mercredi 2 janvier 2019

Si l'on met de côté son attitude dédaigneuse à l'encontre de certains français lambda « de peu » comme il s’est plu à le dire !


Vœux 2019 : la classe politique française vent debout contre Macron

« Imposteur », « donneur de leçons »... L'opposition a vivement critiqué l'allocution du chef de l'État à l'occasion de ses vœux aux Français, lundi soir.


Face aux vœux d'Emmanuel Macron pour l'année 2019, l'opposition n'a pas retenu ses coups. Le chef de l'État a abordé de nombreux sujets lors de sa prise de parole depuis le palais de l'Élysée, parmi lesquels la colère des Gilets jaunes, mais aussi la désinformation, la lutte contre le réchauffement climatique. Devant les Français, le président de la République a exprimé trois vœux : un « vœu de vérité », un « vœu de dignité » et un « vœu d'espoir ». Mais, pour la classe politique française, Emmanuel Macron a loupé son discours.
« On ne sait pas pourquoi, mais tout ce qu'il dit tombe à plat. Et, quand on comprend, on préférerait ne pas avoir entendu. Quel lunaire donneur de leçons  ! » n'a pas hésité à lancer Jean-Luc Mélenchon sur Twitter. Avant d'ajouter : « Le président des riches a fait son rideau de fumée. Le partage des richesses, t'as compris, Monsieur Macron  ? »
Même critique acerbe du côté de la présidente du Rassemblement national, Marine Le Pen. Sur Twitter, celle-ci se désole : « Ce président est un imposteur... Et un pyromane... » Nicolas Dupont-Aignan, pour sa part, estime qu'« Emmanuel Macron sera donc pire en 2019 ».
Chez Les Républicains, on regrette qu'Emmanuel Macron ait décidé de réciter « un texte sans émotion, sans conviction et si loin de la réalité des Français. Un clip de campagne plus que la parole d'un homme d'État », écrit la porte-parole du parti, Laurence Sailliet.
Les critiques fusent également à gauche, au PCF notamment, où le secrétaire national Fabien Roussel estime que, dans son allocution, Emmanuel Macron est apparu comme « un président moralisateur qui va poursuivre ses réformes sans tenir compte des colères, des attentes de ceux qui aspirent tout simplement à vivre mieux ». Chez les socialistes, certains ont décidé de jouer la carte du sarcasme, à l'image de Boris Vallaud, porte-parole du parti : « Débattons tous ensemble de la ligne que j'ai décidé tout seul de ne pas changer. »
Emmanuel Macron ne s'est toutefois pas fait que des ennemis lors de ses vœux 2019. Alain Juppé, maire de Bordeaux, a salué une « excellente intervention » de la part du chef de l'État. « Dans la forme comme sur le fond, le cap est donné », a-t-il estimé sur Twitter. Un discours également salué par Bruno Le Maire : « Je crois que la France porte en elle un projet inédit : ne plus subir, retrouver la maîtrise de notre vie. Intervention lucide et courageuse d'Emmanuel Macron pour #2019. Maintenant, retroussons-nous les manches pour rebâtir ensemble la #France. »
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Entre autres expressions irrévérencieuses envers le peuple d'en bas, qu’il a trop employé ces derniers temps !

Par le discours de ses vœux convenu, il a remis les pendules à l’heure en soulignant qu’il est encore « le chef » ce monarque républicain sans couronne !

Et après cette tempête sociale, a maintenu sa ligne de conduite rigide et bornée, teintée de certitude habituelle comme nos ex dirigeants passés avec une bonne couche de donneur de leçon qui irrite bien sûr de nos concitoyens !

Parallèlement à cela il a été élu par défaut ne l’oublions pas à cause de ce système électoral de cette V eme république obsolète faite pour ces politiciens élus et un dirigeant à qui on a donné trop de pouvoir pour (un) soi-disant changement que tous les français attendaient !

Mais lui est bien conscient qu’il n’était pas là pour plaire à tout le monde, et pour le changement à marche forcée avec ses reformes, ce n’est pas forcement ce qu’espérait le peuple (dit souverain...)

En plus, il a contre lui une opposition médiocre pour pas dire inexistante qui fait comme « les chiens qui hurlent et la caravane passe » !

Il reste donc aux français à encore apprendre à mieux voter avec plus de rigueur dans le choix de leur dirigeant au plus haut de l’état, car d’ici 2022, ils n’ont pas fini de souffrir à moins d’un accident de parcours, mais ne doutons qu’il va faire plus attention pour ne pas se faire piéger !

Exemple : de la dureté de sa politique, serrer la vis des chômeurs qui soi-disant ne cherche pas assez de travail en leur supprimant leurs allocations, alors que c’est déjà un drame de perdre son emploi dans cette société ou l’argent est roi, ou s’attaquer aux retraités qui eux aussi ne peuvent que subir après de nombreuses années de travail !

Jdeclef 02/01/2018 08h22

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