jeudi 10 novembre 2022

Il ne croit qu'à cela notre président car lui il ne fait que de la mauvaise politique politicienne creuse de bavard !?


 

Pour Macron, la bombe française est d’abord un outil politique !?

La guerre en Ukraine a remis l’arme nucléaire au cœur des préoccupations. Seule dans l’Union européenne, la France dispose de cette arme statutaire. ( en oubliant l’Angleterre bien que plus dans l’U.E. à cause de son BREXIT ce qu’elle semble regretter !?)

AVEC CE TYPE DE COMMENTAIRE DE NOTRE PRESIDENT IL OUVRE LE PARAPLUIE POLITIQUE HYPOCRITE ET BOTTE EN TOUCHE MAIS CA ON Y EST HABITUE ?!

La posture nucléaire de la France n'est pas près de changer. Parmi les dix priorités définies par la nouvelle Revue nationale stratégique publiée mercredi, l'objectif d'une « dissuasion nucléaire robuste et crédible » occupe la première place, « évidemment », a précisé Emmanuel Macron dans son discours sur le porte-hélicoptères Dixmude, à Toulon (Var). Il a insisté sur la continuité de cette stratégie, héritière d'un effort national engagé dès la fin de la Seconde Guerre mondiale et opérationnelle depuis 1964, qualifiant la dissuasion de « dorsale de notre sécurité, crédible, moderne, dimensionnée dans le cadre d’une stricte suffisance. Elle continuera de reposer sur des principes simples et clairs, qui garantissent notre liberté d'action et assure que nous serons préservés d'une agression majeure. Elle nous prémunit de toute agression d'origine étatique contre nos intérêts vitaux, d'où que vienne cette agression et quelle qu'en soit la forme. Ces intérêts vitaux, il est de ma responsabilité de les définir, de les actualiser. »

Il n'est pas question pour lui de gloser au-delà de ces affirmations : « Il faut garder la même sobriété dans la doctrine, pour garder la même crédibilité. » À l'Élysée, on confirme que le chef de l'État se place « dans une logique de grande continuité », que rien ne change sur le fond ni sur la forme : « Les exigences de crédibilité, de mise à niveau, sont toujours dans la logique de stricte suffisance pour nous garder une pleine liberté de décision et d'action. »

Bombe atomique : « L'indifférence de Poutine à la mort est manifeste »

Intérêts fondamentaux 

Emmanuel Macron se situe dans la continuité de ses prédécesseurs. Ses forces nucléaires font de la France le seul pays « doté » de l'Union européenne, ce qui lui confère un statut à part et un rang à tenir, malgré ses moyens limités. Elle demeure « respectée pour son statut doté de l'arme nucléaire, moteur de l'autonomie stratégique européenne, allié exemplaire dans l'espace euro-atlantique, une partenaire fiable et crédible ».

Le nucléaire reste la garantie « ultime » de son indépendance, précise-t-il : « Notre doctrine repose sur ce qu'on appelle les intérêts fondamentaux de la nation, et ils sont définis de manière très claire. Ce n'est pas du tout cela qui serait en cause s'il y avait une attaque balistique nucléaire en Ukraine ou dans la région. » Il clôt ainsi le débat qui s'était fait jour après son intervention sur France 2 sur le fait de savoir s'il avait eu raison ou tort de parler à ce sujet, semblant apporter des limites à l'emploi de l'arme nucléaire, alors que le flou doit demeurer la règle. 

Emmanuel Macron en maître du feu nucléaire

Et l'Europe dans tout ça ? 

Évoquée à maintes reprises au fil des années, et par Emmanuel Macron lui-même dans son discours à l'école militaire le février 2020, la « dimension européenne » de la dissuasion française ne recueille guère d'écho chez les partenaires de la France. Mais le chef de l'État ne veut pas lâcher l'affaire : « Aujourd'hui plus encore qu'hier, les intérêts vitaux de la France ont une dimension européenne. Nos forces nucléaires contribuent donc par leur existence propre à la sécurité de la France et de l'Europe. »

Déjà, en 1995, le ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, avait évoqué un concept audacieux, celui d'une « dissuasion concertée avec nos principaux partenaires » européens. Elle fera long feu mais sera reprise deux ans plus tard par Jacques Chirac et le chancelier allemand Helmut Kohl, qui évoquent alors, révèle Le Monde, « un dialogue sur le rôle de la dissuasion nucléaire dans le contexte d'une politique européenne de défense ». Là encore, l'affaire échouera, l'Allemagne insistant sur le fait que « la garantie de sécurité ultime des alliés est fournie par les forces nucléaires de l'Alliance, en particulier celles des États-Unis ». Le discours de Berlin n'est pas différent aujourd'hui. Celui de Paris non plus, mais il ne passe pas bien en Europe. À l'Élysée, on n'en disconvient pas, mais on se veut didactique : « Un certain nombre d'actions ont quand même été entreprises et se poursuivent et devront s'amplifier. »

European Sky Shield 

Lançant une pique à l'égard du discours menaçant de Vladimir Poutine, Emmanuel Macron rappelle le respect qui est dû à la France : « Gardons-nous d'oublier que la France a bien la dissuasion nucléaire et gardons-nous parfois de dramatiser quelques propos. » La Revue nationale stratégique servira de base aux travaux sur la nouvelle loi de programmation militaire (LPM) dont la (difficile) négociation a déjà commencé entre le gouvernement et les armées. La dissuasion y sera bien lotie, ne serait-ce que parce qu'une large part des forces conventionnelles contribuent à sa crédibilité. Sa vocation est aussi large qu'ambitieuse, puisque c'est elle qui, par exemple, a conduit notre pays à refuser d'entrer dans la course aux missiles antibalistiques, alors même qu'il est très modestement équipé de quelques batteries de missiles sol-air Manba et que la guerre en Ukraine démontre chaque jour un peu plus la réalité de cette menace. D'où le refus de Paris de participer au programme européen à leadership allemand European Sky Shield. 

Comprendre le divorce franco-allemand

À l'Élysée, on confirme en expliquant : « La différence fondamentale qu'on a par rapport à l'Allemagne, c'est que nous avons une dissuasion nucléaire, ce qui nous fait voir les choses un petit peu différemment. En France, nos concitoyens sont déjà protégés par notre dissuasion nucléaire qui fonctionne. » Et dans son discours, Emmanuel Macron aborde explicitement le sujet, accusant à demi-mot l'Allemagne de ramener la couverture à elle, pour en tirer essentiellement des bénéfices industriels : « La défense aérienne de notre continent, c'est une question stratégique, solidaire et aux multiples ramifications, qui ne peut se résumer à la promotion d'une industrie nationale ou d'industries tierces aux dépens de la souveraineté européenne. » Le nucléaire français, assure le président, fait de notre pays « une puissance au cœur de l'autonomie stratégique européenne, avec un fort ancrage atlantique mais aux avant-postes et au pivot du monde ».

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Car il n'y connait rien en dissuasion nucléaire ni même en défense militaire de notre armée qui s'est désarmée depuis ces dernières décennies !

Car là on est en guerre indirecte en défendant l'Ukraine indirectement aux frontières de l'Europe occidentale en lui fournissant surtout avec l'allié US moulte armements divers qui n'effraie pas le dictateur Poutine qui a réussi à mettre à genoux les occidentaux qu'il veut abattre mais menaçant de ses bombes atomiques de son arsenal bien fourni car sachant que les européens et USA avec son épouvantail OTAN ne rentrerons pas en guerre directement en Russie franchissant les frontières de son pays ou même en bombardant celui-ci à distance avec des missiles divers !

Ce qui favorise d'autres dictatures ou démocratures et leurs dirigeants totalitaires de menacer ouvertement aussi les occidentaux comme la Russie, la Corée du nord, l'Iran ou autres politiciens totalitaires en mal de pouvoir car pour l'instant cet hiver qui approche est le printemps de ces autocrates sans oublier la Chine qui compte les points avec son dictateur à vie !

Le plus triste c'est le peuple Français qui ne croit pas à ces crises funestes initiées par Poutine économiques inflationnistes et énergétiques ni à une guerre peut être mondiale parce que l’on n’a pas encore envoyé nos soldats de notre armée professionnelle combattre la Russie !

Et pour l'instant font des grèves habituelles ou des queues aux pompes à essence pour leur auto mais pas encore assez puisqu'ils acceptent de payer plus chères les denrées alimentaires indispensables pour vivre (les faire cuire ou se chauffer !?)

En plus ce n'est pas notre président (à tète vide) et qui penserait à une dissolution du parlement qui ressemblerait plutôt à une fuite en avant qui serait une solution pour que la France ne continue pas à régresser !

Jdeclef 10/112022 12h25

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