Benoît Magimel condamné à trois mois de prison avec sursis
L'acteur a plaidé coupable. Il avait été interpellé lundi
soir à Paris alors qu'il cherchait à se procurer de la drogue auprès de son
dealer.
Sollicité après l'annonce de la condamnation de son client, Me Pascal Garbarini, épaulé par Me Pauline Baudu-Armand, a indiqué que « Benoît Magimel est en pleine reconstruction par rapport à son addiction. Il se reconstruit petit à petit. Évidemment, cette lutte contre son addiction n'est pas sans rechute. Pour autant, il n'abandonne pas et continue de se battre. » « Nous nous félicitons de cette obligation de soins voulue, souhaitable et souhaitée en parfaite harmonie avec l'état d'esprit qui est celui de Benoît Magimel », a ajouté son avocat.
Interpellé ce lundi 18 septembre, vers 4 heures du matin, dans le quartier Châtelet-Les Halles par une patrouille de la brigade anticriminalité (BAC), le comédien avait été placé en garde à vue dans les locaux du commissariat du 4e arrondissement dans le cadre d'une enquête pour trafic de stupéfiants.
Antécédents
Toujours
selon nos informations, au moment de son arrestation, il était dans sa voiture
avec son dealer. Il aurait reconnu ce rendez-vous au cours de sa garde à vue.
L'acteur aurait remis plusieurs centaines d'euros à son trafiquant en échange
d'une dose de cocaïne. Les policiers ont par ailleurs découvert d'importants
résidus de poudre blanche à l'intérieur du véhicule du comédien. L'homme
se trouvant avec lui, présenté comme son fournisseur de drogue, a également été
placé en garde à vue.César du meilleur acteur dans un second rôle en 2016 pour La Tête haute et prix d'interprétation masculine à Cannes en 2001 pour La Pianiste, l'acteur a déjà eu maille à partir avec la justice et la police. Le 13 juin dernier, Benoît Magimel avait été condamné par la cour d'appel de Paris à 3 500 euros d'amende pour avoir renversé une piétonne en mars 2016 et à 1 200 euros d'amende pour conduite sous l'emprise de stupéfiants en février 2014. Les faits s'étaient déroulés dans le 16e arrondissement de Paris le 11 mars 2016. L'acteur conduisait une voiture de location lorsqu'il a renversé une femme de 62 ans en effectuant une marche arrière. La victime s'était vu reconnaître cinq jours d'incapacité totale de travail (ITT).
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Selon ce
que l'on apprend : il était dans sa voiture avec son dealer personnel ?!
Il
doit être vraiment être un toxicomane accroché à sa drogue, il écope d'une
peine de prison avec sursis ?
(Si ce fameux suris que l'on n'utilise trop
pour bien des délits divers devrait être restreint voir supprimé surtout pour tous
récidivistes, et cela ferait peut être réfléchir tous les délinquants de tous poils,
même si les prisons sont trop pleines !)
Parallèlement
à cela l’obligation de soin pour B. MAGINEL devrait être obligatoire par
contrainte et même hospitalisation pour désintoxication, cela lui rendrait plus
service, car s’il est accroc semble-t-il et ses soins financés par lui, car il
en a surement les moyens, puisqu’il dépense de l’argent pour sa drogue, de plus
pour cette mise à l’épreuve, elle sera contrôlé par qui, car on sait bien qu’un
drogué accroc perd sa volonté et replonge facilement dans son addiction !
Et
puis il y a cette suspicion de trafic de stupéfiant à élucider, son dealer devrait
en dire plus !
Et pour
B.MAGINEL ce n’est pas parce que c’est un acteur connu célèbre qu’il doit être
traité différemment d’un individu lambda, car il peut s’offrir de bon avocat !
Jdeclef
20/09/2017 18h47
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