jeudi 11 mars 2021

Le gouvernement, nos chers scientifiques émérites du style (de ce Mr Salomon) et bien sur nos Dirigeants ne sont guère plus avancés que depuis le début de la pandémie !?

 

Covid-19 : où en est l’épidémie dans les départements en surveillance renforcée ?

CARTES. Une vingtaine de départements sont scrutés de près par le gouvernement. La situation s’améliore dans certains mais inquiète dans d’autres.

Ils ont eu droit à une semaine de répit, mais cela va-t-il durer ? Alors que le gouvernement avait prévenu que des mesures seraient prises dans la vingtaine de départements placés sous « surveillance renforcée » fin février si la situation s'aggravait, il a finalement décidé le 4 mars d'un statu quo : un confinement le week-end maintenu à Nice et à Dunkerque et étendu au seul département du Pas-de-Calais. Avant de potentielles nouvelles annonces d'Olivier Véran ce jeudi 11 mars en conférence de presse, le point sur ces départements qui inquiètent.

Au niveau national, le nombre de cas détectés chaque jour en moyenne – lissée sur sept jours – reste stable : depuis le 24 février, il évolue autour de 21 000 cas par jour, et ce, alors que le nombre de tests réalisés reste lui aussi stable. Le taux de positivité est également stable à 7,3 %. Bien que deux cas sur trois soient désormais dus au variant anglais, supposé plus contagieux, on n'observe pas de flambée épidémique pour le moment.

Amélioration en trompe-l'œil dans les Alpes-Maritimes

Mais les indicateurs de suivi de l'épidémie dessinent une France à deux vitesses face au Covid-19. Deux pôles concentrent les territoires les plus touchés par le virus : autour des Alpes-Maritimes et surtout les Hauts-de-France ainsi que l'Île-de-France.

Dans le département des Alpes-Maritimes, dont le littoral est confiné le week-end, le taux d'incidence a reculé de 14 % entre le 28 février et le 7 mars. Pour le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal, cela « montre que ces mesures qui ont été décidées après concertation au niveau local ont des effets dans les Alpes-Maritimes ». Il faut toutefois rester prudent, car, dans le même temps, le nombre de tests a baissé. Moins on teste, moins on trouve : le taux de positivité, lui, n'a pas baissé depuis la semaine dernière. À 10,1 %, il est toujours supérieur à la moyenne nationale (7,3 %). Dans les départements voisins de Provence-Alpes-Côte d'Azur, le taux de positivité est également supérieur à la moyenne, à l'exception des Bouches-du-Rhône (7 %).

Michèle Cotta – Covid-19 : une année en enfer

Dans le Pas-de-Calais, également confiné le week-end, la situation ne s'améliore pas non plus. Un test sur dix revient positif, autant que fin février. Même situation dans le Nord, où le taux de positivité est passé de 8,6 % entre le 22 et le 28 février à 9,1 % entre le 1er et le 7 mars. Dans l'Aisne (10,1 %), l'Oise (10,5 %) et la Somme (9,1 %), le taux de positivité est là aussi supérieur à la moyenne. Dans les deux derniers départements, le taux d'incidence – le nombre de cas pour 100 000 habitants sur les sept derniers jours – s'approche des 300, quand la moyenne nationale est de 220,1.

La Seine-Saint-Denis, département le plus touché

En Île-de-France, le taux de positivité reste toujours très élevé. Il dépasse les 10 % dans les deux tiers des départements. En Seine-Saint-Denis, 13,3 % des tests reviennent positifs, le plus haut taux de tout le pays. Seuls Paris et les Hauts-de-Seine affichent un taux de positivité proche de la moyenne, bien que le taux d'incidence de 338,6 soit largement supérieur à la moyenne.

Autour de l'Île-de-France et des Hauts-de-France, quelques départements voient aussi leurs indicateurs se dégrader. C'est le cas de l'Aube, sous « surveillance renforcée », où le taux de positivité est passé à 10,1 % entre le 28 février et le 7 mars (+ 2 points en une semaine) et où le taux d'incidence (305,9) a bondi de 20 % sur la même période. Le taux de positivité augmente aussi dans l'Eure (10 %, + 2 points) et en Seine-Maritime (8,1 %, + 0,6 point), deux départements qui n'étaient pas en « surveillance renforcée ». Quant à l'Eure-et-Loir, la situation y est stable (8,5 % de tests positifs), malgré son statut de département à risque.

En Moselle, où une forte proportion des cas est due aux variants sud-africain et brésilien, ainsi qu'en Meurthe-et-Moselle, le taux d'incidence recule respectivement de 12 % et 5 % et le taux de positivité des tests (entre 5 et 6 %) est bien inférieur à la moyenne. Autre département sous surveillance : le Rhône, où le taux d'incidence reste stable (235,8) et le taux de positivité légèrement inférieur à la moyenne (7 %). Dans la Drôme, également pointée du doigt, la situation s'est largement détendue : le taux d'incidence a baissé de 16 % en une semaine et seuls 6,5 % des tests sont positifs.

Covid-19 : les variants qui circulent le plus dans votre département

Amélioration à Mayotte

La situation s'améliore aussi à Mayotte : le taux de positivité est tombé à 12,8 % et le taux d'incidence (229,4) a été divisé par quatre en deux semaines. Le confinement en vigueur sur l'archipel va être levé dès ce lundi 15 mars. En Guadeloupe, le taux d'incidence est stable (111,2), mais le taux de positivité recule légèrement sur une semaine (de 9,2 à 8,5 %). Dans les trois autres départements d'outre-mer, le taux de positivité reste faible et oscille entre 2,1 et 4,5 %.

Pendant ce temps, l'occupation des lits de réanimation continue d'augmenter. Au 10 mars, 3 918 malades du Covid-19 sont hospitalisés en réanimation, presque 300 de plus qu'une semaine plus tôt. Dans certaines régions, les hôpitaux sont saturés. En Île-de-France et dans les Hauts-de-France, des transferts de patients vont bientôt devoir être, de nouveau, organisés.

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Car perdus, Ils enchainent leurs fameux conseils de défense bidon que les français n’écoutent plus suivant les contres rendus périodiques de notre 1er ministre qui se résument en couvre-feux ou possible hypothétiques confinements et mesures de restrictions diverses (que notre pseudo monarque) peut seul décider de leur mise en place et dont certaines régions ou villes de France confinées partiellement pour l’instant appliqués aux week-ends pour une logique sommes toute économique !

Car bien sûr à demi-mesure, peu de résultats, les contaminations sont toujours là et grimpent, même si plus lentement, si l’on se base sur les chiffres que l’on nous communique, mais loin d'être satisfaisants ?!

Seule la vaccination de masse (peut être efficace ?) Mais pas encore maitrisée par nos ARS ou administrations kafkaïennes mal pilotées, car toujours sous la pression de manque de doses, mal réparties sur le sol de France !

Et dont suite à la lenteur irrégulière montera ses résultats, mais pas tout de suite !?

Le bilan peut être déjà fait d’un fiasco gouvernemental de nos dirigeants qui ne font que de la basse politique en pensant à l’élection présidentielle de 2022 dont beaucoup de français ont déjà tiré les leçons, quand ils iront voter, mais surtout ceux qui ne voteront pas et seront certainement en augmentation aux vues d’un scénario déjà vu et subi en 2017..?!

Jdeclef 11/03/2021 13h41


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