vendredi 2 février 2018

Ce que l'on peut constater c'est que ce problème d'immigration devient la plaie de notre pays !

Migrants à Calais : Collomb dénonce « un degré de violence jamais connu »

VIDÉO. Des affrontements entre des centaines de migrants ont fait des dizaines de blessés jeudi après-midi. Le pronostic vital de quatre d'entre eux est engagé.


Après les affrontements entre différentes communautés de migrants qui ont fait une vingtaine de blessés, dont quatre entre la vie et la mort, le ministre de l'Intérieur s'est rendu sur place dans la nuit de jeudi à vendredi. « C'est un degré de violence jamais connu, » a déclaré Gérard Collomb à la presse au commissariat de Calais, déplorant des événements « exceptionnellement graves ». « Ce que vivent les habitants de Calais est insupportable. » « Je suis venu réaffirmer notre mobilisation face aux passeurs qui nourrissent quotidiennement violences et rixes », a ajouté le ministre, qui a rencontré les forces de l'ordre, les pompiers et des membres de l'Office français de l'immigration et de l'intégration.
Plusieurs rixes ont éclaté jeudi après-midi à divers endroits de Calais, entre des centaines de migrants, et 22 personnes ont été hospitalisées, selon un dernier bilan officiel. Cinq migrants ont été touchés par balle, dont quatre grièvement, et l'un d'eux a reçu une balle dans la nuque, selon une source policière. Les autres souffraient de nombreux traumatismes et autres blessures provoqués, pour certains, par des armes blanches, selon la préfecture. Et deux policiers sont également légèrement blessés. Au vu du nombre de victimes, « on est revenu à une situation qui ressemble beaucoup à celle de 2015 », année de création de la « jungle », démantelée en octobre 2016, a-t-on commenté de source judiciaire. Toutefois, « chaque jour ne se ressemble pas en termes de violence », a-t-on ajouté. Des forces de sécurité « complémentaires » avaient été déployées sur place, selon la préfecture.

Trois rixes

Une première rixe a éclaté vers 15 h 30 entre une centaine de migrants érythréens et une trentaine d'Afghans, en un lieu proche du centre hospitalier de la ville où avait lieu une distribution de repas, selon la préfecture. Des tirs à l'arme à feu venant d'un ressortissant afghan seraient à l'origine de cet affrontement, indique-t-on, ce qui accréditerait la thèse de la présence de passeurs sur place. Quatre migrants, qui seraient âgés de 16 à 18 ans et de nationalité érythréenne, ont alors été blessés par balle et leur « pronostic vital était engagé », a déclaré à l'Agence France-Presse le parquet de Boulogne-sur-Mer. La direction régionale de la police judiciaire (DRPJ) et la brigade mobile de recherches de la police aux frontières ont été saisies. Aucune interpellation n'avait eu lieu dans la soirée.
Puis, vers 16 heures, une deuxième rixe s'est déroulée à environ 5 kilomètres de là, à Marck-en-Calaisis. « Une centaine de migrants africains armés de bâtons ont voulu s'en prendre à une vingtaine d'Afghans », a rapporté le parquet. La police a protégé les Afghans pris à partie par 150 à 200 Érythréens, selon la préfecture. Puis, en fin d'après-midi, de nouvelles violences ont éclaté dans la zone industrielle des dunes à Calais, non loin du site de l'ancienne « jungle ». « Les Afghans sont venus pour une distribution de repas rue des Verrotières et sont tombés sur une forte présence africaine. On a eu un mouvement de foule qui a entraîné des blessés avec des barres de fer », a indiqué le parquet à l'Agence France-Presse. Six migrants ont alors été blessés, selon le parquet, dont un grièvement à la tête. « Le conflit entre Afghans et Africains a toujours été sous-jacent. C'est malheureusement un schéma classique » de voir des affrontements entre eux, a commenté une source préfectorale.

Règlement de comptes ?

Il s'agit du bilan le plus lourd depuis le 1er juillet 2017 lorsque des bagarres inter-ethniques avaient fait 16 blessés, dont un grave. Un an plus tôt, le 26 juin 2016, d'autres rixes avaient fait 40 blessés, dont aucun n'avait été atteint gravement. La dernière rixe entre migrants ayant débouché sur des blessures par balle remonte au 25 novembre 2017, lors d'un échange de tirs entre deux groupes d'Afghans, possible règlement de comptes entre passeurs. Cinq d'entre eux avaient été blessés. Environ 800 migrants, qui veulent passer en Grande-Bretagne, vivent actuellement à Calais, selon les derniers chiffres des associations, entre 550 et 600, selon la préfecture.
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Et plus particulièrement dans la région de Calais  qui souffre de cela depuis des décennies tout çà à cause d'une frontière qui n'est pas à sa place  à cause d'accords idiots fait par nos gouvernements précédents avec les anglais spécialistes du beurre et l'argent du beurre et qui ne voulaient que çà, mais surtout pas les inconvénients !

Maintenant que les britanniques ont choisi le BREXIT il faut dénoncer ces accords fermement ils ne font déjà pas partie de Schengen, ni de l’UE à terme, alors qu'ils prennent en charge ces immigrants qui désirent tant aller chez eux et garde leur frontière, ce n’est pas aux français de le faire à leur place !

Mr COLLOMB s’offusque à juste titre de ces violences entre migrants de mini guerre civile n’ayant rien à voir avec la France !

Ces migrants n’ont qu’une obsession réoccuper le terrain pour passer en face et maintenant en plus en causant des nuisances impossible à régler par les associations de bien-pensant hypocrites qui bien sûr ont besoin de l’état, mais c’est le tonneaux des danaïdes sans fond depuis le temps que ça dure ce fichant d’ailleurs des habitants de la région qui devient une zone de non droit couverte de policier ou il ne fait plus bon vivre !

Il faut que le président MACRON qui a hérité de ce gros problème, mais çà, il le savait, ce n’était pas une surprise, tape sur la table envers l’ANGLETERRE  et ces associations qui nourrissent ce ver qui est dans le fruit depuis trop longtemps et il en sera remercié n’en déplaisent aux « pisses vinaigres » faux donneurs de leçon !

Dans notre pays de palabres on ne sait pas nommer les problèmes comme il le faut n’y les régler, on laisse traîner et après on ne peut plus s’en sortir (regarder les 50 ans de aéroport de NNDL ..!)


Jdeclef 02/02/2018 15h28 LP

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