mardi 22 septembre 2020

Séparatisme mot choisi par E.MACRON , que celui-ci repousse éternellement un sujet même plus important que la demande de sécurité que les français attendent !

 

Coignard – « Séparatismes » : le mot piégé de Macron

CHRONIQUE. Le président croyait avoir trouvé le terme magique pour qualifier les ennemis de la République. Il en est, au contraire, bien embarrassé !

Encore un rendez-vous manqué ! Emmanuel Macron devait prononcer un discours attendu sur les séparatismes dans la République lors d'un déplacement à Lunel (Hérault) ce mardi. L'Élysée a préféré reporter l'événement, et il faudra attendre le 2 octobre pour savoir ce que le président prévoit pour traiter ce sujet brûlant s'il en est. À moins qu'une nouvelle dérobade ne survienne au dernier moment. Le chef de l'État, en effet, a du mal à franchir l'obstacle dès qu'il s'agit de laïcité.

Il avait semblé prendre un nouvel élan avec l'emploi de l'expression « séparatisme islamiste » lors d'un discours prononcé à Mulhouse en février dernier. Mais, peu à peu, le mot est passé du singulier ou pluriel afin de noyer le poisson et de ne pas se faire taxer d'islamophobie, sans doute. C'est alors que la communication de l'exécutif s'est encalminée.

Coignard – Macron : la laïcité à (très) petits pas

Dans l'opinion, il y a ceux qui ne comprennent pas pourquoi un qualificatif, réservé jusqu'à récemment aux Corses, aux Basques ou aux Bretons qui revendiquent leur indépendance, a soudain changé de définition. Il y a ceux qui ont noté ce glissement sémantique et qui le trouvent hypocrite. Marlène Schiappa, la ministre déléguée à la Citoyenneté, a ainsi évoqué comme exemples de séparatisme le « suprémacisme blanc » et les « dérives sectaires » sans vraiment convaincre. Il y a aussi ceux qui savent bien qu'Emmanuel Macron n'est pas à l'aise avec cette question, dont il s'empare surtout parce qu'il s'y croit obligé pour rehausser son image, pas assez affirmée sur le régalien.

Du retard dans les travaux

Le 4 septembre, il s'était jeté à l'eau lors d'un discours plutôt réussi, au Panthéon, pour célébrer le 150e anniversaire de la République. Il avait souligné que celle-ci n'admet aucun séparatisme et confirmé le dépôt d'un projet de loi dès l'automne. Nous y sommes. Mais les travaux pratiques ont pris du retard.

On dit le président agacé par l'indigence du travail ministériel. Il est vrai que les deux annonces faites en avant-première par Gérald Darmanin et Marlène Schiappa n'étaient pas à la hauteur. La pénalisation des certificats de virginité concerne une pratique certes scandaleuse, mais très marginale. La signature d'une « charte des valeurs républicaines » par les associations qui bénéficient de subventions existe déjà dans de nombreuses collectivités territoriales à l'initiative des élus locaux. Il faut donc, c'est certain, étoffer et approfondir…

Emmanuel Macron ne peut par ailleurs pas ignorer combien sa majorité est divisée entre les partisans de nommer les maux et les choses et ceux qui redoutent par avance les accusations d'islamophobie qui ne manqueront pas de pleuvoir de la part de militants prompts à adopter des postures victimaires.

Toutefois, l'automne vient de commencer et le président est face à l'obstacle. Il n'a guère d'autre choix que de trancher les ambiguïtés sémantiques qu'il a lui-même contribué à créer.

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Car tout est lié !

Il perdra sa réélection, s’il se représente en 2022 !

Car les français lambda, en ont marre de ces dirigeants pleutres qui n'arrivent pas à nommer ou appeler un chat un chat ou ne faisant pas du politiquement correct hypocrite !

Si le président n’est pas capable de dire exactement ses valeurs et sans se tromper, en ne se dégonflant pas comme une baudruche crevée, il ne sert à rien et ne vaut pas mieux que son prédécesseur qui a jeté l’éponge avant la fin !

Et pas digne de diriger le pays et les français qui l’ont élu pas majoritaires en fait se seront trompés une fois de plus, mais ça, on en a l’habitude !

Car repousser un discours important attendu sans cesse, montre bien qu’il est perdu comme son quinquennat médiocre qui s’effrite sans rien de bon à l’horizon !

Pourtant, il a des conseillers, peut-être trop, car il n’a pas appris encore à connaitre ou comprendre les français lambda, car il n’est pas de leur monde sociétal !

Mais, c’est les français qui n’ont pas de chance avec leurs élus qu’ils choisissent et ça dure depuis trente ans et ce n’est pas fini !

Jdeclef 22/09/2020 13h04

1 commentaire:

  1. Un président indécis on en a déjà subit un en 2017 on n'a pas voté pour en reprendre un similaire car on se demande vraiment pourquoi on vote à l'élection présidentielle car changer dans cette Veme république cela devient mission impossible et donner trop de pouvoir à un seul homme est une république monarchique pourquoi avoir fait notre révolution en 1789?

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