lundi 28 novembre 2022

Ce que donne une immigration incontrôlée par les autorités françaises (dites régalienne) de MAYOTTE un microcosme de l’immigration vers l’Europe occidentale ingérable des autres continents après les décolonisation de ces pays datant des année 60 !

 

Voila ce que devient Mayotte une poubelle !

« Rien ne les arrête » : Mayotte débordée par la violence des bandes armées !?

EN France NOS DIRIGEANTS NE SAVENT QUE CRÉER DES PROBLEMES PAS À LES REGLER ON SE DEMANDE A QUOI IL SERVENT !?

Les autorités semblent impuissantes à maîtriser les jeunes délinquants, qui volent et tuent. Des élus pointent la responsabilité de l’immigration clandestine.

C’est un vallon étroit, couvert d'une végétation grasse et abondante, qui s'enfonce dans la montagne. De chaque côté du sentier défoncé qui le fend en deux, des habitations brinquebalantes faites de tôle et de morceaux de bois. C'est là, à quinze minutes du centre-ville de Mamoudzou, le chef-lieu de Mayotte, qu'une centaine de voyous a déferlé il y a une dizaine de jours.

Masqués, vêtus de combinaisons blanches, armés de machettes et de couteaux, ils sont arrivés par la montagne de l'autre bout de la ville. L'opération avait été planifiée : la bande, qui venait venger l'un des siens tué et presque démembré deux jours plus tôt, visait quelques cases de tôles, soigneusement brûlées.

Pour éviter l'intervention des pompiers et des forces de l'ordre, les voyous ont incendié un dépôt de voitures à l'entrée du vallon. Plus de 80 véhicules sont partis en fumée. Le brasier se voyait à des kilomètres à la ronde. Et sur les maisons épargnées, on voit encore les coups de machette balafrant les murs en tôle ondulée…

Cadavres abandonnés

La violence est devenue une habitude à Mayotte, ce département français situé dans l'océan Indien, entre Madagascar et l'Afrique. Un peu partout sur le bord des routes, les restes de voitures calcinées disent la sauvagerie qui règne sur l'île. Il y a quelques jours, un bus scolaire a été pris d'assaut par une bande ; cette fois, il n'y a pas eu de morts, mais quatre blessés et un chauffeur terrorisé.

Depuis le début de l'année, on dénombre six meurtres et huit tentatives. Au commissariat de Mamadzou, on sourit un peu jaune en dénombrant les morts : combien de cadavres disparaissent, abandonnés dans la mangrove ? Certains jours, on retrouve un corps démembré exposé sur un pont, en guise de trophée.

Les habitants se terrent chez eux dès la nuit tombée, vers 18 heures. Mis à part l'extrême centre de Mamoudzou, aucun lieu n'est sûr la nuit. Et dans la journée, les routes deviennent dangereuses : les bandes profitent des interminables bouchons sur l'unique nationale qui fait le tour de l'île pour détrousser les automobilistes, quand elles ne montent pas elles-mêmes des guets-apens en barrant la voie d'un tronc d'arbre ou d'un lave-linge.

« Rien ne les arrête, remarque-t-on, effaré, au commissariat de Mamoudzou. Ces jeunes n'ont aucune règle, aucune morale. Un regard de travers, un téléphone portable ou une altercation ont la même valeur, et peuvent conduire au meurtre. » L'autre jour, un jeune Mahorais a été tué de six coups, dont quatre d'armes blanches différentes.

Des barbelés devant les écoles

Parfois, on coupe une main ou un pied. Une violence gratuite, bestiale, incompréhensible. Les écoles et les bus scolaires ne sont même plus respectés. Les délinquants les attaquent parce que le membre d'une bande rivale s'y trouve, ou simplement pour voler. Transdev, l'opérateur des bus dans l'île, a dénombré 118 caillassages depuis le début de l'année.

Ambdilwahedou Soumaila a un air juvénile, mais la mine sombre. Le jeune – il a 40 ans – maire de Mamoudzou ne sait plus comment endiguer ce fléau. Longtemps, par principe, il a résisté à l'idée de transformer les écoles de sa ville en forteresses. Il y a deux mois, il a craqué. Le maire a fait dresser des barbelés pour protéger l'accès des écoles. Il vit avec la violence.

Depuis le début de son mandat, il y a deux ans, il bloque chaque jour une à deux heures sur son agenda. Durant ces créneaux, il ne prend aucun rendez-vous ; il les réserve pour aller à des obsèques ou pour réconforter des familles endeuillées. « C'est un cauchemar, dit le jeune édile. Je n'ai pas été élu maire pour ça. »

La plupart des élus mahorais n'ont pas les pudeurs des parlementaires français. Ils mettent la délinquance sur le compte de l'immigration illégale. « Je n'ai aucun doute sur le lien entre l'immigration et la violence qui sévit à Mayotte », dit Mansour Kamardine, l'un des deux députés (LR) – avec Estelle Youssouffa (LIOT) – de Mayotte. Il en veut pour preuve la population qui occupe la petite maison d'arrêt de Mayotte : « Sur 100 détenus, 70 sont d'origine étrangère », dit le député.

Généreux État français

Ici, « étranger » signifie presque toujours « comorien ». L'île d'Anjouan, partie de l'archipel des Comores, est située à 70 kilomètres des côtes de Mayotte. Chaque jour, les kwassa-kwassa, ces barques plates de 6 à 7 mètres de long, accostent avec, à leur bord, une population différente selon la saison.

En juillet et août, elles sont remplies de 20 à 30 enfants qui espèrent être scolarisés à Mayotte. Tout enfant a en effet le droit d'être inscrit dans une école depuis, qu'en 2004, le député Kamardine a fait voter un texte en ce sens. Aujourd'hui, il le regrette, conscient de l'appel d'air que cette faveur a créé.

Le reste de l'année, les kwassa-kwassa embarquent pour Mayotte des Comoriens qui veulent soit rejoindre un membre de leur famille pour travailler – souvent au noir –, soit se faire soigner – l'État français, généreux, les prend en charge gratuitement –, soit pour accoucher et donner naissance à un enfant qui pourra facilement devenir français. La maternité de Mamoudzou est la plus importante d'Europe, avec près de 11 000 naissances par an.

« Le rêve d'un eldorado »

Tous accostent dans l'espoir de trouver un monde meilleur. Mais, comme le dit un haut fonctionnaire du département, ils déchantent vite. Les allocations sociales, par exemple, ne sont pas celles qu'ils attendaient : elles sont deux fois moins nombreuses qu'en métropole, et en gros deux fois moins élevées. Quant au travail, il est rare – Mayotte compte un taux de chômage de 30 % environ –, alors que le coût de la vie est plus élevé qu'en métropole. « Les migrants rêvent d'un eldorado, ils trouvent souvent la misère », tranche le maire de Mamoudzou.

À Mayotte, Emmanuel Macron face au défi de l'immigration

Livrée à eux-mêmes, une grande partie des jeunes Comoriens – mais aussi quelques Africains en provenance de la région des Grands Lacs – s'évanouit dans la nature. Toutes nationalités confondues, entre 6 000 et 9 000 mineurs isolés peuplent Mayotte. Ils n'ont pas de papiers, pas d'âge, pas d'adresse. Ils se regroupent en bandes, très attachées à leur territoire. Les forces de l'ordre font ce qu'elles peuvent.

Mayotte compte aujourd'hui plus de 1 300 agents – police, gendarmerie, etc. –, mais que faire lorsque les délinquants se terrent dans des bidonvilles comme celui de Kaweni, au-dessus de Mamoudzou, le plus grand d'Europe avec ses 25 000 « habitants » ? Après un escadron de gendarmerie supplémentaire, Gérald Darmanin, le ministre de l'Intérieur, vient de dépêcher un détachement du Raid pour ramener le calme.

L'arrivée de ces dix policiers, certes aguerris, fait sourire les policiers locaux. « Les jeunes délinquants courent dans la montagne, ils peuvent grimper des murs en sandales et passent des jours sans manger. À quoi vont servir dix gars du Raid ? » se demande l'un d'eux.

La peur des représailles

La plupart du temps, les forces de l'ordre dispersent à coups de gaz lacrymogène les bandes lorsqu'elles s'affrontent. Mais elles sont bien en peine d'interpeller les délinquants. D'abord, les policiers de Mamoudzou ont droit à des caillassages en règle dès qu'ils pénètrent dans les bidonvilles ou les quartiers chauds.

Mayotte : les Comores ne veulent pas récupérer leurs ressortissants

Il suffit de voir leurs voitures garées sur le parking du commissariat : elles sont cabossées de partout, avec parfois un morceau de carrosserie fendu, stigmate d'un coup de machette. Les véhicules sont pourtant les seuls en France à être équipés de protections en polycarbonate…

Autre difficulté pour appréhender les délinquants : les victimes ne portent pas plainte, ou très peu, étant elles-mêmes en situation irrégulière. Et la peur des représailles refroidit les plus téméraires : sur cette île vingt fois plus petite que la Corse, difficile d'échapper aux voyous. Par dépit, certains habitants s'organisent en milices armées. « On va vers la guerre civile si rien ne change », s'alarme le maire de Mamoudzou.

Le business des passeurs

La solution passe, pour beaucoup d'observateurs, par l'arrêt de l'immigration illégale. Paris a pourtant mis les moyens pour tenter d'endiguer l'arrivée des kwassa-kwassa. Quatre radars surveillent tant bien que mal les côtes, un avion équipé de caméras a été affrété et trois bateaux patrouillent sans cesse. Mais les passeurs sont malins.

Ce qu'on ne dit pas sur Mayotte

Pour préserver leur business – ils touchent entre 300 et 500 euros par passager –, ils jouent au chat et à la souris avec les douaniers français. Parfois, ils se regroupent à dix kwassa-kwassa en limite des eaux territoriales françaises et envoient l'un des leurs en éclaireur. À son bord, un ou deux blessés, que les navires de surveillance devront accompagner jusqu'à l'hôpital de Mamoudzou, ce qui laisse le temps aux autres embarcations d'accoster sur les plages…

À la préfecture de Mayotte, on tente de minimiser l'invasion. « Il ne faut pas s'y tromper : il est difficile d'arriver à Mayotte », dit-on en haut lieu. Les autorités françaises avancent des résultats. Elles interceptent 70 % des kwassa-kwassa, soit près de 500 depuis le début de l'année, avec, à leur bord, quelque 7 000 clandestins « presque tous reconduits aux Comores ».

Sans âge, sans domicile

Le centre de rétention administratif de Mayotte, le plus grand d'Europe, accueille de son côté 25 000 personnes chaque année, en attente d'être reconduites à la frontière. Mayotte représente d'ailleurs 70 % des fameuses OQTF, les obligations de quitter le territoire français.

« Les Comoriens raccompagnés reviennent le lendemain », peste un élu mahorais. Malgré les bonnes intentions des autorités françaises, on a un peu l'impression qu'elles veulent vider la mer à la petite cuillère. « Elles ont même le quart de la moitié d'une petite cuillère ! » ironise un élu mahorais. Les délinquants, surtout s'ils sont mineurs, savent qu'ils ne risquent pas grand-chose à Mayotte.

Les magistrats sont débordés et le quartier des mineurs, à la maison d'arrêt, ne dispose que d'une dizaine de places. Sans identité, sans âge, sans domicile, les jeunes voyous sont vite relâchés dans la nature. À Mayotte, ils ont d'ailleurs un surnom, qui dit bien l'impunité dont ils disposent, même une fois interpellés : on les appelle « les enfants du juge ».

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Voilà ce que donne la politique de nos dirigeants depuis décennies d'essayer d'intégrer des poussières d'iles qui nous coutent chères et favorise une immigration galopante sauvage de trublions comoriens qui nécessite maintenant de déplacer le raid pour pacifier cette ile devenue la région qu'on dit française mais qui est plutôt devenue une région de non droit car en France de la part de nos dirigeants et gouvernements on ne sait pas faire simple plutôt compliqué et en ce qui concerne nos DOM/TOM  qui passent leur temps à demander périodiquement leurs indépendances il faut la leur donner ou mieux avec des statuts d'autonomies comme la Polynésie car ces peuples ont toujours des rancœurs sous-jacente envers les Français et la métropole qu'ils ne supportent plus car ces désirs d'indépendance touchent tous les grands pays européens ex colonisateurs comme les anglais avec leur brexit  qui leur revient dans la face avec leur Commonwealth qui se désagrège encore plus depuis le décès leur reine Elisabeth II même à l'intérieur de leur ile britannique!

Le temps des possessions d'outre mers lointaines est révolu et sont des boulets trop lourds à trainer et gérer !

Tout comme l'immigration vers l'Europe occidentale venant du Maghreb et des pays africains ex AEF/AOF et pour ces régions d'outre-mer et leurs iles ou régions d'autres continents sud-américains qui nous disent ex esclavagistes il est peut-être le temps de couper les ponts car la FRANCE surtout avec ces crises internationales hyper tendues inflationnistes économiques et énergétiques n'a plus les moyens d'ajouter des problèmes à ceux déjà présents dans ce monde qui va mal !

jdeclef 28/11/2022 14h35

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1 commentaire:

  1. Toute ce que savent faire les médias bien pensantes inféodées au pouvoir en place c'est avec ses modérateurs du POINT lamentable de censurer arbitrairement plutôt que dire la vérité en face sur l'inertie habituelle de nos dirigeants et leurs gouvernements qui préfèrent se crêper le chignon à l'Assemblée nationale en s'insultant à qui mieux mieux en députés mal élevés qui profitent de leurs avantages que les gogos de français leurs ont donné !?

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