mardi 1 février 2022

J.L. MELENCHON n'est qu'un vieux roquet inutile aboyeur tribun de foire qui n'arrive pas comme d'autres à vendre sa camelote politicienne il a raté son coup en 2017 qu’il ramasse ses gaules !

 

Cotta – Jean-Luc Mélenchon, celui qui ne changeait pas

CHRONIQUE. S’il s’est adouci au fil des années, il a gardé le même agacement avec les journalistes. Pourquoi Jean-Luc Mélenchon échoue-t-il à rassembler la gauche ?

Il n'y a pas à dire : le temps passe sur lui, et il est toujours le même. La même éloquence, le même sens de la répartie, le même agacement avec les journalistes, qu'il maîtrise mieux qu'il y a quelques années. Il s'est adouci, c'est évident, au début de sa troisième campagne électorale. Moins de colère, moins de fureur dans ses propos, davantage d'harmonie, plus de sourires aussi sur son visage, sauf lorsqu'il tente de cacher son irritation devant les questions, un tantinet inquisitoires, d'une de ses intervieweuses.

Son programme, petit volume qu'il montre souvent, comme devant les caméras de BFM hier, s'arrache depuis quelques jours pour la modique somme de 3 euros. Amusant de voir cet adversaire du libéralisme être le premier à commercialiser ses idées, mais c'est, dit-il, pour la bonne cause : celle d'alimenter les caisses de son mouvement en début du long marathon électoral qui doit l'amener au 10 avril prochain.

Prendre l'argent là où il est, c'est-à-dire dans le monde des affaires ; troquer la distribution aux actionnaires des bénéfices des grandes sociétés contre une distribution de 500 euros à chaque Français pour ses dépenses d'énergie ; créer un empilement de seuils pour l'impôt sur le revenu, de sorte qu'au-delà de 4 000 euros par mois, on paie plus pour ceux qui ont moins : autant de thèmes qui sont les siens, ceux de sa gauche à lui. Les riches et les pauvres, les dirigeants de l'économie ou de la politique d'un côté et « les gens », comme il dit, de l'autre : sa position, là-dessus, n'a pas changé d'un iota depuis trente ans.

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Affaire d'ego ?

Parfois, il trouve, dans son attaque du libéralisme accepté, consenti par les gouvernants français depuis 1983, des accents convaincants, parfois, au contraire, ses solutions paraissent d'un autre âge et d'un autre monde. On le croit, on a envie de le croire, quand il affirme sa volonté d'une société apaisée, avec cette phrase qui, en fait, est au fond même du débat politique et sociétal d'aujourd'hui : « Il va falloir qu'on vive tous ensemble », avec nos immigrés, nos religions, nos exceptions, notre laïcité. Mais, l'instant d'après, on le trouve trop angélique, décalé, lorsqu'il décrit sa conception d'une police aseptisée, face à de gentils manifestants, bien polis, où les Black Blocs n'existent pas. Il parle d'ailleurs peu, pour ne pas dire pas du tout, d'insécurité, affirmant d'ailleurs que, nulle part au cours de ses déplacements, on ne lui pose cette question, mais bien plutôt celle de la pauvreté, du pouvoir d'achat, du smic. On l'écoute aussi lorsqu'il parle de sa nouvelle passion, l'écologie, et qu'il décrit les catastrophes climatiques qui nous attendent. Mais lorsqu'il se risque sur l'écologie punitive, alors, les solutions lassent vite.

Impossible, à l'entendre s'exprimer longtemps, et si brillamment, de ne pas se poser cette question simple : pourquoi Jean-Luc Mélenchon n'est-il pas arrivé depuis dix ans à rassembler la gauche, dont il est le meilleur des porte-parole ? L'a-t-il cherché, seulement ? Est-ce une affaire d'idées, comme il le soutient, qui le sépare d'Anne Hidalgo, de Yannick Jadot ou du candidat communiste Fabien Roussel, dernier venu dans le quatuor, est-ce une affaire d'ego, comme il le nie ? Il n'a pas dit le contraire hier, en réponse à une question, mais il s'agit bien de sa dernière campagne : pouvait-il la conduire, comme autrefois François Mitterrand, son modèle, à la tête d'une gauche unie ? On retiendra qu'il ne l'a pas cherché, qu'il a écarté avec indifférence toutes les propositions d'unité émanant du Parti socialiste ou des Verts. Convenons, par honnêteté, que personne, dans ces deux mouvements, n'a réellement lutté pour une véritable union. La gauche attend-elle d'être battue à plate couture pour retrouver, plus tard, une nouvelle jeunesse ? À cette question, hier, Jean-Luc Mélenchon n'a pas répondu.

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Il ne fait plus rire personne car chez ces extrémistes déjantés gauche droite ou pas encore définitivement étiqueté car trop nombreux dans la kyrielle des candidats prétendants inutiles à la présidence de notre république obsolète !

Et de ce fait avec cette quantité de « baltringues » de tous bords qui en plus se croient les meilleurs les français ne savent plus pour qui voter et à quel saint se vouer à 69 jours du1er tour de cette élection présidentielle la plus lamentable avec cette campagne électorale médiocre de cette V eme république devenue pseudo monarchique !

Le président sortant se fait du souci tant mieux, car c’est de sa faute à force de se moquer des Français ne sachant pas qui il trouvera opposé à lui au 2 eme tour (s’il arrive en tête au 1er tour car avec cette profusion d’opposants il n’est plus très sûr de lui !?)

Mais il serait étonnant qu’il ne soit pas présent car il reste une quantité assez importante de niais pour le réélire, car tout ce mauvais cinéma ne sert qu’aux médias et leurs sondages pernicieux mais ne sont que du bla-bla journalistique et si cela était une réalité tellement ces politiciens auraient creusé le trou pour les enterrer cela risque de donner aux français le pire je ne cite pas de noms, car il y en a plusieurs chez ces trublions professionnels !

Et là bonjour les dégâts pour la France et les Français qui n’ont toujours pas compris et votent si mal de puis 40 ans, mais là en 2022 ils ont appuyé sur le champignon de la bêtise !

Jdeclef 01/02/2022 13h27


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