Notre président avec son caractère d’empêcheur de tourner en rond bienpensant de donneur de leçon qui n'arrive pas à ce décider sur de mauvaises idées (quand il en a) va réussir à ce mettre l'Europe à dos !

 

OCEAN Viking : Emmanuel Macron, canard boiteux de l’Europe

ÉDITO. Après Berlin, Rome : Paris est brouillé avec ses deux principaux partenaires au sein de l’UE. Sa marge de manœuvre s’en ressent.

MACRON morose ?! Et les Français ils sont quoi ceux qui l’ont réélu comme des niais car lui en 2017 on ne l’a pas forcé à venir cet opportuniste qui a saisi la balle au bond qui promettait la lune comme d’autres avant lui et récidiviste en 2022 ils paient aussi leur versatilité et individualisme du chacun pour soi dévastateur (ET CE QUI RISQUE DE LEUR TOMBER SUR LA TETE ?!)

On dit Emmanuel Macron morose depuis qu'il a perdu sa majorité à l'Assemblée nationale il y a cinq mois. Son bras de fer avec l'Italie autour du navire humanitaire Ocean Viking n'a pas dû éclaircir son humeur. L'épisode a révélé combien le chef de l'État incarne désormais sur la scène européenne ce que les Américains appellent un canard boiteux (« lame duck »), c'est-à-dire un dirigeant politique devenu trop faible politiquement pour imposer ses desseins.

Après la brouille avec Olaf Scholz, la dispute avec Giorgia Meloni : pour un président de la République qui a tant voulu attacher son nom à la cause européenne, la mésentente avec l'Allemagne et l'Italie, les deux principaux partenaires de la France au sein de l'Union, sonne comme un double revers mortifiant. Le réchauffement récent des relations avec Londres, depuis que Rishi Sunak a remplacé Liz Truss au 10, Downing Street, ne peut pas tenir lieu d'ersatz, puisque le Royaume-Uni ne fait plus partie de l'Union européenne.

« Ocean Viking », les silences du Maghreb

On peut gloser sur les raisons, certaines tout à fait justifiées, qui ont incité Emmanuel Macron à donner son feu vert à l'accostage de l'Ocean Viking à Toulon. Il n'en reste pas moins qu'il a dû céder face à la Première ministre italienne nouvellement élue, qui a instrumentalisé sans scrupule le dossier des migrants pour triompher à Rome. Le président, qui rêvait de souveraineté européenne dans le monde, se trouve bien en peine d'imposer la souveraineté française chez lui. Ses proches ont beau présenter sa décision comme une exception, elle constitue ipso facto un précédent, qui alimente les critiques de la droite sur l'inconséquence du gouvernement face aux réfugiés.

On ne peut pas « en même temps » se dire intraitable sur les abus du droit d'asile et vouloir peaufiner sa réputation humaniste. Le dossier maudit de la migration illégale déstabilise les nations européennes les unes après les autres, tels des dominos, qu'elles soient terres d'accueil (Royaume-Uni, Suède) ou d'émigration (Hongrie, Pologne), qu'elles abritent une ancienne population immigrée (France) ou une toute récente (Italie). Le sujet est aussi complexe qu'inflammable. Il offre un boulevard aux démagogues et aux experts du « y a qu'à, faut qu'on », sur un continent capable d'accueillir sans bruit, pratiquement du jour au lendemain, six millions de réfugiés ukrainiens, mais qui se déchire pour les 234 Africains de l'Ocean Viking.

Bonne conscience

Le drame se résume à un chiffre, scandaleux : plus de 20 000 personnes sont mortes noyées en Méditerranée depuis une décennie. Soit plus de cinq décès, en moyenne, chaque jour qui passe. Faut-il se draper dans sa bonne conscience, comme le fait le gouvernement français, pour accabler Rome ?

La vérité est que les pays en première ligne – Italie, Grèce, Espagne notamment – ont trop longtemps été privés de notre solidarité ; que le règlement européen de l'asile, dit « de Dublin », leur faisait porter une responsabilité excessive ; que, depuis qu'il a volé en éclats, en 2015, le chacun pour soi des États européens empêche tout consensus sur un nouveau règlement ; et que le droit maritime, invoqué par Paris à l'appui de ses accusations contre l'Italie, est aussi flou que contradictoire. Il n'est certes pas conçu pour des situations où des centaines de personnes se mettent consciemment en danger de mort en s'embarquant sur des rafiots de fortune dans l'espoir d'une vie meilleure.

Gérard Collomb : « En accueillant l'“Ocean Viking”, on ouvre une brèche »

Le marchandage, bateau par bateau, autour des migrants, est indigne de la France et de l'Italie. Il ne fait qu'alimenter le procès en xénophobie instruit contre l'Union européenne par les trolls de Vladimir Poutine. Pour résoudre un problème aussi ardu que la migration illégale, il est impératif de travailler ensemble. Avec la coalition de Meloni, le défi est herculéen. Et comment Emmanuel Macron peut-il, sans l'appui italien, espérer retrouver une marge de manœuvre face à une Allemagne rétive ? Pour le président de la République, l'Europe ressemble de plus en plus à un insoluble casse-tête.

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Notre président avec son caractère d’empêcheur de tourner en rond bienpensant de donneur de leçon qui n'arrive pas à ce décider sur de mauvaises idées (quand il en a) va réussir à ce mettre l'Europe à dos et se plante que ce soit en matière de politique internationale ou nationale ou plus personne ne l'écoute devient un boulet que vont trainer les Français jusqu’en 2027 ayant commis l'erreur de l'avoir réélu à cause d'une classe politique très médiocre qu'ils subissent de par leur faute depuis ces derniers quinquennats de ses prédécesseurs car n'ayant trouvé personne dans celle-ci pour le remplacer !

Qui confirme qu'il n'a pas l'envergure d'un vrai chef d’état ferme qui a un ou des programmes indéfinis utiles pour sortir la France de son marasme qui n'est pas d'aujourd'hui mais date de + de 40 ans !

Car avec ces situations tendues internationales et crises induites guerre Russo Ukrainienne et économique inflationniste énergétique et même cette pandémie de Covid toujours là et ses vaccinations désordonnées mal gérées il n'a pas été là malgré ses conseils de défense fumeux inefficaces et erreurs de jugement parmi d'autres !

Il est pleutre et gonflé d'orgueil comme une baudruche vide d'air petit monarque d’opérette hyper bavard s'écoutant parler pour ne rien dire sous les dorures de son palais de l’Élysée bien trop grand pour lui hérité de l'ancien régime qui colle à la peau de notre histoire ancestrale !

C'est un président de salon avec thé et petit four qui ne protège pas les Français ce qui est très préoccupant dans cette période mondiale instable et déséquilibrée que nous vivons avec ses quinquennats et un 2eme mal commencé qui ne s'améliore pas au fil des mois depuis sa réélection par défaut par nos concitoyens perdus et déboussolés qui ne savent plus pour qui voter !?

Jdeclef 15/112022 10h20