vendredi 22 septembre 2017

KIM JUNG UN a traité de déséquilibré D.TRUMP est-ce complètement exagéré ?!

Trump, Dr Jekyll et Mr Hyde

Au-delà des menaces contre l'Iran ou la Corée, Donald Trump n'a jeté aux orties ni l'ordre mondial, ni le respect des droits de l'homme, ni le rôle de l'ONU.


Évidemment, du premier discours prononcé par Donald Trump devant l'Assemblée générale des Nations unies l'histoire ne retiendra sans doute que l'agressivité dont il a fait preuve à l'égard de la Corée du Nord et de « Rocket Man », alias Kim Jong-un, son dictateur, embarqué dans une « mission suicide » qui, si les États-Unis, ou leurs alliés, se sentaient menacés, ne pourrait les amener à « d'autre choix que de détruire totalement » ce pays.
Les analystes s'arrêteront également sur le jugement porté par le président américain sur un traité nucléaire avec l'Iran qualifié d'« embarrassant », ce qui était le moins après avoir déclaré qu'il s'agissait du « pire accord jamais signé par les États-Unis ». Il faut toutefois retenir aussi que, dans ce « discours sur l'état du monde » censé définir le programme de politique internationale de Washington, Trump n'a pas pour autant annoncé qu'il allait dénoncer le traité sur le nucléaire de 2015 le mois prochain, quand il devra rendre compte au Congrès de son application.
Bien sûr, on ne peut s'empêcher de comparer la prestation à la même tribune, deux heures plus tard, d'Emmanuel Macron, tout en nuance et esprit de consensus, avec un Donald Trump tout en exaltation et violence contre ceux qui pourraient « sombrer en enfer ».

Trump applaudi

Et pourtant, il y a eu dans le discours du président américain des passages plus intéressants et modérés sur sa vision du monde et la politique de son pays autrefois accusé d'« hyperpuissance ». Son soutien de la démocratie, des droits de l'homme et d'une communauté de nations basée sur leur prospérité et leur souveraineté n'est guère critiquable. Sauf par les tenants d'un multilatéralisme pur et dur. Pas plus que ne semble déplacé l'engagement de renoncer pour les États-Unis à vouloir imposer leur système de vie à d'autres pays. L'Irak et bien d'autres savent ce que ce messianisme a pu leur coûter. Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si, dans une enceinte qui lui est pourtant plutôt hostile, le président américain a été applaudi à cinq reprises, et notamment sur ce passage.
En fait, l'avenir dira ce qu'il faut retenir du discours de Donald Trump :
- Sa mise en avant du rôle des Nations unies pour lesquelles l'investissement des États-Unis sera justifié si l'ONU remplit correctement sa mission d'assurer la paix, ce qui est le moins que l'on puisse attendre de cette institution internationale.
- Ou alors ses vitupérations et ses menaces contre des États dictatoriaux et menaçants (la Corée du Nord), corrompus « sous le masque de la religion » (l'Iran) ou encore paralysés par un socialisme « qui a apporté l'angoisse, la dévastation et l'échec » (le Venezuela).

L'ascension de Nikki Haley

Ceux qui connaissent bien la Maison-Blanche de Trump voient dans la partie positive et consensuelle du discours la main de Nikki Haley, très active ambassadrice des États-Unis à l'ONU. Cette fille d'immigrés indiens est de plus en plus écoutée par Trump. Surtout depuis qu'elle a réussi à faire voter par la Russie et la Chine au Conseil de sécurité des motions condamnant la Corée du Nord.
La deuxième partie du discours de Trump, au ton très accusateur, serait l'œuvre, selon les spécialistes, de Stephen Miller. Lui, c'est à la fois le conseiller politique et la plume du président. Surtout quand elle est assassine. C'est d'ailleurs lui qui avait rédigé le discours d'investiture évoquant « le carnage dont l'Amérique était victime ».
Lequel des deux aura l'oreille du président dans ses prochaines postures ou décisions de politique étrangère, notamment sur la Corée du Nord et sur l'Iran ? On dit à Washington que Nikki Haley pourrait très prochainement remplacer comme secrétaire d'État Rex Tillerson. Ce serait sans doute là une nouvelle rassurante dans un monde où Trump est président des États-Unis.
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Car lui, suit une ligne de conduite dangereuse par sa paranoïa pathologique et peur viscérale des USA et surtout de son nouveau président !

N’arrêtant pas sa marche en avant pour se donner des armes nucléaires de plus en plus performantes et puissantes à cause des occidentaux qui n’ont rien fait pour le stopper depuis le début de son escalade pour l’empêcher, car cela ne date pas d’hier, bien avant l’élection de D.TRUMP !

Car D.TRUMP est fantasque et imprévisible, on l’a déjà vu depuis son élection alors qui des deux est le Dr Jekyll et Mr Hyde !?

Car le dictateur coréen du nord tient d’une main de fer son peuple qui souffre moins que dans le passé en faisant passer son action pré-guerrière pour celui-ci, comme un moyen défense de son pays contre les USA qui entretiennent une armée depuis 1953 à la frontière de la Corée du sud pour la protéger de sa séparation avec le nord toujours en armistice, mais pas en fin de conflit !

Quant à D.TRUMP c’est un orgueilleux aboyeur qui ne veut pas perdre la face contre ce petit pays et son dirigeant et qui multiplie des réponses et effrayantes menaces qui ne semblent pas troubler KIM JUNG UN !

Donc il faut souhaiter que l’un des deux ne dérape pas, même par accident, car cela fera une réaction en chaîne irréversible, hélas pour le monde entier !


Jdeclef 22/09/2017 10h59 LP

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