dimanche 25 février 2018

N.HULOT n'est pas bien courageux, il préfère que ce soit son patron qui affronte la colère de certains agriculteurs !


Sortie du glyphosate : Nicolas Hulot envisage des « exceptions »

Après le renouvellement de la licence de l'herbicide pour 5 ans par l'UE, Emmanuel Macron avait promis qu'il serait interdit en France « dans 3 ans ».

Nicolas Hulot et Emmanuel Macron en désaccord sur l'herbicide ? Le ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot, qui s'est battu l'an dernier pour une sortie du glyphosate en trois ans, se dit prêt à envisager des « exceptions », dans un entretien à paraître dans Le Journal du dimanche ce 25 février. « On est en train de recenser les alternatives qui existent et leur donner les moyens de faire leurs preuves. Mais je ne suis pas buté et personne ne doit être enfermé dans une impasse : si dans un secteur particulier ou une zone géographique, certains agriculteurs ne sont pas prêts en trois ans, on envisagera des exceptions », a indiqué le ministre, qui ne se rendra pas au Salon de l'agriculture ouvert depuis samedi. « Mais si on arrive à se passer du glyphosate à 95 %, on aura réussi », a-t-il ajouté.
Après la décision de l'Union européenne en novembre de renouveler la licence de l'herbicide controversé pour cinq ans, Emmanuel Macron avait promis que la substance, principe actif du fameux Roundup de Monsanto, serait interdite en France « au plus tard dans trois ans ». Mais fin janvier, le ministre de l'Agriculture Stéphane Travert avait déclaré que la France allait « essayer de sortir » dans les trois ans. « Le président a rappelé que tant qu'il n'y a pas de substitution, il n'y a pas de suppression », avait souligné Stéphane Travert, qui doit présenter à l'issue du Salon de l'agriculture un « plan d'action » en la matière en collaboration avec les autres ministres concernés.

« En l'état, ce traité n'est pas acceptable »


Le JDD indique d'autre part que Nicolas Hulot ne se rendra pas au Salon de l'agriculture, alors que l'ancienne ministre de l'Environnement Ségolène Royal y avait fait une visite l'an dernier. Le ministère de la Transition écologique a confirmé cette information à l'Agence France-Presse, précisant que Nicolas Hulot « privilégie le dialogue direct avec les parties prenantes dans de bonnes conditions d'échange ». « Je préfère dialoguer loin des regards et des caméras, c'est ma méthode », a expliqué le ministre au JDD, précisant qu'il avait reçu « tous les acteurs de la filière agricole et de l'alimentation ». Ses deux secrétaires d'État Sébastien Lecornu et Brune Poirson doivent se rendre au salon dans la semaine.
Alors que les agriculteurs ont manifesté cette semaine partout en France contre l'accord de libre-échange en cours de négociations entre l'UE et les pays du Mercosur, Nicolas Hulot a également estimé qu'« en l'état, ce traité n'est pas acceptable ». « Il serait trop préjudiciable, notamment pour nos agriculteurs, et la France a des lignes rouges très claires », a ajouté le ministre, qui avait déjà critiqué l'accord de libre-échange UE-Canada (Ceta) entré en vigueur partiellement en septembre.
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Notamment sur ce glyphosate, mais pas seulement, il est totalement dépassé !

Il vient de se rendre compte qu’il n’a pas la main pour décider n’importe quoi et notamment certaines propositions utopiques dignes d’écologistes illuminés !

La politique d’un pays c’est bien autre chose et le fait d’être ministre ne donne pas plein pouvoir, car il dépend d’un 1er ministre et surtout du président de la république qui lui pilote la politique de la France !

Donc depuis sa nomination comme ministre de la Transition écologique titre ronflant il est tombé dans la toile d’araignée macronienne tendue par le président et s’il ne veut pas être mangé définitivement comme une mouche prise dans la toile, a été obligé de faire marche arrière sur d’autres sujets en passant par le nucléaire par exemple etc…

Ce Mr HULOT est un bateleur médiatique depuis les succès de ces reportages spectaculaires style Ushuaia qui plaisaient aux français dont certains n’ont retenus que çà, cela n’en faisait pas pour autant un écologiste « non » utopique loin de là, raison pour laquelle le président l’a choisi et piégé, disons-le tout net !

S’il en a marre de se voir bloqué ou freiné dans ces propositions quelque fois exagérées, il faudra qu’il passe la main avant qu’on lui demande de partir, s’il est intelligent !

(Et puis soyons sérieux tous ces écolos politiques empêcheurs de tourner en rond dans les divers gouvernements de tous bords, ministres ou autres n’ont été que des pétards mouillés qui ont fait pschitt si ce n’est que pour faciliter l’élection de nos présidents de la république !)

Jdeclef 25/02/2017 13h08 LP

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