lundi 11 septembre 2017

En effet Mr COLLOMB est bien timoré et frileux envers ses fonctionnaires !

L’éternel visage fatigué de G.COLLOMB…

Coignard - Fonctionnaires radicalisés : les demi-mesures de Collomb

Le ministre de l'Intérieur veut agir face aux fonctionnaires radicalisés. Mais pas tous. Un progrès insuffisant après l'apathie de ses prédécesseurs.

Jusqu'ici, quand nous découvrons qu'un agent s'est radicalisé, nos marges de manœuvre sont très faibles », déplore Gérard Collomb dans Le Parisien . Cette déclaration sonne comme une condamnation de l'action conduite par les ministres de l'Intérieur qui se sont succédé depuis les attentats de janvier 2015. Bernard Cazeneuve, qui est resté près de trois ans Place Beauvau, entre avril 2014 et décembre 2016, n'a-t-il donc rien décidé sur ce sujet très sensible tandis qu'il multipliait les déclarations martiales ?
« Il faut pouvoir muter et radier un fonctionnaire radicalisé lorsqu'il exerce des missions de souveraineté ou un métier en lien avec la sécurité », assure Gérard Collomb. Il annonce que la loi antiterroriste, sur laquelle il sera auditionné ce mardi 12 septembre par la commission des Lois de l'Assemblée nationale, le permettra. Cela, ajoute-t-il, « concernera les policiers, les gendarmes, les militaires, les douaniers et le personnel pénitentiaire ». Fort bien. Mais quid des autres secteurs de l'administration ?

Et l'Éducation nationale ?

L'Éducation nationale ne mérite-t-elle pas, elle aussi, d'être mise à l'abri de telles influences ? Le danger ne relève nullement de l'hypothèse mais de la réalité. Dans son livre Principal de collège ou imam de la République (Kero), Bernard Ravet, qui a exercé ses fonctions dans trois établissements particulièrement sensibles situés à Marseille, raconte ce qui se passe quand il découvre qu'un des surveillants fait du prosélytisme auprès des élèves. Cet homme, placé sous surveillance depuis plusieurs mois par les services de police, distribue discrètement au sein du collège un fascicule publié en Arabie saoudite et interdit en France au titre de la protection de la jeunesse. Bernard Ravet, effaré par sa découverte, alerte le rectorat, qui ne veut rien savoir :
« - Merci de nous avoir informés. Mais on ne peut rien faire.
- Pardon ?
- Ce monsieur a signé un contrat. Il est titulaire pendant six ans.
- On peut au moins le déplacer dans un établissement où son prosélytisme fera moins de dégâts qu'auprès de collégiens de ce quartier ?
- Non, sauf si vous réussissez à le prendre la main dans le sac. Bon courage. »
Il y a dans ce « bon courage » toute la fourberie d'une institution qui préfère ne pas faire de vagues, quel que soit le prix à payer pour les élèves en particulier et pour la société en général.
Avec sa proposition limitée, le ministre de l'Intérieur ne répondra en rien à la solitude du principal de collège aux prises avec un surveillant radicalisé. C'est plus que dommage. C'est regrettable.
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Il a peur de qui ou de quoi Mr le ministre de l’intérieur ?

Mr le président a bien dit qu'il fallait lutter contre le terrorisme islamique, la radicalisation en est une branche !

Si G.COLLOMB  est trop mou, il ne fallait pas le nommer à cette fonction, serait-ce une erreur d’E.MACRON ?

Ou bien ce ministre est trop vieux, car il faut un homme dynamique pour cette fonction pas un homme qui n’ose pas !

Ce n’est pas la première fois que l’on voit sont attentisme et en ce qui concerne les fonctionnaires qui ont une propension à manifester leur mécontentement par protestations et grèves c’est peut-être cela qui lui fait peur !?

Les fonctionnaires comme nos élus d’ailleurs sont trop protégés et profitent d’avantages nombreux que d’autres n’ont pas, il faut remettre les pendules à la même heure dans notre pays


Jdeclef 11/09/2017 10h37 LP

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