Covid-19 :
pour Macron, le mot « confinement » n'est « pas adapté »
Le
président estime qu'il faut « freiner ses contacts pour éviter que le
virus ne se diffuse », mais que « se promener dehors n'est pas
mauvais ».
Ce
qu'on veut, c'est freiner le virus sans nous enfermer, ce n'est pas être
confiné. C'est vivre avec [le virus], je le dis depuis un an, sans
fatalité », a expliqué le président. Au cours d'une rencontre à l'Élysée à
l'occasion de la Journée de la francophonie, vendredi 19 mars, Emmanuel
Macron a estimé auprès de journalistes que le terme de
« confinement », pour décrire les mesures annoncées la veille contre
l'épidémie de coronavirus, n'était « pas adapté » à la situation
actuelle.
« Ce qu'on a appris en un an, c'est qu'il ne faut pas
multiplier les interactions. Il y a une part de responsabilité individuelle. Le
seul moyen, c'est de freiner ses contacts pour éviter que le virus ne se
diffuse. Mais se promener dehors n'est pas mauvais », a poursuivi Emmanuel
Macron. Dans ce cadre, « le terme de confinement à proprement parler n'est
pas le bon. Aujourd'hui, nous parlons de mesures de freinage
supplémentaires », a-t-il estimé.
Dans sa conférence de presse, le Premier ministre Jean Castex a
expliqué que le gouvernement avait choisi une « troisième
voie » avec « de nouvelles mesures de freinage
massives » de l'épidémie imposées dans 16 départements. Il
n'a cité qu'à une seule reprise le mot « confinement » pour les
qualifier, mais ce terme était largement repris dans les médias vendredi.
À ses côtés, le ministre de la Santé Olivier Véran s'est
interrogé : « Est-ce qu'on peut parler d'un troisième
confinement ? Je ne sais pas quel nom il faut donner à ces mesures fortes
qui sont prises. Mais il y a une différence qui est notable, qui est que nous
nous tournons davantage vers l'extérieur. »
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Ce n’est qu’une feuille
fanée sur un arbre malade (la France) qui s’accroche au gré d’un mauvais vent aux
branches à cause de ces crises sanitaires et économiques induites qu’il gère si
mal en compliquant celles-ci plutôt que de faire simple !?
Mais aussi, des autres problèmes
sociétaux que l’on traine comme des boulets depuis les derniers quinquennats de
cette Veme république obsolète !
Se noyant dans des
discours creux alambiqués de donneurs de leçons bien-pensants dont les français
ont cure (quand il en fait,) car maintenant parlant moins, car n’ayant plus
rien à dire de nouveau !
Jouant sur les mots qui sont
loin d’être de l’action qu’on lui réclame, car bien sur s’entourant d’un
gouvernement servile et inféodé à l’image de nos administrations kafkaïennes et
ses kyrielles de fonctionnaires bornés avec à leur tête ce bon 1er
ministre pépère qui essaie comme il peut de convaincre les français gogos qui
restent !?
Jusqu’en 2022 et peut être
après si par malheur cela ne s’améliore pas le chacun pour soi va encore plus
primer !?
Mais comme c’est
(encore) les français versatiles qui l’on élu tant pis pour eux bien qu’on se
demande si un jour ils arriveront enfin à trouver des dirigeants autres que
ceux que l’on a connu depuis trente ans, un vœu pieux loin d’été acquit !
(Pour paraphraser ses
expressions, car il croit qu’elles parlent aux français ?!)
Car eux, les français n’ont pas
réussi à freiner son incompétence !
Jdeclef 20/03/2021 10h21
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