Gilets
jaunes : une centaine de manifestants à Paris, Bigard insulté
Le préfet
de police de Paris a déclaré ce samedi matin qu'il « ne peut pas y avoir
de destructions, de chaos sur les Champs-Élysées »
Arrivé peu après 10 heures, l'humoriste Jean-Marie Bigard a été fraîchement accueilli par des huées « Bigard, collabo ! ». Ce soutien médiatique des Gilets jaunes s'est désolidarisé cette semaine d'une des figures du mouvement, Jérôme Rodrigues, qui avait assimilé les policiers à « une bande de nazis ». Chahuté, insulté, Jean-Marie Bigard s'est réfugié un moment dans un restaurant de la place, expliquant qu'il s'agissait d'une « mauvaise interprétation ». « Pendant un moment, les gens ont cru que je les lâchais, ce qui est faux, c'est tout », a-t-il expliqué à la presse.
Une centaine d'autres personnes étaient réunies place Wagram, d'où doit partir un cortège à 13 heures. La préfecture de police a indiqué vers 12 h 30 sur Twitter que la Brigade de répression de l'action violente (BRAV) a dû intervenir. « La préfecture de police rappelle que les manifestants doivent suivre l'itinéraire préalablement déclaré », a-t-il été précisé.
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« Il ne peut y avoir de
chaos »
Sur les Champs-Élysées, où deux
manifestations ont été interdites par la préfecture de police, un important
dispositif policier était déployé pour procéder à des contrôles d'identité et
des fouilles des sacs sur l'avenue et dans les rues adjacentes, bien en amont,
a constaté l'Agence France-Presse De nombreux commerçants ont également
barricadé leurs vitrines, mais aucun rassemblement de Gilets
jaunes n'était observé en milieu de matinée.
Sans
donner de chiffres globaux sur les effectifs mobilisés, le préfet a évoqué un
dispositif « approprié », « important », avec notamment le
déploiement de 160 motards des brigades de la répression de l'action
violente (BRAV-M). Didier Lallement a confirmé l'assistance, dès ce samedi,
d'un « superviseur » pour chaque porteur de LBD afin d'aider « à
la maîtrise et au bon usage » de cette arme, et le retrait des anciennes
grenades à main de désencerclement (GMD) remplacées par un nouveau modèle,
réputé moins dangereux, conformément aux annonces du ministre de l'Intérieur
Gérald Darmanin vendredi. D'autres rassemblements sont prévus tout au long de
la journée dans des grandes villes de France (Marseille, Toulouse, Lyon, Lille,
Nantes, Nice, Bordeaux ou Strasbourg…). À Toulouse (Sud-Ouest), qui a été
un des bastions du mouvement dans le pays, la manifestation a été interdite par
les autorités locales notamment en raison « des taux élevés de propagation
de la Covid-19 ».
Qui se sont infiltrés dans la manifestation et
le nombre d'interpellations préventives!?
Il faudra faire le bilan en fin de cette
journée de trublions qui vont encore gâcher les week-ends de PARIS et d’autres
villes de France, depuis trop longtemps !
La seule chose que l'on semble constater, c'est
qu’il y a encore cette plaie de casseurs que l’on n’arrive pas éradiquer !
De toute façon, le gouvernement pour l’instant
n’a à peu près rien fait, en termes de revendications, de ces gilets jaunes, mais
en ce qui concerne les français lambda et parmi eux, cela ne les pas empêchés
de prendre des vacances et comme à chaque rentrée post congé reprendre des
manifestations anti-gouvernementales habituelles !
Le problème qui ne faiblit pas, c’est les
casseurs qui font feu de tous bois pour semer le chaos on ne le dira jamais
assez, qu’il faut traiter avec une extrême rigueur, en termes de justice et répression,
mais ce n’est pas encore le cas !
Et si on veut parler de la crise sanitaire avec
le Covid 19 et les mesures dites barrières avec ces mouvements de foule, c’est
oublié par tous les manifestants !?
Jdeclef 12/09/2020 13h59
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