dimanche 22 octobre 2023

Les Français lambda versatiles partisans « du chacun pour soi » dévastateur vont payer l’addition de leurs erreurs ou leurs mauvais choix pourtant pouvant encore mieux voter qu’ils ne le font car (encore) dans un des pays les plus libres de notre monde devenu instable voire dangereux (mais jusqu’à quand !?)

 

Hôpital de Gaza : Emmanuel Macron a-t-il tweeté trop vite ?!

« Rien ne peut justifier de prendre des civils pour cibles », a écrit le président dès les premières heures du drame, alors que les circonstances n’étaient pas encore établies.

Par Julien Peyron, Mathilde Siraud

Notre président si bavard ne s’écoutant même plus parler car personne ne l’écoute plus d’ailleurs confirme son inutilité (hélas les Français naïfs pas tous bien sûr mais pas assez nombreux l’ont réélus en lui donnant trop de pouvoir car beaucoup ne comprenant pas la politique de ce monde instable devenu dangereux avec en plus dans notre pays une insécurité qui progresse sans cesse avec ce terrorisme islamique qui renait car seulement en sommeil nous faisant revenir + de 20 en arrière !?

Après avoir fermement condamné l'attaque terroriste du Hamas contre Israël, le président était-il désireux, eu égard aux événements, de rééquilibrer sa position ? À voir la vitesse avec laquelle il a réagi au drame à l'hôpital Al-Ahli de Gaza, la question se pose.

Dès mardi soir, alors que l'explosion vient de survenir, Emmanuel Macron est en déplacement à Tirana (Albanie) et s'empresse de communiquer via son compte X (ex-Twitter). La détonation survient le 17 octobre vers 19 heures, heure de Gaza, 18 heures à Paris. Elle provoque instantanément un émoi international. Quelques heures plus tard, à 23 h 57, heure de Paris, le tweet du chef de l'État est publié.

« Rien ne peut justifier une frappe contre un hôpital. Rien ne peut justifier de prendre des civils pour cibles. La France condamne l'attaque contre l'hôpital Al-Ahli Arabi de Gaza qui a fait tant de victimes palestiniennes. Nous pensons à elles. Toute la lumière devra être faite », écrit le locataire de l'Élysée. « L'accès humanitaire à la bande de Gaza doit être ouvert sans délai », a-t-il ajouté dans un second tweet. Ces deux déclarations sur le réseau social sont ensuite traduites et diffusées en anglais.

« Le tweet est parti très, très vite »

Au moment où le président communique, les informations sont encore largement insuffisantes pour comprendre ce qui s'est réellement passé. Trois jours après, le nombre de victimes tout comme l'origine de ces frappes restent encore à déterminer. Israël accuse le mouvement palestinien de tirs de roquette, tandis que le Djihad islamique impute la responsabilité du drame à Tsahal. Une source au sein du renseignement militaire français a communiqué des informations vendredi 20 octobre qui disculpent, selon elle, l'armée israélienne. « Ce que nous savons, c'est que ce n'est pas un missile envoyé par les Israéliens. Mais selon nos éléments balistiques, il s'agirait plutôt d'un tir de roquette qui a été détourné ou qui a connu des avaries techniques et dont des éléments ont touché le parking proche de l'hôpital. »À LIRE AUSSI Que s'est-il réellement passé à l'hôpital Al-Ahli à Gaza ? La formulation du tweet du président laisse entendre que la frappe est intentionnelle, au risque d'incriminer, sans le dire, Israël. « Le tweet est parti très, très vite », reconnaît un proche d'Emmanuel Macron, gêné aux entournures. Un spécialiste de la zone relativise, considérant que le tweet en question « n'est pas infamant, car il n'attribue à personne le bombardement ». Contrairement aux Insoumis qui, partant « d'hypothèses », accusent directement Israël. Olivier Faure, patron du Parti socialiste, a effacé son tweet dans lequel il qualifiait le bombardement de l'hôpital à Gaza de « crime de guerre de Tsahal ».

Vu le contexte très intense et très lourd, inflammable, c’est nécessaire de montrer qu’il y a des paroles fortes et claires du président.Entourage du président

Dans l'entourage du chef de l'État, on argue qu'il s'agit d'un événement qui touche aux civils et qui implique pour la France de rappeler les principes du droit humanitaire international. Mais l'utilisation du terme « cible » interroge, puisqu'il apporte une interprétation sans avoir de véritable information sur le déroulé des faits. « C'est utilisé de manière générique sans prendre position de manière trop spécifique », justifie-t-on. « Vu le contexte très intense et très lourd, inflammable, c'est nécessaire de montrer qu'il y a des paroles fortes et claires du président. Il n'a pas qualifié, il rappelle des principes importants. On constate les faits, ça fait un marqueur. »

Hôpital de Gaza : anatomie d'un naufrage médiatique

Le communiqué du Quai d'Orsay, publié concomitamment, est plus factuel et plus précautionneux dans sa tonalité.

« La France condamne avec fermeté la frappe contre l'hôpital Al-Ahli dans la ville de Gaza, qui a fait un nombre très important de victimes civiles palestiniennes. Le droit international s'impose à tous et doit permettre la protection des populations civiles. » « Nous n'avons pas pointé de responsabilité dans notre communiqué et nous avons bien fait à la vue des très grands doutes qui pèsent sur la version initiale véhiculée de cet incident », se targue une source diplomatique, pointant implicitement l'ambiguïté élyséenne. « La France veut rester sur les faits, ce qui est documentable, plutôt que de naviguer en fonction des injonctions sur réseaux sociaux. D'ailleurs, je vous fais remarquer que nous avons été critiqués le soir même pour ne pas avoir accusé Israël. »

Parmi les réactions des dirigeants occidentaux, on note une prudence plus marquée de la part de l'Américain Joe Biden, qui indique avoir mobilisé ses équipes pour recueillir davantage d'informations. Dans la même veine, le Premier ministre britannique, Rishi Sunak, relaie sur son compte X la réaction de son ministre des Affaires étrangères, qui évoque sobrement la protection des civils.

La communication numérique du président en question

Depuis le regain de tensions au Proche-Orient, ce n'est pas la première fois que la communication numérique du chef de l'État interroge. Quatre jours après l'attaque du Hamas, alors qu'il est en visite d'État à Hambourg (Allemagne), la présidence publie par erreur sur X une déclaration conjointe de plusieurs pays sous forme de communiqué exhortant l'Iran à ne pas « exploiter » la situation en Israël, avant de corriger avec une nouvelle version du texte. La publication d'un tweet faisant la publicité du Pass Culture en pleine crise au Proche-Orient a aussi fait tiquer certains proches du président. Il a été rapidement supprimé.

« Il y a un vrai sujet avec son compte X. Un coup il publie en hébreu, un autre en espagnol… On n'y comprend plus rien, c'est dramatique », se désole un fidèle du locataire de l'Élysée, qui évoque aussi la diffusion d'un clip sur la visite du roi Charles s'ouvrant sur des images de… Waterloo. « Il y a une autonomie de dingue des équipes désormais, c'est inquiétant », poursuit-il.

 Hamas-Israël : la guerre sera longue, très longueLe premier à avoir développé la visibilité numérique du président est son ancien conseiller spécial, Ismaël Emelien. « La communication numérique est devenue un outil tellement usité que c'est obligatoire pour entrer dans les débats, pour informer. Avec ses tweets, Emmanuel Macron « désintermédie ». C'est important de le faire de manière directe et immédiate pour colorer un débat, avoir un impact », expose l'un de ses lieutenants.

Les conseillers qui ont accès au compte du président se comptent sur les doigts d'une main. Pour les tweets internationaux, la cellule diplomatique propose, puis Alexis Kohler, le secrétaire général, et Emmanuel Macron lui-même valident. « Les circuits de validation à l'Élysée sont… très compliqués ! » conclut, dans un sourire, un ancien du Château.

Notre président est un bavard qui parle trop et trop vite ce qui confirme ses indécisions voire son incompétence et sa procrastination pathologique !?

Sans oublier une dose de compassion larmoyante sa spécialité car bien sur un chef d’état est un homme et peut se tromper comme d’autres l’ont fait avant lui mais quand on a en charge la France et son peuple que des Français perdus ne sachant plus qui choisir depuis + de 40 ans dans notre classe politique médiocre et ses politiciens de tous bords dont certains ne rêvent que profiter de l’or des lambris du palais de l’Elysée et ses avantages digne de l’ancien régime monarchique dont on arrive pas à se débarrasser et du trop de pouvoir qu’ils ont donnés à ces présidents en les élisant et même les réélisant grâce à cette Vème république gaullienne qui n’a duré que peut de temps avec C.de GAULLE son créateur car ses Français égoïstes versatiles se sont empressés de rejeter ce grand homme mais déjà âgé trop conquérant ou simplement plus intelligent qu’eux à cause d’un referendum qu’il avait initié sur un sujet sans grande importance la suppression du Sénat et ses politiciens poussas repus genre de préretraités sans limite d’âge car il avait confiance en ces Français lambda mais il s’est trompé !?

Depuis environ + de 40 ans on a vu la dégringolade continuelle de la France par sa politique intérieure et internationale médiocre qui se déverse dans un caniveau d’égout nauséabond !?

Les gens de ma génération n’y peuvent rien car les Français actuels qui n’ont pas connu de Gaulle et même l’U.E. et sa constitution avortée par encore des politiciens que çà gênait nous amène vers 2027 car n’y comprenant rien en espérant garder leurs petits conforts étriqués pour certains (mais tant pis pour les autres !?)

Une marche de plus vers l’anarchie rampante !?

JDeclef 22/10/2023 11h34


1 commentaire:

  1. C'est une honte cette censure arbitraire de cet hebdo LE POINT qui ne mérite pas d'être lu par des abonnés comme moi ou d'autres car ne respectant pas la liberté d'expression droit inaliénable de tous les Français ce qui correspond à un irrespect insultant pour eux car oubliant que nous sommes (encore) dans un pays libre (espérons le encore longtemps) une chance précieuse qu'il ne faut pas perdre et
    surtout protéger avant que ce ne soit trop tard car notre pays va mal et aussi le monde libre qui devient instable voire dangereux !?

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