jeudi 24 janvier 2019

Un moyen qui peut être efficace et simple à mettre en place qui devrait l’être depuis longtemps !


Caméra-piéton : un gage de démocratie

Comme par hasard, les extrêmes s'insurgent contre l'enregistrement vidéo des interventions policières. Aux États-Unis, le dispositif a fait baisser la violence.


Marine LE PEN n'en veut pas. Olivier Besancenot suspecte la police d'en faire un usage partial. Toutes les ritournelles les plus rances continuent d'être fredonnées tandis que, pour la première fois depuis le début du mouvement des Gilets jaunes et des violences qui l'accompagnent chaque samedi, le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner vient de faire une annonce intéressante : toutes les forces de sécurité utilisant des lanceurs de balles de défense (LBD), nouvelle dénomination des Flash-Ball, seront équipées de caméras-piétons.
De quoi s'agit-il  ? D'appareils qui permettent d'enregistrer les actions des policiers. Pourquoi cette annonce  ? Parce qu'après un moment de sidération, assez long, dû à l'intensité des violences de certains manifestants contre les forces de l'ordre, qui ont malheureusement rappelé qu'un gendarme ou un policier pouvait risquer sa vie en exerçant son métier a surgi la question des violences policières. Impossible, entre les fausses nouvelles et les manipulations, de connaître leur nombre exact, mais le ministère de l'Intérieur a fini par s'interroger sur de possibles dysfonctionnements graves. Ce questionnement est une première bonne nouvelle démocratique. Ce n'est pas la seule.

La charge de la preuve

La décision d'équiper de caméras, dès samedi prochain, les forces de l'ordre armées de lanceurs de balles de défense, principaux accusés des « bavures », doit être saluée. Cette procédure a été expérimentée avec succès aux États-Unis, où, contrairement à la France, les violences policières sont un phénomène de société à part entière. Avec le recul, il apparaît qu'elle a permis de diminuer de façon spectaculaire les exactions venant des policiers, mais aussi celles qui sont dirigées contre eux. Les forces de l'ordre ont d'ailleurs, dans leur immense majorité, accueilli ce nouvel équipement avec soulagement. Elles se trouvaient de plus en plus filmées par des délinquants en puissance qui diffusaient ensuite sur les réseaux sociaux la séquence qui leur était la plus favorable. Le fait de non seulement pouvoir mais de devoir – les policiers américains ne choisissent pas de déclencher leur caméra, ils en ont l'obligation – filmer une intervention a inversé la charge de la preuve.
C'est la même chose en France, même quand il s'agit de maintien de l'ordre et non plus de police du quotidien. S'insurger contre ce dispositif, c'est vouloir, dans une période hautement inflammable, jeter de l'huile sur le feu.
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Étant donné que les manifestants se servent de leur smartphone pour filmer à tout va les agissements de la police :

Il n'y a pas que les trublions et délinquants violents cagoulés comme des lâches qui doivent s'en sortir et que l'on relâche faute de preuve du fait d'une justice laxiste qui se retranche derrière le droit judiciaire borné d'un code pénal inadapté !

Étant donné que la police ne peut se défendre correctement enfermé et corseté dans des directives ou règlements qui protège ces voyous de tous poils ne pouvant leur frotter vertement leurs oreilles et qui en plus connaisse bien ce code pénal pour ne pas se faire prendre ce qui d’ailleurs est bien connu aussi par une certaine jeunesse mineure délinquante :

Car cette police anti-émeute est là pour essayer de maintenir un semblant d’ordre et protéger les français et leurs biens public ou privé, mais pas là pour subir les assauts de d’individus dangereux qui eux utilisent des armes de guerre comme les cocktails Molotov par exemple ou boule de pétanque en acier, barre de fer, boulon tiré à l’aide de lance pierre, pavé, jet d’acide etc..!

Mais hélas en France on oublie tout quand les incidents divers sont passés et on relâche la garde en diminuant effectifs ou moyens comme cette loi anti casseur que l’on déclare anti constitutionnelle avant qu’elle soit voté et qui déjà a été édulcoré et qui existait et qu’un de nos anciens présidents s’était empressé de supprimer !

Après on voit le résultat et ces gogos certains français bien-pensant après pleurniche, car ils sont versatiles, car il faut savoir ce que l’on veut un pays sécurisé normalement ou une anarchie galopante ou la violence pour tout et n’importe quoi augmente du fait que l’on essaie d’agir, mais toujours avec retard, car cette situation diverse perdure depuis mai 2018 et avant et nos ministres trop politiciens de l’intérieur qui se succèdent qui sont vite dépassés !

Jdeclef 24/01/2018 09h41

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