heure du dîner et des roquettes. Presque tous les soirs depuis le 7 octobre, le Hamas et les autres groupes armés palestiniens de la bande de Gaza envoient une salve comme pour dire bonsoir. Ce 17 octobre, juste avant 19 heures, des alertes résonnent dans les grandes villes d'Israël, suivies des « bangs » puissants des interceptions par le Dôme de fer, le système de défense antimissile israélien. Mais la première explosion déclenchée par cette salve vient d'avoir lieu à Gaza, à l'hôpital Al-Ahli.

Ce petit établissement, habituellement prévu pour 80 patients et géré par l'Église anglicane, se situe au centre de la ville de Gaza, dans le quartier de Zeitoun. Comme tous les hôpitaux de la ville, il sert alors de refuge à des centaines – peut-être des milliers – de civils, s'entassant en particulier sur une pelouse aux abords de son parking. Espérant que personne n'oserait bombarder un hôpital doublé d'un lieu religieux, protégé par le droit international.

« Crime de guerre »

Une heure et quart plus tard, c'est le « ministère de la Santé de Gaza » qui réagit le premier, dans un communiqué : Israël aurait commis un « horrible massacre » à Al-Ahli, tuant « 200 à 300 martyrs » et « des centaines de victimes se trouvent dans les décombres ».

Cette administration est en réalité entièrement contrôlée par le Hamas, groupe armé islamiste qui a pris le pouvoir dans le territoire en 2007, deux ans après qu'Israël s'en est retiré. L'organisation embraye sans attendre par un communiqué en son nom propre, accusant Israël de « crime de guerre ».

D'emblée, pourtant, quelque chose cloche aux yeux de l'observateur ayant l'expérience des frappes meurtrières : d'ordinaire, il faut des heures pour extraire et compter les corps des décombres à la suite d'un bombardement aussi important. Les premiers bilans fournis sont donc prudents et gonflent le lendemain seulement.

Conférence de presse macabre

Cela n'empêche pas les médias internationaux de reprendre l'« information » sans aucune confirmation indépendante et directe. L'AFP émet la sienne à 20 h 22, citant le communiqué gazaoui. Les médias s'emballent : les journalistes du monde entier passent la soirée à rapporter les déclarations de sources « officielles » à Gaza, toutes liées au Hamas, parlant bientôt de 300, 471, 500 morts, jusqu'à 800 – sans aucune image des secours dantesques que supposerait un tel bilan.

Le mouvement islamiste va jusqu'à organiser une conférence de presse macabre, sur le site de l'hôpital supposé détruit, au milieu d'une mer de sacs mortuaires, et exhibe des corps d'enfants morts devant le podium. Les réactions horrifiées se multiplient dans le monde.À Hôpital de Gaza : Emmanuel Macron a-t-il tweeté trop vite ?

Sous le choc, le Quai d'Orsay émet, à 23 h 58, un communiqué qui semble pointer du doigt Israël, sans le nommer : « La France condamne avec fermeté la frappe contre l'hôpital Al-Ahli dans la ville de Gaza, qui a fait un nombre très important de victimes civiles palestiniennes. » Avant de rétropédaler dans les jours suivants.

Images de drones

Tsahal – l'armée israélienne – avait pourtant commencé à y voir clair dès le soir du mardi 17. Une vidéo live d'Al Jazeera a été vite repérée par des internautes et experts du renseignement « open source » – le renseignement d'origine sources ouvertes (Osint) qui collecte des données numériques disponibles grâce une source d'information publique.

Au lieu de la séquence identifiable d'un bombardement aérien – le son rauque d'un moteur d'avion, le rugissement de la propulsion du missile, et la large explosion soulevant un champignon de débris –, la vidéo montre des tirs de roquettes. L'une d'elles quitte sa trajectoire et tombe chaotiquement vers le sol. On voit alors une boule de feu au point d'impact. Rebondissant sur cette découverte, Israël attribue l'explosion à un « tir de roquette raté » du Jihad islamique, second groupe armé le plus puissant de Gaza, et allié du Hamas.

 Éviter l'abîme au Moyen-OrientAllant dans le sens de la version de Tsahal, des groupes indépendants d'experts de l'Osint, en particulier le compte X (ex-Twitter) de la communauté @GeoConfirmed, géolocalisent, pendant la nuit du mardi 17 au mercredi 18 octobre, le point d'impact sur la vidéo d'Al Jazeera, qui semble parfaitement correspondre au site de l'hôpital Al-Ahli. Mais les éléments les plus probants vont apparaître petit à petit dans la journée qui suit. Des images de drones fournies le mercredi matin par Tsahal révèlent que la structure du bâtiment est intacte et ne présente qu'un minuscule impact, moins d'un mètre de diamètre, dans le parking, cerné de voitures brûlées.

Bulle médiatique

Les images de journalistes palestiniens, qui parviennent aussi sur le site, le confirment : les dégâts sont limités. Israël persiste et signe lors d'une conférence de presse en début de matinée qui résume les éléments soutenant sa version. Son renseignement révèle, en outre, un enregistrement d'écoutes d'officiers du Hamas qui attribuerait effectivement l'explosion à une roquette défaillante du Jihad islamique. Cependant, cet enregistrement n'a pas été authentifié et est même contesté par des experts cités par le New York Times et la chaîne britannique Channel 4.

Hôpital à Gaza : de quoi ce fiasco médiatique est-il le nom ?

Joe Biden atterrit à 11 heures locales dans une ambiance tendue. Il appuie la défense israélienne en affirmant que la « partie adverse » est responsable du carnage. Le monde arabe est secoué de manifestations de soutien aux Palestiniens. Le président américain est obligé d'annuler une étape en Jordanie. Pourtant, chez les experts, la bulle médiatique a déjà explosé. L'attribution est incertaine, les dommages sont trop limités, les rares vidéos authentifiées figurent des nombres restreints de corps et de blessés.

« Il n'y a pas 200, voire 500 morts, mais plutôt quelques dizaines, probablement entre 10 et 50 », confie à l'AFP une source d'un service de renseignements européen. Un rapport du renseignement américain, consulté par l'Agence française, parle, lui, de 100 à 300 morts. Ce qui en ferait déjà un incident extrêmement meurtrier. Le renseignement militaire français, toujours très discret, sort même de son silence pour confirmer, samedi 21 octobre, qu'à ses yeux, l'origine de l'explosion n'est pas une frappe israélienne.

Conséquences géopolitiques

Affaire classée ? Rares sont les experts qui osent se prononcer définitivement. Il reste une infime possibilité que l'explosion ait été déclenchée par autre chose que la roquette défaillante, par exemple par une munition d'artillerie israélienne, comme le suggérait encore vendredi une analyse de Forensic Architecture, un groupe de recherche britannique en Osint.

« Les schémas de fragmentation peuvent indiquer que le projectile venait du nord-est, la direction du côté contrôlé par Israël dans les environs de Gaza », indique cette analyse, critiquée cependant rapidement par d'autres experts qui rappelaient que la chute chaotique d'une roquette pouvait générer une fragmentation contraire à sa trajectoire. Il faudrait aussi considérer comme une coïncidence extraordinaire la chute d'une roquette défectueuse à l'heure exacte de l'explosion et à proximité. Et dans ce cas, expliquer pourquoi le Hamas n'a pas présenté des débris de la munition israélienne.Hamas-Israël : la guerre sera longue, très longue

Concernant le bilan, la prudence reste aussi de mise. Les chiffres les plus élevés – 500 ou 800 – semblent clairement surévalués. Reste qu'il y a bien eu beaucoup de morts ce soir-là à l'hôpital Al-Ahli. Emily Tripp, directrice d'Airwars, une organisation fondée par d'anciens journalistes et des experts militaires pour faire de la veille sur les campagnes de bombardement aériennes, donne le bénéfice du doute aux Gazaouis. « Les ministères de la Santé ont d'habitude ce genre d'estimations préliminaires assez fiables. Mais ce cas est extrêmement compliqué, étant donné l'échelle de l'explosion, les informations sur les personnes s'abritant dans l'hôpital, la campagne de bombardement en cours, et, plus généralement, la difficulté à extraire les corps de décombres et à les décompter… »

Si la « frappe israélienne » n'a jamais existé, ses conséquences géopolitiques sont en tout cas déjà bien concrètes. « Cette superbe “info-opération” a réussi à faire dérailler l'escale jordano-palestinienne de la visite de Biden, note François Heisbourg, conseiller spécial du président de la Fondation pour la recherche stratégique, un groupe de réflexion français. Ce cas d'école sera étudié par des générations de journalistes. » Mais ce sont les conséquences sur le terrain, dans l'opinion publique palestinienne et israélienne, et dans l'esprit de leurs dirigeants, qui pourraient être les plus profondes.

« Précipitation »

Trois jours après l'explosion à l'hôpital de Gaza, dans le kibboutz Be'eri, le major Marcus Sheff, porte-parole réserviste de Tsahal, donne volontiers son sentiment : « Je me sens extrêmement, totalement frustré, que des médias qui se respectent aient pu prendre le Hamas au mot ! », déplore-t-il, au milieu d'un nuage de poussière de blindés qui font des allers-retours le long de la clôture du kibboutz.

Derrière, les maisons sont détruites. Cent huit sur les 1 100 habitants ont été assassinés. Des équipes d'ambulanciers viennent encore ramasser quatre corps d'Israéliens abattus près de la bordure de sécurité treize jours plus tôt, alors que les terroristes les traînaient vers Gaza pour les prendre en otages, avant de changer d'avis. D'autres ramassent les corps des chiens, eux aussi exécutés.

 Hamas, Hezbollah… l'internationale terroriste iranienneAvant le 7 octobre, cet ancien journaliste dirigeait une ONG engagée pour la paix. « Le Hamas a perpétré ici des actes d'une brutalité absolue. Ils ont violé des femmes, ils ont tué des enfants en face de leurs parents et des parents en face de leurs enfants, décrit-il. Et cependant, certains croient qu'ils ne mentiraient pas aux médias ? »

En tant qu'ex-journaliste, le major Sheff est révolté. « Je trouve choquant que des médias présentent comme un fait un bilan de 500 morts et ajoutent juste à la fin “selon le Hamas” pour se dédouaner. Peut-être qu'ils auraient dû demander : “Comment, Messieurs du Hamas, avez-vous pu compter autant de corps en quelques minutes ?” Ils n'ont pas fait les vérifications nécessaires avant de sortir ça, une histoire qui mettait franchement des vies en danger. Une synagogue a été attaquée à Tunis. Une synagogue a été attaquée à Berlin. C'est une conséquence directe de ces histoires, de la précipitation à imprimer les affirmations du Hamas et de la précipitation à publier sur quelque chose que vous n'avez même pas vue, sans aucune source directe sur le terrain. »

OUI et ALORS : Quand on a un président hors sol des réalités qui dit : « Rien ne peut justifier de prendre des civils pour cibles », a écrit le président dès les premières heures du drame, alors que les circonstances n’étaient pas encore établies ?!

Pourtant fausse information contre ISRAEL par ce mensonge avéré du HAMAS et ses soutiens car il y en a beaucoup semble-t-il dans notre monde instable malade et devenu dangereux !?

Il ferait mieux de se taire simplement car là on a la preuve qu’il ne nous protège pas car jamais aux faits des évènements à l’exemple des émeutes récentes en France par ses trublions de jeunes délinquants (qu’il n’avait pas venu soi-disant venir ce qu’il a admis lui-même sans aucun amour propre) par son incapacité flagrante à décider et donc à nous protéger tout comme pour la menace poutinienne au frontières  européennes et ses bavardages avec le maitre du Kremlin et cette malheureuse guerre ukrainienne dont il voudrait rayer le pays de la carte européenne que l’on oublie avec ce drame d’ISRAEL et ces juifs dont ce Hamas qualifié de terrorisme qui veut éliminer tous les juifs (retour funeste de cette solution finale de l’hitlérismes qui a fait tant de morts innocents hommes femmes et enfants !?)

Car notre petit président bourgeois bon chic bon genre donneur de leçon bien pensantes hypocrites dont tout le monde se moque et n’écoute plus n’est plus à la hauteur de sa tache de chef d’état qui ne protège pas assez notre pays et ses concitoyens dont certains encore avalent tout de sa mauvaise politique ce qui est regrettable voir très risquée !?

Que faut-il de plus par exemple : car en ce moment le château de Versailles est évacué pour une nouvelle alerte à la bombe (et on nous dit que l’on arrête ces malfaisants !?)

JDeclef 22/10/2023 13h16

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1 commentaire:

  1. La censure du POINT poubelle qui ne peut cacher sa complicité en faveur du pouvoir en place inutile et inefficace qui ne nous protège pas assez dans notre FRANCE cible des islamistes de tous poils car dans un pays encore libre mais mal protégé par nos dirigeants pleutres indignes de nous diriger avec nos politiciens els et réélus comme notre président et sont gouvernement totalement dépassé et plus à la hauteur de sa tache !?
    Tant pis pour nous qui l'avons mérité pour notre malheur peut être à venir car ce n'est pas fini !?

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