dimanche 13 novembre 2022

C'est bien meilleur pour les américains lambda qui ne s'en rendent peut être pas compte car cela ne démolira pas ce qu'a fait BIDEN de positif !

 

États-Unis : les démocrates gardent la majorité au Sénat

Les démocrates ont emporté samedi l’État du Nevada. Le parti de Joe Biden garde ainsi la main sur la Chambre haute du Congrès, un revers pour Donald Trump.

UNE BONNE NOUVELLE EN FAIT POUR LES USA LES AMERICAINS ONT PEUT ETRE RETROUVE LA RAISON ET EN REFLECHISSANT ENFIN CE SERAIT BIEN SI C’ÉTAIT PAREIL CHEZ NOUS QUI VOTONS SI MAL DEPUIS 40 ANS !?

En emportant samedi le siège qui lui manquait, le parti démocrate conserve le contrôle du Sénat des États-Unis, une victoire décisive pour la suite de la présidence de Joe Biden et un échec cuisant pour son prédécesseur Donald Trump. « Je me sens bien et j'attends avec impatience les deux prochaines années », a réagi Joe Biden depuis Phnom Penh en marge d'un sommet asiatique. Quatre jours après les élections de mi-mandat, les médias américains ont déclaré la victoire de la sénatrice démocrate Catherine Cortez Masto dans l'État clé du Nevada. La sortante a battu de justesse Adam Laxalt, un candidat soutenu par l'ex-président Donald Trump, selon des chaînes de télévision américaines.

Sa réélection porte à 50 sur 100 le nombre d'élus démocrates au Sénat, ce qui permet au parti de Joe Biden de garder la main sur la Chambre haute du Congrès. En vertu de la Constitution, la vice-présidente Kamala Harris a en effet le pouvoir de départager les sénateurs. Les démocrates pourraient encore gagner un siège dans l'État de Géorgie, où un second tour sera organisé le 6 décembre.

Midterms : Trump contrarié, Biden requinqué

Le chef de la majorité démocrate sortante au Sénat, Chuck Schumer, a réagi quelques minutes seulement après l'annonce des résultats, en tweetant qu'ils étaient une « manifestation » des choses accomplies par les démocrates. Selon lui, cela signifie que les Américains ont « judicieusement rejeté la direction antidémocratique, autoritaire, méchante et source de division que les républicains MAGA voulaient donner [au] pays », en référence au mouvement « Make America Great Again » de Donald Trump. Ce dernier était omniprésent pendant la campagne, des primaires républicaines aux meetings de la dernière ligne droite un peu partout dans le pays.

Plus de 100 candidats républicains ayant contesté les résultats de l'élection présidentielle de 2020 se sont fait élire, selon les projections des médias américains, mais certains des poulains de Donald Trump ont échoué. Portés par une forte inflation, les républicains ont pourtant longtemps cru avoir un boulevard devant eux pour reprendre les deux chambres lors de ce scrutin traditionnellement difficile pour le parti au pouvoir. Les républicains semblent en mesure de redevenir majoritaires à la Chambre des représentants. Ils devraient s'en servir pour lancer de nombreuses enquêtes parlementaires sur l'administration de Joe Biden, ou ses proches.

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Leur victoire s'annonce toutefois nettement plus courte que prévu. La chaîne NBC News projetait samedi matin une frêle majorité de cinq sièges pour les républicains avec 220 élus contre 215 pour les démocrates. Près de 20 scrutins n'ont cependant toujours pas donné leur verdict, principalement en Californie. Mais sans le Sénat, ils ne pourront pas adopter de lois contraires à ses objectifs, notamment sur l'avortement ou le climat, ni bloquer ses nominations de juges, ambassadeurs et responsables gouvernementaux.

Revers pour Trump

Leurs résultats décevants font monter l'agitation parmi leurs élus au Congrès, augurant de possibles règlements de comptes. Dans une lettre révélée par Politico, plusieurs sénateurs trumpistes demandent de reporter le vote pour élire leur chef au Sénat prévu la semaine prochaine, semblant défier le ténor Mitch McConnell qui souhaite être reconduit à ce poste. « Nous sommes tous déçus qu'une vague rouge [la couleur de leur parti] ne se soit pas concrétisée, et il existe plusieurs raisons à cela », écrivent-ils en souhaitant ouvrir un débat à ce sujet.

La fin des illusions républicaines pour le Sénat représente un revers pour Donald Trump, qui devrait annoncer mardi qu'il sera candidat à l'élection présidentielle, sa troisième tentative. Déjà, vendredi, les démocrates l'avaient emporté en Arizona, où le sortant Mark Kelly avait battu le républicain Blake Masters, qui avait reçu le soutien appuyé de l'ex-chef d'État, et qui n'a toujours pas reconnu sa défaite. Piqué par ce revers en Arizona, qui s'ajoute à d'autres échecs de ses poulains, le milliardaire républicain a de nouveau crié à la « fraude électorale » refusant d'admettre le verdict des urnes, comme il le fait depuis sa défaite à la présidentielle de 2020.

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Même si son influence sur le parti républicain reste indéniable, il sort de fait fragilisé des élections de mi-mandat et semble vouloir agir vite pour couper l'herbe sous le pied de ses rivaux. Parmi eux figure le gouverneur de Floride Ron DeSantis, réélu triomphalement et nouvelle star de la droite dure. Son succès n'a pas échappé au milliardaire, qui a enchaîné cette semaine piques et moqueries contre celui qu'il surnomme « Ron-la-Morale ».

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Tant mieux pour eux et pour nous Français et Européens libres et démocratiques indirectement ainsi que pour l'Ukraine qui devrait continuer à recevoir des aides US pour leur guerre contre la Russie poutinienne et une confirmation de la protection de l'épouvantail OTAN US qui va continuer de faire peur faire à Poutine dictateur excité toujours dangereux dont les alliés n'arrivent pas à se débarrasser !

Et mettre sur la touche peut être définitivement TRUMP un autre excité malade qui va surement crier à la fraude électorale habituelle !

Dans ce concert de mauvaises nouvelles une bonne est toujours bonne à prendre pour essayer d'éviter le pire !

Car nous en France nous avons réélu un trop petit président bavard monarque parvenu par défaut car n'ayant pas de politiciens élus de bonne qualité de tous bords mais lui n'est pas la hauteur tournant en rond évoquant même une éventuelle dissolution de notre parlement signe évident de faiblesse dans sa gouvernance et gestion de notre pays pour nous protéger efficacement de ces crises internationales !?

Jdeclef 13/11/2022 11h45

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