Guerre en
Ukraine : la menace nucléaire russe se fait plus pressante !?
Si, en
février, personne ne prenait au sérieux la menace nucléaire russe, au fil des
mois, la situation a bien changé. Les États-Unis sont inquiets.
CHEZ LES FRANÇAIS LAMBDA IL N’Y A PAS PLUS
AVEUGLES QUE CEUX QUI NE VEULENT PAS VOIR ET POUR NOS DIRIGEANTS CENSES NOUS
PROTEGER ILS NE FONT RIEN A PAR PERORER CE QU’ILS FONT TRES BIEN MAIS QUI NE
SERT À RIEN !?
(CAR LE MONDE N’EST PLUS EN PAIX MEME S’IL L’A ÉTÉ
ARTIFICIELLEMENT DEPUIS LA DERNIERE GUERRE MONDIALE !)
La menace nucléaire russe devient de
plus en plus sérieuse. Si Vladimir Poutine a permis aux dirigeants
internationaux de souffler en réintégrant mercredi l'accord sur les céréales
ukrainiennes, permettant de reprendre la distribution, il a en revanche averti
que la Russie se réservait le droit de « se retirer » de l'accord
« en cas de violation des garanties par l'Ukraine ». Garanties
écrites, que Kiev aurait fournies à Moscou, portant sur la démilitarisation du
couloir maritime utilisé pour leur transport. Mais cette vague concession
n'élimine pas le risque nucléaire, qui persiste. Les craintes d'une frappe
nucléaire russe en Ukraine se font de plus en plus pressantes, les États-Unis
disant être devenus « au fil des mois » de « plus en plus
préoccupés par cette éventualité », selon John Kirby, porte-parole du
Conseil de sécurité nationale.
Ces propos interviennent après une information du New York Times
selon lequel les généraux russes ont discuté récemment des modalités possibles
de frappe nucléaire tactique en Ukraine. Le porte-parole du Kremlin, Dmitri
Peskov a jugé mercredi « irresponsable » que les médias occidentaux
selon lui « gonflent délibérément le sujet des armes nucléaires ».
Le spectre de Cuba
La veille, l'ex-président russe et actuel numéro 2 du Conseil de
sécurité, Dmitri Medvedev, avait pourtant une nouvelle fois brandi la menace de
l'arme nucléaire, mettant en garde l'Ukraine contre sa volonté de reprendre
tous les territoires occupés par la Russie, dont l'armée enchaîne les revers.
Pendant 60 ans, la crise des missiles de Cuba a montré à quel point le
monde s'est trouvé proche d'une guerre nucléaire, mais aussi l'habileté des
dirigeants qui ont réussi à l'éviter.
Vladimir Poutine : jusqu'où peut-il nous
entraîner ?
Soixante ans après la crise de Cuba, les menaces nucléaires
du président russe Vladimir Poutine en Ukraine font ressurgir le péril d'une
confrontation nucléaire et cette fois-ci, les experts sont moins certains qu'il
existe une façon de s'en sortir.
Joe Biden a prévenu début octobre que la planète était confrontée au risque
nucléaire pour la première fois depuis 1962, notant que Vladimir Poutine
« ne plaisantait pas » en proférant ces menaces, tandis que son armée
s'était révélée « très peu performante » en Ukraine.
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Ils feraient mieux de se méfier d’éventuel
retour de TRUMP car le camp des excités incontrôlables risque dans retrouver un
des meilleurs gonflés d'orgueil comme un baudruche explosive !
Cela étant l'Europe occidentale avec l'appui de
l'épouvantail OTAN US association de défense usée avec ses armes au pied pas
assez musclées puisque nos dirigeants bienpensants pleutres préfèrent parler
pour ne rien dire d'utile attendant peut-être irrémédiablement peut commencer
par une guerre totale mais conventionnelle puissante qui pourrait déboucher sur
petite guerre avec des petites bombes nucléaire dites tactiques néanmoins plus
fortes que celle d’Hiroshima !
Poutine n'en étant qu'à sa politique de menace
qui prend de la température car perdant du terrain sur l'Ukraine aidée par les
occidentaux qui fait mieux que se défendre car dans toutes guerres l'attaque
prime sur la défense !
Le plus étonnant pour la France avec ses
dirigeants médiocres et politiciens élus de tous bords qui surnagent dans leurs
querelles gouvernementales parlementaires débiles pour essayer de conserver un
pouvoir macronien à un président dépassé bien que réélu par défaut qui ne
protège pas les Français apathiques !
Nos concitoyens lambda pour cette menace
Poutinienne n'y croient pas encore assez car pas encore assez touchés par les
crises induites inflationnistes économiques énergétiques ou climatiques avec
l'hiver qui approche !
Car trop habitués à leurs petits conforts
d'enfants gâtés qui diminue ce qui devrait se confirmer au plus tard début 2023
!
Certains diront que la peur n’évite pas le
danger mais ne pas le prévoir ou agir fermement devant un agresseur Russe
dérangé qui a presque mis l’Europe occidentale et US avec le reste des pays
libres du monde à genoux faisant la part belle à l'Asie Chine et autres pays
totalitaires qui veulent la fin des Occidentaux ex impérialistes, c’est
impardonnable !
Jdeclef 03/11/2022 11h19
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