Monde
Attentat à Berlin : Dangereux, lié à des
salafistes, le suspect était déjà dans le collimateur de la justice
ATTENTAT Les autorités allemandes ont
confirmé que le suspect recherché depuis mercredi, Anis Amri, était déjà visé
par une enquête pour des soupçons de préparation d’un attentat…
La chasse à l’homme se
poursuit en Allemagne et même dans toute l’Europe. Les autorités allemandes
ont confirmé, ce mercredi, rechercher activement un ressortissant tunisien,
« classé dangereux » après
l’attentat au camion-bélier perpétré, lundi soir, sur un marché de Noël de
Berlin et qui a causé la mort de douze personnes selon un dernier bilan.
Son nom : Anis Amri.
Il y a un
nouveau suspect, on recherche ce suspect », a simplement voulu indiquer le
ministre de l’Intérieur à la mi-journée. Si Thomas de Maizière a demandé à
l’opinion de ne pas « accorder trop de foi aux spéculations » en
cours, d’autres responsables politiques n’ont pas hésité à les attiser, et le
parquet a fini par dévoiler son identité en fin de journée.Confirmant les informations circulant dans plusieurs médias allemands, Ralf Jäger, ministre de l’Intérieur de la région Rhénanie du Nord – Westphalie, a ainsi expliqué, vers 16 h, que le suspect était visé par une enquête fédérale depuis novembre pour des soupçons de préparation d’attentat. Il aurait ainsi fait l’objet d’un signalement auprès du centre allemand de lutte contre le terrorisme.
Une demande d’asile rejetée
Agé de 24 ans selon
le parquet, Anis Amri, qui utiliserait plusieurs identités, aurait été
confondu par un document que les enquêteurs ont découvert, dès lundi soir, dans
la cabine du camion meurtrier. Il s’agirait d’un récépissé de demande d’asile.Attentat à Berlin: Les contrôles renforcés aux frontières
De fait, le suspect aurait déposé une demande d’asile dans la ville de Clèves, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, en avril. Une demande que les autorités auraient rejetée, en juin, en raison justement des soupçons pesant sur lui. Pour autant, l’homme n’avait pas été expulsé, les autorités tunisiennes refusant de confirmer qu’il s’agissait de l’un de leurs ressortissants.
En lien avec un prédicateur irakien
interpellé en novembre
« Il s’agit d’un
individu classé dangereux, que les services de sécurité connaissaient et qui
appartenait à la scène islamiste-salafiste », a indiqué, de son côté,
Stephan Mayer, député (CDU, droite) spécialiste des questions de sécurité.S'appuyant sur des sources au sein de la police, plusieurs médias ont indiqué que l’homme en question était en lien avec Ahmad Abdulaziz Abdullah A., un prédicateur irakien interpellé en novembre pour avoir tenté de mettre en place une filière d’acheminement de djihadistes vers la Syrie.
>> Attentat à Berlin: On a traduit la revendication de Daesh
Disposant de plus de 500 indices, les policiers
poursuivaient, mercredi en fin de journée, leurs investigations pour tenter de
le retrouver. « Etre suspect ne veut pas dire qu’on est l’auteur des
faits », a rappelé Thomas de Maizière.
A.MERKEL est forcément fragilisée par çà
politique migratoire dans son pays !
Ce personnage caméléon a la tête de « monsieur tout le monde »
change d’identité comme de chemise et l’Allemagne n’est pas un état policier,
beaucoup moins que la France (de par son passé
historique) et ne mettra pas en place un état d’urgence !
Ce personnage débouté du droit d’asile
maintes fois, mais pas expulsé vers son pays d’origine semble-t-il (problème récurrent..!) Pas seulement en
Allemagne !
Parallèlement à cela dans un 1er
temps, la Tunisie n’a pas voulu le reconnaitre comme un de ces ressortissants et
pourtant ce pays à subit aussi des attentats de terrorisme islamique, peut-être
par honte indirectement ou par manque de franchise, car pays musulman ?!
On notera une augmentation de ces djihadistes
en provenance du Maghreb dont certains ont été interpellé avant passage à l’acte
comme originaire notamment du Maroc !
C’est désolant, mais il faudra bien que
les états européens judéo/chrétien resserrent leurs contrôles sur cette
religion et leurs lieux de cultes et sur les ressortissants de pays musulmans
islamistes voulant vivre en France ou s’établir en Europe, cela déplaira aux
bienpensants hypocrites partisans du politiquement correct, mais cela devient une
mesure de sécurité préventive plutôt que de subir de tels drames depuis des décennies
et qui augmente potentiellement et qu’il vaut mieux prévenir que guérir !
Le « monde
des bisounours » est utopique car « tout
le monde n’est pas beau et gentil hélas chez les humains » et a besoin
d’être mieux encadré, la liberté à tout va, style 1968 « il est interdit d’interdire est bien morte » par la
folie des hommes !
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