lundi 22 mars 2021

La fumisterie et ineptie de l'état français lui revient dans la face au détriment de la France entière et ses habitants ? Mais c'est à MARSEILLE alors...!?

 

Carnaval non autorisé à Marseille : l’exécutif annonce 9 interpellations

Les participants avaient défilé dans le centre de Marseille dimanche 21 mars lors d’un événement jugé « irresponsable » par la préfecture de police.

Un carnaval non autorisé qualifié d'« exutoire » mais jugé totalement « irresponsable » par les autorités. Déguisées en tournesol, boulanger ou gorille, environ 6 500 personnes, quasiment toutes jeunes et non masquées, ont défié dimanche 21 mars à Marseille contre les restrictions sanitaires destinées à lutter contre le coronavirus. Un carnaval « totalement inacceptable », a déclaré lundi la porte-parole du ministère de l'Intérieur qui a fait état de neuf interpellations et de plusieurs « dizaines de verbalisations ».

« C'est tout à fait inacceptable alors que tous les Français font des efforts, s'adaptent, s'organisent pour respecter au maximum les différentes réglementations qui ont lieu pour lutter contre cette épidémie, on voit un certain nombre de fêtards qui ont, dans l'irresponsabilité totale, participé à ce carnaval », a réagi Camille Chaize sur France Info. « Il y a eu plusieurs dizaines de verbalisations, des interpellations au nombre de neuf, des gardes à vue sont encore en cours et je crois savoir qu'il y a actuellement des liens avec le procureur de la République pour judiciariser au maximum », a-t-elle ajouté. « C'est totalement inacceptable et c'est l'indignation qui règne aussi chez nous au ministère de l'Intérieur », a ajouté Camille Chaize.

La dispersion de la foule a eu lieu à 18 heuresCamille Chaize, porte-parole du ministère de l’Intérieur

À la question de savoir pourquoi les forces de l'ordre n'étaient pas intervenues en amont, elle a répondu : « La dispersion de la foule a eu lieu à 18 heures, en termes d'ordre public, on attend toujours le moment où on peut intervenir sans causer de troubles : il y avait là des familles, on n'utilise pas des armes de force intermédiaire contre des familles et un public festif. » « Donc, on a attendu le bon moment et notamment le moment où (ont débuté) des dégradations contre un manège et contre différents mobiliers urbains », a-t-elle ajouté.

Invitée sur Sud Radio, la secrétaire d'État chargée de la Jeunesse Sarah El Haïry a considéré que la tenue de ce carnaval « ce n'est pas sérieux ». « Ce n'est pas le moment de baisser la garde, de ne pas faire ces efforts : il y aura évidemment la recherche pour savoir qui a fait quoi et quelle est la responsabilité de chacun », a-t-elle ajouté, dénonçant des « images scandaleuses ».

« Venez, on descend sur le Vieux-Port »

Samedi, partant du quartier de La Plaine, le défilé avait glissé dans l'après-midi dans la rue d'Aubagne, toujours dans le centre, où des habitants n'avaient pas hésité à mettre des enceintes sur les rebords des fenêtres transformant la chaussée en dance floor géant. À grands cris de « venez, on descend sur le Vieux-Port », les carnavaliers déchaînés avait ensuite descendu la Canebière sous le regard parfois médusé des promeneurs du dimanche. Et ils avaient brûlé leurs traditionnels chars, certains montant sur le manège à côté en dansant sur les barres du carrousel.

« Les jeunes en ont marre d'être confinés. Il n'y a pas de personnes âgées fragiles là, que des jeunes », lâchait Romain, 26 ans, un des fêtards réunis dans le centre de la deuxième ville de France pour un cortège avec plumes et paillettes et beaucoup de déguisements faits maison, comme ces coiffes en carton en forme de poissons. « C'est incroyable ! On m'avait dit : il y a un truc à ne pas louper à Marseille, c'est le carnaval de la Plaine », poursuivait-il, déguisé en boulanger avec un maillot de Zinédine Zidane sous son tablier, mais qui préfèrait taire son nom de famille. À côté de lui passaient des gorilles, un faux Didier Raoult, la plupart sans masque malgré la densité du cortège. « Je connais plein de potes qui partent à Madrid où tout est ouvert, donc ça fait du bien de voir ça », estimait de son côté Quentin, interne en médecine de 26 ans qui avait son masque de lion et préfèrait lui aussi ne pas donner son nom de famille.

« C'est un événement non déclaré qu'on ne juge pas du tout responsable, car les gestes barrières ne sont pas respectés. Nous effectuons des contrôles aux abords du cortège, notamment sur le port du masque et les contrevenants seront verbalisés », avait indiqué à l'Agence France-Presse la préfecture de police dans un premier temps, estimant le nombre de participants à 6 500.

Vers des restrictions supplémentaires après ce carnaval ?

Dans la foule, Samuel était l'un des rares avec un enfant. « J'avais un peu peur, du coup j'avais double masque », un contre le coronavirus et un vénitien pour le carnaval. « C'est très fort, il y a comme une catharsis, tout le monde est là, se retrouve. Un peu comme un jour exutoire où tout est permis », commentait celui qui ne souhaitait pas non plus décliner son identité complète. Mais, comme d'autres, il se demandait si cette entorse collective aux règles ne risquait pas d'accélérer un resserrement des restrictions ici. « À Dunkerque, il y a eu des titres sur le fait que des gens auraient fêté le carnaval en cachette et, juste derrière, il y a eu des restrictions supplémentaires », ajoutait-il.

Vers 18 h 30, les forces de l'ordre étaient intervenues à deux pas du Vieux-Port pour disperser le rassemblement. En effet, contrairement à Nice, sur la Côte d'Azur, Marseille n'est pas concernée par les nouvelles restrictions entrées en vigueur samedi pour au moins quatre semaines dans 16 départements : les huit d'Île-de-France, les cinq des Hauts-de-France, la Seine-Maritime, l'Eure et les Alpes-Maritimes. Cependant, les restrictions habituelles pour lutter contre la propagation du virus s'y appliquent, dont la limitation des rassemblements et le port du masque.

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Marseille hyper ville (trop) libre 2eme ville de France grand port de la Méditerranée porte de la migration et mélange des cultures totalement incontrôlées par l’état centralisé parisien en est un exemple !

Mais surtout accumulant les clichés qui deviennent réalités depuis 1930 sa langue chantante son soleil du sud-est, qui en ont fait un folklore de par des films ou pièces de théâtre connues à succès racontant son histoire chaotique violente avec acteurs ou écrivains voire poètes non moins célèbres !

Mais aussi avec cette pègre et ses trafics illicites dans certains quartiers de la ville devenant des super marchés de drogue que l’on surnomme le Chicago français ou l’on règle ses comptes à coup d’armes à feux !

Sans compter le clientélisme de l’ancienne municipalité qui a laissé son empreinte et les dégâts qu’elle a produit !

La crise sanitaire et cette restriction de liberté à cause de la Covid n’a pu que montrer l’indiscipline de certains de ces habitants qui ne, respectent, rien comme les heurts entre supporters de matchs de football à l’OM passé !

Donc là avec ce pseudo ersatz de confinement, l’indiscipline de certains s’est montré logiquement dans cette ville à peu près de non droits ou on a arrêté pitoyablement que 9 trublions moins malins qu’on relâchera bien sur car on aura empêché leurs défoulements habituels de délinquants !

Ce qu’il est difficile à comprendre pour cette grande ville de France, c’est que notre état depuis de multiples décennies sous quelques bords qu’ils soient n’ait jamais plus remettre de l’ordre dans cette ville, alors pour le reste du pays depuis 30 ans on n’a pas fait de progrès et çà c’est préoccupant !

Jdeclef 22/03/2021 11h20


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