Covid-19 :
Emmanuel Macron pourrait prendre la parole dès mercredi
Selon
France Info et BFMTV, le chef de l’État envisage une allocution solennelle ce
mercredi à l’issue d’un conseil de défense ou la semaine suivante.
Une
semaine décisive, une de plus. Alors que la situation sanitaire ne cesse de
s'aggraver et que le pic de la deuxième vague a été atteint (et dépassé) au
niveau des réanimations, de nouvelles mesures de restriction pourraient se
révéler inévitables. Selon les informations de BFMTV et de France Info, tout
devrait se décider lors du prochain conseil de défense mercredi avec, le soir
même ou la semaine suivante, une prise de parole du chef de l'État devant les
Français.
Sur la table, plusieurs options pour lutter plus efficacement
contre l'épidémie tout en insistant le plus possible sur la vaccination. La
question de la fermeture des écoles est notamment au cœur des réflexions.
L'exécutif envisage notamment de profiter des vacances de Pâques pour fermer
les établissements pendant trois ou quatre semaines. « Si nous ne prenons
aucune mesure, le risque, c'est que les écoles ferment toutes seules »,
estime un ministre auprès de France Info, alors que le nouveau protocole
sanitaire exige la fermeture d'une classe dès l'existence d'un cas de
Covid.
Éviter le tri des patients
Si Emmanuel Macron compte lui-même prendre la parole,
solennellement, c'est en général pour annoncer de nouvelles mesures, ou leur
terme. Un pas serait franchi, donc, depuis les récentes annonces de Jean Castex
et d'Olivier Véran, ajustements locaux d'une stratégie en place depuis
plusieurs mois. « Si ce sont des mesures qui changent de doctrine, c'est
le président », confirme une source au sein de l'exécutif à BFMTV.
Cotta
– Crise sanitaire : retour à la case départ pour Emmanuel Macron
La crainte majeure pour le chef de
l'État, la ligne à ne pas franchir, est avant tout le tri des patients. Dans
deux tribunes distinctes au JDD et au Monde, des
médecins hospitaliers ont donné de la voix dimanche pour alerter sur le spectre
du tri des patients à la porte des réas. Des « choix terribles pour les
soignants » que le ministre de la Santé Olivier Véran a assuré vouloir
leur éviter, lors d'un entretien dimanche soir avec ces directeurs médicaux de
crise. Si les chiffres montrent que les hôpitaux français n'ont pas encore
atteint cette situation critique, le gouvernement estime notamment que les
transferts de patients ne sont pas assez nombreux, dans trop peu d'endroits.
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À
savoir, si attendre mercredi comme de stupides gogos pitoyables, le bon vouloir
de ce pseudo monarque sans couronne ne rend pas plus malade que la covid
elle-mème!?
Car
avec ses tergiversations que nous subissons sous tous ses gouvernements depuis
le début de cette pandémie avec leurs cacophonies multiples constellées
d'erreurs !?
En
fait le constat lamentable de nos administrations kafkaïennes et leurs
fonctionnaires bornés dirigées par des ministres médiocres, le tout chapeauté
par nos dirigeants d'une incompétence remarquable !
La
France régresse au point qu'on se croit revenus au IXXᵉ siècle!
Mais
comme la honte et le manque d'amour-propre de ceux qui nous gouvernent est
absent, on aura du mal à s'en sortir et si ces crises sanitaires et économiques
cessent, car comme d'habitude, c'est les français lambda qui paieront pour ceux
encore vivants (sans être cynique...)
Jdeclef
30/03/2021 13h24
Il faut croire que notre pays et ses français lambda sont devenus mous ou niais au point de baisser la tête et se résigner du pain béni pour ces politiciens de tous bords au pouvoir ou même dans l'opposition pas meilleurs c'est désespérant voir préoccupant et lamentable car ils mettent en gage leurs vies dans les mains d'un gamin mal dégrossit se prenant pour un pseudo monarque dont il n' a pas la tête pour supporter une couronne Que la FRANCE est tombée bien basse avec ce quinquennat on a régressé de plus de trente ans et ce n'était déjà pas bon avant !
RépondreSupprimerComme quoi un tout petit virus peut laminer des arrogants mais hélas c'est le peuple qui paie