samedi 24 février 2018

HIDALGO une réminiscence d’une certaine gauche caviar d'un ex PS ?!


Anne Hidalgo : le vernis craque

Zéro pointé en finances, en littérature et en droit. Après avoir fait illusion, la maire de Paris doit se préparer à une seconde moitié de mandat difficile.


Anne Hidalgo dit le bien, pense le bien, fait le bien. C'est ce que tente de promouvoir sa communication depuis qu'elle s'est assise dans le siège de son ex-mentor Bertrand Delanoë en 2014. Au début, la vie politique s'est montrée plutôt clémente pour elle. A-t-elle été enivrée par cette douce indulgence ? En août 2016, elle a décrété que les voies sur berge de la rive droite n'étaient plus destinées aux voitures. Pourquoi pas ? La tendance, dans toutes les grandes métropoles mondiales, est à la réduction de la place tenue par l'automobile.
Mais là où ses homologues choisissent la concertation, la méthode graduelle, elle opte pour la hache. La commission d'enquête publique rend un avis défavorable ? Pis, elle considère que le périmètre de référence (1er, 4e, 7e et 12e arrondissements) est mal choisi, que la banlieue est superbement ignorée, que les conséquences positives sur la qualité de l'air ne sont pas démontrées, alors que les bouchons occasionnés sur la partie haute des quais risquent au contraire d'augmenter la pollution pour les riverains ? Anne Hidalgo s'assoit confortablement sur ces arguments pour faire voter comme un seul homme la « piétonnisation ».
Mais le mercredi 21 février, le tribunal administratif a tout annulé. Il a estimé que l'arrêt « comportait des inexactitudes, des omissions et des insuffisances concernant les effets du projet sur la circulation automobile, les émissions de polluants atmosphériques et les nuisances sonores, éléments majeurs d'appréciation de l'intérêt général du projet ». Bref, que rien en amont ne venait étayer l'oukase de la maire en ce qui concerne l'environnement et la qualité de vie.
 Voies sur berge : nouveau revers pour Anne Hidalgo

Échec à tous les étages

À Paris comme ailleurs, un malheur n'arrive jamais seul. En cet hiver 2017-2018, l'irruption massive des rats dans la capitale est relayée par les réseaux sociaux pour étayer le ressenti des Parisiens comme des visiteurs : la Ville lumière est sale, de plus en plus sale. Au même moment, l'une des grandes réussites du mandat précédent, le Vélib', vire au cauchemar. Tandis que la maire roule en voiture même pour effectuer un saut de puce, les cyclistes sont condamnés à la marche : le nouveau concessionnaire se montre incapable de répondre au cahier des charges.
 Coignard - Vélib' : Kafka à bicyclette
Et voilà qu'Anne Hidalgo tourne le dos à son grand ami d'hier, le roi des forains Marcel Campion, soudain en difficulté face à la justice. C'est moche pour une femme qui a lancé sa campagne électorale depuis une des installations de ce personnage très controversé.
Du côté des finances, rien ne va plus. La hausse de la taxe de séjour acquittée par les touristes, la majoration de la surtaxe d'habitation sur les résidences secondaires et autres biens meublés non loués, l'augmentation des droits de mutation sur les ventes immobilières, l'envolée des tarifs de stationnement, entre autres, montrent que la promesse de ne pas augmenter les impôts n'engageait que ceux qui y croyaient.

Vive les Jeux !

Pour parachever son œuvre de bienfaisance, Anne Hidalgo a cru bon de refuser une sépulture parisienne à l'écrivain et académicien de droite Michel Déon. Elle s'est réfugiée derrière le droit pour justifier une décision idéologique, mais a dû capituler devant l'indignation générale. Pour elle, c'est la double peine.  
Il ne reste guère que les Jeux olympiques pour compenser tous ces échecs. Symboliquement, c'est beaucoup, mais, politiquement, c'est trop peu.

Le vernis craque : oui, le titre est bon, car il n’y a pas grand-chose dessous !

Cette maire intolérante tranche dans le vif sans vraiment de concertation et enchaîne semble-t-il les mauvais choix pour les parisiens, mais aussi indirectement pour les habitants de l’IDF qui viennent à PARIS pour y travailler, mais pas seulement !

Les avatars divers s’enchainent, naturellement, mais c’est les parisiens qui l’ont élu, mais ils se sont peut être trompés ou ils l’ont été ?!

Et laissé abuser par cette petite bourgeoise parvenue sans grande envergure pour gérer la capitale de la France ?

Car PARIS ce qui n’est pas rien et peut être que cette ville est trop grosse pour elle !

Et espérons que les JO de 2024 se dérouleront bien ?!

Peut-être qu’ils réfléchiront en allant voter pour leur (nouveau maire) ceci étant pour l’instant, quel maire comme candidat y-a-t-il ?

Seule petite chance pour elle pour sa réélection, mais peut être qu’elle cherche mieux, va savoir avec cette élue à égo bien développé ?!

Jdeclef 24/02/2018 15h03 LP

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