Tunisie :
la garde nationale attaquée, trois assaillants tués
Un membre
de la garde nationale a été tué lors d'une attaque au couteau dimanche. Les
forces de sécurité ont répliqué et ont fait trois morts.
À la suite de cette attaque, les forces de sécurité ont poursuivi les assaillants qui avaient volé la voiture de la patrouille et s'étaient emparés des pistolets des victimes, selon la même source. « Dans un échange de tirs, trois terroristes ont été tués », a précisé Houcem Eddine Jebabli. L'attaque et la poursuite des assaillants ont eu lieu à Akouda, dans la zone touristique El Kantaoui, a précisé la même source. Selon cette dernière, la voiture et les armes ont été récupérées par les forces de l'ordre.
La dernière attaque de ce type remonte au 6 mars dernier. Un policier avait été tué et cinq autres blessés, ainsi qu'un civil, dans un double attentat suicide contre des forces de l'ordre protégeant l'ambassade des États-Unis à Tunis. Après la chute de la dictature en 2011, la Tunisie a été confrontée à un essor de la mouvance djihadiste, responsable de la mort de dizaines de soldats et de policiers, mais aussi de nombreux civils et de 59 touristes étrangers, dont une quarantaine à Sousse en 2015.
L'amélioration de la situation sécuritaire
En septembre 2012, l'ambassade américaine avait déjà été
assaillie par des manifestants issus pour la plupart de la mouvance salafiste,
qui entendaient protester contre un film islamophobe réalisé aux États-Unis.
Quatre personnes avaient été tuées et des dizaines blessées lors de violents
affrontements entre police et manifestants. La situation sécuritaire s'est
néanmoins nettement améliorée ces trois dernières années.Chawki Tabib : « Les Tunisiens ont fait une révolution contre la corruption »
Mais des attaques contre les forces de sécurité ont encore lieu, notamment dans les massifs montagneux frontaliers de l'Algérie, et ponctuellement à Tunis. Fin juin 2019, le double attentat suicide revendiqué par le groupe État islamique (EI) avait visé des policiers dans le centre de Tunis et devant une caserne et coûté la vie à un policier. Outre l'EI, Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a perpétré plusieurs attaques meurtrières au cours de la décennie écoulée. Fin février, Aqmi a confirmé le décès d'un de ses chefs, Abou Iyadh, fondateur du principal groupe djihadiste tunisien proche d'Al-Qaïda, Ansar al-Charia, notamment accusé d'avoir orchestré les violences contre l'ambassade américaine en 2012.
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Comme aussi en Angleterre récemment à Birmingham
!
Et surtout que nos dirigeants et leurs
ministres bien-pensants cessent de dire que ce sont des déséquilibrés, alors
que ce sont des criminels terroristes fanatiques !
Où qu’en France, « on n’a qu’un sentiment
d’insécurité » dans le quotidien de notre population avec l’augmentation
des violences diverses, comme a dit notre nouveau ministre de la justice si
médiatique qui ferait mieux de se taire que de parler pour ne rien dire et se
faire remarquer, comme il en avait l’habitude quand il fréquentait les
prétoires quand, il était avocat !
Car en plus on fait le procès en ce moment des attentats
de 2015 et de ses auteurs (dont certains n’ont pas été encore arrêtés) de Charlie
hebdo ou du magasin hyper Kacher !?
Car ces attentats montrent en effet que ces
illuminés religieux sont toujours parmi nous, comme ces djihadistes qui ont
fait sauter un blindé de l’armée française avec une bombe artisanale au MALI
tuant deux de nos soldats !
Mais aussi, ce monde occidental qui est désuni
pour combattre avec plus rigueur ce fléau de terrorisme islamique avec nos
dirigeants qui préfèrent souvent le politiquement correct hypocrite, mais improductif,
et pas seulement pour ces problèmes de crimes lâches contre des innocents !
Jdeclef 06/09/2020 13h18
Mais Le point qui n'aime pas la liberté d'expression pourtant inscrite dans notre constitution à censuré mon commentaire ce qui sert à rien car d'autres médias le publie
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