lundi 11 septembre 2017

Depuis le temps KIM JUNG UN se fiche totalement de l'ONU et de son conseil de sécurité !?

L'ONU va durcir ses sanctions contre la Corée du Nord

Le Conseil de sécurité de l'ONU devrait notamment imposer un embargo pétrolier "progressif" à Pyongyang.


Le Conseil de sécurité de l'ONU est sommé d'adopter ce lundi 11 septembre de nouvelles sanctions drastiques contre la Corée du Nord. Washington, qui a dû composer avec Moscou et Pékin, a réussi à imposer un embargo pétrolier « progressif » dans ce nouveau texte. La position officielle de la Chine et de la Russie, dotées d'un droit de veto, sur un texte amendé et définitif diffusé dimanche soir par les États-Unis, n'est pas connue alors que le vote va avoir lieu dans la soirée. Un premier projet de résolution américain, dévoilé mercredi dernier, se voulait « maximal » sur « absolument tout » pour sanctionner le sixième essai nucléaire nord-coréen mené le 3 septembre, selon les termes d'un diplomate.
Il prévoyait notamment un embargo total et immédiat sur le pétrole, les produits pétroliers et le gaz, le renvoi en Corée du Nord de ses expatriés (plus de 50 000, selon l'ONU), le gel des avoirs de Kim Jong-un, l'interdiction d'importer du textile nord-coréen et des inspections au besoin par la force de navires en haute mer suspectés d'acheminer des cargaisons interdites par les résolutions de l'ONU. Après quatre jours de négociations ardues avec principalement la Chine et la Russie, deux soutiens de la Corée du Nord avec laquelle ces pays partagent une frontière, l'embargo pétrolier est devenu « progressif » et devrait dépendre des évolutions de la position nord-coréenne, selon des diplomates.
Le gel des avoirs du dirigeant nord-coréen, dont Pékin et Moscou ne voulaient pas, est retiré du texte, tandis que l'interdiction concernant le textile a été approuvée par les cinq membres permanents du Conseil de sécurité ayant un droit de veto (outre les États-Unis, la Chine et la Russie, la France et la Grande-Bretagne). Les mesures concernant les expatriés nord-coréens et les inspections par la force de navires suspects ont été « dégradées », selon une source diplomatique qui n'a pas détaillé les changements.

Un premier plan de sanctions plus sévère

À l'origine, les États-Unis, soutenus par Londres et Paris, voulaient interdire le financement et l'emploi des expatriés nord-coréens, ce qui revenait à les renvoyer tous dans leur pays d'origine. Mais la Russie, qui compte quelque 35 000 travailleurs nord-coréens sur son sol, s'est opposée à cette mesure extrême, selon une source au fait des négociations. Lors de la dernière résolution de sanctions, adoptée le 5 août, le nombre de travailleurs expatriés nord-coréens dans le monde avait été plafonné.
À quelques heures de la mise au vote du projet de résolution américain, la Corée du Nord a exprimé haut et fort son opposition à ce qui constituerait un huitième train de sanctions internationales contre Pyongyang. Les résolutions de l'ONU ont été à chaque fois plus sévères. Elles visent à pousser la Corée du Nord à négocier ses programmes nucléaire et conventionnel, jugés menaçants pour la stabilité internationale. Lundi, la Corée du Nord a averti les États-Unis qu'elle leur infligerait « la plus grande des souffrances et des douleurs » s'ils persistaient à vouloir que l'ONU durcisse les sanctions à son encontre.

Pyongyang profère de nouvelles menaces

Dans un communiqué reproduit par l'agence de presse officielle KCNA, le ministère des Affaires étrangères avertit que si Washington « met en place cette résolution illégale sur un durcissement des sanctions, la Corée du Nord fera en sorte d'être absolument sûre que les États-Unis en payeront le prix ». Le dernier train de sanctions internationales contre Pyongyang remonte au 5 août. Il faisait suite à deux tirs de missiles intercontinentaux nord-coréens. Il interdit les importations de charbon, de fer et de la pêche venant de Corée du Nord, et vise à priver ce pays d'un million de dollars de recettes par an.
Il n'a guère encore produit d'effets, étant trop récent et alors que les conséquences de sanctions ne peuvent intervenir que sur le long terme, lorsqu'elles sont respectées. À titre d'exemple, il a fallu plus de dix ans de sanctions pour amener l'Iran à négocier son programme nucléaire. Dans un rapport publié ce week-end, des experts de l'ONU notent que « plus le régime de sanctions est étendu » pour la Corée du Nord, « et plus les contournements sont nombreux » venant de ce pays, que ce soit pour « l'embargo sur les armes », « les sanctions financières » ou « sectorielles sévères ». Leur document dénonce aussi une application aléatoire des sanctions et précise que Pyongyang est passé maître dans l'art d'utiliser des pays tiers pour acheminer ses cargaisons ou conclure des transactions financières.
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Et puis il doit compter sur le véto de la Russie et de la Chine comme toujours ?!

Alors, nous allons voir selon cette énième résolution onusienne (si elle est entérinée bien sûr) par tous les membres du conseil de sécurité !

Donc résumons, la Corée du nord menace comme d’habitude, mais ça, ce n’est pas nouveau et elle peut se calmer provisoirement et laisser retomber la pression et remettre çà à plus tard, comme d’habitude, mais au vu des derniers essais, il est à douter qu’elle abandonne leur course au nucléaire offensif (pour se protéger, selon la paranoïa exacerbée de son dirigeant instable !)

Les dernières sanctions à minima n’ont rien donné et pas gêné plus que çà, le dictateur coréen sauf, peut-être l’énerver un peu plus !

Hélas, les membres de ce conseil onusien bidon ont laissé faire et maintenant, il est trop tard, la Corée du nord possède l’arme atomique bien que ce soit moins bien important que la masse de celle que possède les USA et la Russie !

Les occidentaux paient leurs tergiversations habituelles, comme ils l’ont fait avec d’autres dictateurs, lors des dernières guerres mondiales ou autres et par leurs mésalliances hasardeuses !

Nos dirigeants sont des pleutres, car ils ont peur de cette soi-disant dissuasion hypothétique mais menaçante et aléatoire dont personne ne veut se servir…

Les USA ont ouvert la boite de pandore en 1945 et maintenant, on n’en paie les conséquences !

On serait tenté de dire que c’est à eux de nous sortir de ce problème, mais avec D.TRUMP c’est plus que risqué !


Jdeclef 11/09/2017 14h23

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