Baromètre
Ipsos – « Le Point » : Macron et Borne chutent (encore)
Le
président et sa Première ministre se rapprochent de la cote d’alerte. Mais les
oppositions ne profitent guère de ce déclin.
LES OPPOSITIONS
SONT COMME LEURS LEADERS DE CES PARTIS RINGARDS INUTILES QUI PROFITENT DE LEUR
PLACE JUSQU’EN 2027 A MOINS QUE LE PRESIDENT NULLISIME NE DISSOLVE L’ASSEMBLEE
NATIONALE (ET MEME LA ?! CA NE SERAIT PAS GAGNE IL FAUDRAIT QUE LE PEUPLE
VOTE MIEUX ALORS NE REVONS PAS …)
Popularité en berne pour les deux
têtes de l'exécutif dans notre baromètre Ipsos-Le Point de novembre.
Emmanuel Macron perd trois points de confiance, ce qui place le chef de l'État
à 36 % d'opinions favorables. Une chute de 7 % depuis septembre.
C'est son niveau le plus bas depuis janvier 2021, dans un contexte de
rebond de la crise sanitaire.
La dégradation est forte dans les catégories les plus touchées par la crise
du pouvoir d'achat : professions intermédiaires (28 % d'avis
favorables, - 6 %), employés (32 %, - 3 %), ouvriers
(23 %, - 9 %). Les plus critiques sont ceux qui ne sont proches
d'aucun parti (25 %, - 4 %).
La cote d'Emmanuel Macron s'effrite dans l'agglomération parisienne,
territoire qui lui est plutôt favorable : - 5 % de chute
(33 %). À pareil moment de leur mandat – mais ils n'en ont exercé qu'un
seul – ses prédécesseurs faisaient mieux : 58 % d'avis favorables
pour Nicolas Sarkozy en novembre 2007 et 41 % pour François
Hollande en octobre 2015.
Gérard
Collomb : « En accueillant l'“Ocean Viking”, on ouvre une
brèche »
La Première ministre Élisabeth Borne suit la même pente que le président de
la République : - 3 % de points positifs (32 %) et
+ 5 % d'avis négatifs (59 %). « L'exécutif se retrouve dans
un contexte difficile pour mener des réformes non consensuelles, et sans
majorité solide », analyse Federico Vacas, directeur adjoint du
département politique et opinion d'Ipsos.
En novembre 2017, Emmanuel Macron recueillait un solde négatif
de 11 points (39 % d'avis positifs, 50 % de
négatifs) ; aujourd'hui, celui-ci est de 23 %. La désaffection est
forte, mais elle semble pour l'instant cantonnée à l'Élysée et Matignon.
L'ensemble du gouvernement paraît épargné. Si Gabriel Attal accuse une
baisse de 3 %, il émarge toujours à 28 % d'opinions favorables. Bruno
Le Maire est conforté dans une position stable, à 33 %. Et Olivier Véran,
le porte-parole du gouvernement, gagne deux points, à 33 %.
Bardella validé
Les sympathisants RN, interrogés par Ipsos pour Le Point, durcissent
leurs positions sur Emmanuel Macron : le chef de l'État baisse de 5 %
dans les avis favorables (14 %), et prend 8 % de hausse dans les
jugements très défavorables (63 %). Jordan Bardella, qui vient de prendre
la tête du parti, bondit de la 16e à la 9e place dans
notre classement général, en gagnant 2 points (28 %).
« Le Covid a
déclenché une seconde grande crise des réfugiés »
Après les militants, ce sont donc les sympathisants RN qui valident son
élection : Bardella coiffe au poteau Marion Maréchal (63 %) et
s'installe au second rang de leur classement avec 71 % (+ 5 points)
d'avis favorables, juste derrière Marine Le Pen (95 %).
Celle-ci trône toujours à la seconde place de notre classement général
(37 %), mais sans aucun gain de points. D'une façon générale, comme le
relève Federico Vacas, la dégradation de la confiance en l'exécutif, comme le
mois dernier, ne profite pas aux oppositions : Jean-Luc Mélenchon perd
même un point (27 %).
La percée de Bayrou, le retour de Sarkozy
L'ancien Premier ministre Édouard Philippe, qui avait baissé de sept points
le mois dernier, remonte de deux points. Il conserve le même solde d'avis
négatifs (49 %), mais avec 44 % de jugements positifs, le président d'Horizons,
et maire du Havre, reste la superstar de notre classement général.
Il élargit son capital auprès des Marcheurs, en gagnant 8 points
pour recueillir 85 % d'opinions favorables ; s'il baisse de
6 % chez les sympathisants LR, 61 % lui restent favorables ; il
engrange même cinq points supplémentaires auprès des sympathisants PS
(46 %).
Curiosité ce mois-ci : François Bayrou opère une percée spectaculaire
chez les socialistes, récoltant 16 points supplémentaires d'opinions
positives (49 %) et tout autant en moins de jugements défavorables (41 %),
passant du 13e au 4e rang.
Philippe, Le Maire,
Darmanin : la guerre de succession est lancée
Dans le classement général des personnalités, Anne Hidalgo poursuit sa
descente aux enfers. C'est la plus forte baisse du mois : - 5 %,
pour 14 % d'opinions favorables… et 76 % de défavorables. La maire de
Paris, sans nul doute, paie sa décision d'augmenter de 52 % la taxe
foncière, dans le contexte d'inquiétude sur le pouvoir d'achat. Symptomatique,
l'ex-candidate malheureuse du PS à la présidentielle recule chez les
siens : elle ne recueille que 34 % d'opinions favorables chez les
sympathisants (- 6 %), et 55 % de jugements négatifs.
À droite, le match pour la présidence LR semble tourner à l'avantage d'Éric
Ciotti : s'il baisse de 4 points, il conserve 55 % d'avis
favorables – et 31 % de défavorables –, et se place loin devant Bruno
Retailleau (37 %, et 39 % de négatifs).
Fin de disgrâce pour Nicolas Sarkozy ? L'ancien chef de l'État reprend
le leadership de sa famille, avec 6 points en plus (66 %). Et à
la seconde place, on retrouve Xavier Bertrand, qui prend 3 points
(65 %). Le président de la région Hauts-de-France devance Édouard
Philippe, qui recule de 6 points (61 %), et perd sa première place
dans le cœur des sympathisants de droite.
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Pour sa réélection car n'ayant pas de
remplaçant valable a profité en bon opportuniste comme pour le 1er d'une
opposition de politiciens médiocres de cette classe politique lamentable et
d'une situation internationale inédite (bien que prévue se voyant et qui
s'allongeait comme le nez de Pinocchio au milieu de la figure) qui nous met au
pied d'une guerre mondiale aux frontières de l'Europe occidentale et qui n'a
trouvé rien de mieux que de bavasser avec un dictateur Russe dérangé et
dangereux qui ne l'écoute pas et se moque de lui mais comme il n'a aucun amour
propre çà glisse sur lui comme sur les plumes d'un canard et que même les
Français lambda n'y croient pas trop occupés à chercher de l'essence pour leurs
chères voitures malgré des prémices de plus en plus proches de récession par
l'inflation économique qui augmente comme l'énergie manquante avec le froid
hivernal !
Mais notre président est là jusqu'en 2027 donc
il faut le supporter on n'a pas le choix quant à Mme BORNE ce n'est qu'une 1ere
ministre inféodée inutile servant de fusible à la politique de son patron
interchangeable comme d'autres avant elle car c'est lui qui a trop de pouvoir
qu'on lui a donné dans cette V eme république obsolète monarchique qui décide
de tout (faut-il encore qu'il le fasse car décider ce n'est pas sa 1ere qualité
) et donc peut dissoudre notre assemblée nationale pour essayer de recouvrer sa
majorité totale perdue en essayant de remettre les pendules à zéro ?!
Mais ne rêvons pas le mal n'est pas encore
totalement fait il peut empirer en 2023 à cause de Français qui ne savent plus
choisir et voter depuis + 40 ans !
Jdeclef 16/11/2022 13h51
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