samedi 10 février 2018

Il n’y rien à dire de plus, la justice doit passer, elle a déjà trop assez tergiversé sur le cas de ces parents ignobles ! Surtout que ces deux personnages n’ont fait qu’essayer de ce rejeter le crime l’un sur l’autre ! Notre justice doit (enfin penser à cette petite victime innocente) tombée sous les coups de parents qui en effet n’ont plus le droit au titre de parents ! Il est profondément désolant quand on voit une justice qui cherche à justifier des actes aussi inqualifiables et impardonnables, elle perd trop de temps et en pure perte c’est tout ! Pour des crimes contre enfants innocents, il faut être sévère au maximum !

Procès Fiona : 30 ans requis contre la mère et son ex-compagnon

Lors de son réquisitoire, l'avocat général a soutenu la coaction de Cécile Bourgeon et de Berkane Makhlouf dans la mort de la petite Fiona en 2013.


Trente ans de réclusion criminelle, assortis d'une période de sûreté des deux tiers, ont été requis samedi par l'avocat général à l'encontre de Cécile Bourgeon et de Berkane Makhlouf, jugés en appel devant les assises de la Haute-Loire pour la mort de la petite Fiona en 2013. Le verdict est attendu tard dans la soirée. « Ces violences ont été activées par les deux, par la répétition dans le temps et par la localisation [des coups] sur la tempe gauche de Fiona », a déclaré l'avocat général Raphaël Gentile de Sanesi lors de son réquisitoire, soutenant ainsi la coaction des deux accusés dans la mort de la fillette.

Retrait de l'autorité parentale

L'avocat général a également réclamé un suivi socio-judiciaire de vingt ans, l'interdiction pour une durée de dix ans des      droits civiques et civils, ainsi que pour Cécile Bourgeon le retrait de son autorité parentale sur ses deux autres enfants. « Il y a eu un coup, deux coups, un troisième coup », a-t-il tonné en tapant du pied sur le sol pour simuler la « violence continue »      subie par Fiona « les jours et les heures précédant sa mort ». « Il ne faut pas considérer que [Berkane Makhlouf] est le seul chef d'orchestre parce que moi [Cécile Bourgeon], j'ai intérêt      à me taire, à cacher, à rester dans le huis clos, parce que moi j'ai trempé un peu dans l'histoire », a-t-il poursuivi.
En première instance en 2016, devant la cour d'assises du Puy-de-Dôme, la jeune femme avait été acquittée des faits criminels      – les coups fatals à Fiona – et condamnée à cinq ans de prison pour avoir menti à son sujet. Son ex-compagnon avait écopé      de 20 ans de réclusion pour l'ensemble des faits. Il a demandé aux jurés – exclusivement féminins – de s'appuyer davantage sur la parole de Berkane Makhlouf, « qui n'a pas été      assez entendue à la première session d'assises ». Sa parole avait été jugée « trop tardive et variable » par rapport aux déclarations      de la mère de la fillette. « Pourquoi Mme Bourgeon serait plus crédible que M. Makhlouf ? » a interrogé le magistrat, estimant que la mère de Fiona, qu'il      a jugée « extrêmement perfide » et « extrêmement astucieuse », n'était « ni passive ni instrumentalisée ».
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Il n’y rien à dire de plus, la justice doit passer, elle a déjà trop assez tergiversé sur le cas de ces parents ignobles !

Surtout que ces deux personnages n’ont fait qu’essayer de ce rejeter le crime l’un sur l’autre !

Notre justice doit (enfin penser à cette petite victime innocente) tombée sous les coups de parents qui en effet n’ont plus le droit au titre de parents !

Il est profondément désolant quand on voit une justice qui cherche à justifier des actes aussi inqualifiables et impardonnables, elle perd trop de temps et en pure perte c’est tout !

Pour des crimes contre enfants innocents, il faut être sévère au maximum !


Jdeclef 10/02/2018 18h52

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