Coignard –
Christophe Béchu, le ministre transparent
CHRONIQUE.
Alors qu’il devrait en être la pièce maîtresse, le ministre de la Transition
écologique est le grand absent sur tous les sujets brûlants.
ENCORE UN
PETARD MOUILLE DE LA MACRONIE HABITUELLE QUI NOUS COUTENT CHERE !
Il veut rendre l'écologie
« désirable ». Il veut surtout ne braquer personne. Et y réussit
au-delà de toute espérance. Christophe Béchu est ministre de la Transition
écologique et de la Cohésion des territoires. Il représente, sur le papier, la
pièce maîtresse du gouvernement Borne. L'incarnation de la priorité absolue
donnée à la lutte contre le réchauffement climatique, priorité annoncée avec
gravité au moment de la présidentielle.
Depuis, Christophe Béchu est absent. Surtout quand il faudrait être
présent. Pendant l'été, c'est son collègue Gérald Darmanin qui occupe le
terrain, notamment en Gironde pour aller saluer les pompiers aux prises avec les
gigantesques feux de forêt. Il ne se déplace pas non plus en Corse après les
orages meurtriers qui ont endeuillé l'île.
Christophe
Béchu : un élu local pour peindre la France en vert
Conscient, peut-être, que ces désertions à répétition peuvent finir par lui
porter préjudice, il revient en force devant micros et caméras cet automne.
Mais c'est pour distiller des formules ciselées dans une très solide langue de
bois. « L'enjeu que nous avons, c'est d'engager une transformation qui
soit globale », dit-il sur France 5. « Tous ces épisodes dramatiques
montrent le coût de l'inaction », assène-t-il à propos des mégafeux qui
ont frappé la France cet été. Avec de telles lapalissades, comment s'étonner
qu'il n'« imprime pas » ? D'autant qu'il persiste à se tenir à
couvert dès qu'émerge un sujet clivant. La manifestation contre les
« bassines » dans les Deux-Sèvres a dégénéré ? Il laisse, grand
seigneur, à sa secrétaire d'État Bérangère Couillard le soin de réagir
publiquement.
Une période d'essai qui dure, qui dure…
Le procès en illégitimité dont il est l'objet lui semble indigne. Il s'explique,
selon lui, par le fait qu'il n'est pas de gauche et qu'il ne vient pas des
rangs écologistes. Peut-être que les doutes sur sa compétence ont été exprimés
un peu tôt, avant même qu'il ait pu faire ses preuves. Mais il est désormais
aux commandes de son ministère depuis plus de quatre mois, soit une durée
supérieure à la période d'essai qui s'applique aux salariés. Aurait-il été
titularisé s'il travaillait non pour le pays, mais pour une entreprise
privée ?
Sainte-Soline :
Jadot, les zozos et les fachos
Pourquoi est-il toujours en poste après des débuts aussi peu
convaincants ? demanderont les candides. Parce qu'il est impossible pour
le président de se déjuger ; parce que Christophe Béchu appartient au
premier cercle d'Édouard Philippe, et que les équilibres bien précaires au sein
de la majorité ne peuvent être remis en cause, quand bien même se trouve dans
la balance un sujet aussi crucial que la lutte contre le réchauffement
climatique.
Christophe Béchu a dit et répété qu'il voulait rendre l'écologie
« désirable ». Pour le moment, il n'a pas enflammé les cœurs ni
conquis les esprits. Plutôt qu'empêcher des automobilistes de se déplacer en
s'allongeant sur la voie publique, c'est à Christophe Béchu que les écologistes
en colère devraient d'ores et déjà demander des comptes, puisque sa période
d'essai est achevée.
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Qui n'est là que pour les Français qui croient
que nos dirigeants de tous bords ne font pas assez de la vraie écologie car
souvent extrémiste et sectaire et donc nomme un ministre de l'écologie
obligatoirement car réclamé par les Français lambda comme d'autres avant lui de
tous bords souvent issus des verts EELV dont on a pu voir la médiocrité au fil
des mandatures sans compter pour certains des histoires douteuses avec le
dernier N.HULOT le champion des documentaires télévisuels et produits dérivés
qui lui ont surtout permis de faire sa fortune fusée mis sur orbite par notre
président qui a explosée en vol par des accusations glauques graves prescrites
car anciennes au regard du code pénal et de notre justice laxiste pour ces
politiciens élus de tous bords en plus !
Et quand on voit en plus ces zadistes divers
dit écologistes qui se comportent comme des voyous délinquants dans divers
incidents par leurs violences inqualifiables cela ne peut servir une écologie
raisonnable qui pourrait être utile si elle n'était déjà pas polluée par ce
type d'individus qui se disent lutter pour l'écologie (où pour surtout se
défouler pour casser du policier !?)
Les écologistes ont servi longtemps dans le
passé à faire élire nos présidents mais là comme ils sont devenus extrémistes
et tombés dans cet agrégat NUPES de partis dit gauchistes voir extrémistes ils
sont devenus inutiles (d'ailleurs ceux qui ont été élus pendant les élections
municipales à la mairie de certaines
villes connues pendant la période Covid à cause de notre président lors de son
1er quinquennat parmi ses erreurs de casting multiples ) Leurs administrés ont
vite compris leurs erreurs qu'ils supporteront 6 ans !
Jdeclef 03/11/2022 15h20
Naturellement les modérateurs inutiles du Point ont encore censuré arbitrairement ce commentaire éloquent pourtant car il ne faut pas critiquer cette Macronnie et ses sbires mais elle ne se gêne pas pour ne pas respecter la liberté d'expression inscrite dans notre constitution ce qui est nettement plus répréhensif dans notre pays qui se veut encore libre même s'il est mal gouverné !?
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