vendredi 25 février 2022

Cette guerre est bien plus grave que d'avoir contrarié les... : de notre roitelet bavard donneurs de leçon gonflé d'orgueil mal placé !

 

Présidentielle : le cadeau empoisonné de Poutine à Macron

La guerre en Ukraine pèse sur la campagne présidentielle, réduite comme peau de chagrin. La crise, majeure, contrarie les intentions du président-candidat.

Et si Vladimir Poutine rendait, involontairement, service à Emmanuel Macron ? C'est la question que l'on doit se poser au lendemain de l'invasion russe de l'Ukraine. Pas besoin d'être docteur en sciences comportementales pour comprendre qu'en période de crise les électeurs ont traditionnellement tendance à privilégier la stabilité au détriment de l'aventure, la continuité du pouvoir plutôt que l'alternance.
En déclenchant une guerre aux portes de l'Europe, Vladimir Poutine pourrait bien transformer l'élection présidentielle française en une promenade de santé pour le candidat Macron… Ce principe s'est d'ailleurs largement vérifié lors des élections municipales et régionales qui se sont tenues en pleine crise sanitaire : à de rares exceptions près, les exécutifs locaux ont été reconduits dans leurs fonctions.

Ceux qui vont espérer qu'il trébuche

Cette irruption de la guerre signifie-t-elle que la campagne électorale est terminée avant d'avoir commencé ? Si le président sortant ne mène pas campagne, il n'y aura aucune campagne électorale. Les candidats en seront réduits à commenter l'action de celui qui gouverne, en espérant secrètement qu'il trébuche… La campagne promet d'être minimaliste, réduite à quelques meetings. « L'équipe de campagne avait déjà du mal à préempter deux jours par semaine sur l'agenda du président pour le faire participer à des meetings et des rencontres. Là, je ne sais pas comment ils vont faire, le temps de la campagne risque de se compter en heures », raconte un cadre de la macronie.

Il ne faut pas non plus négliger les effets collatéraux sur la vie politique française des décisions belliqueuses de l'incontrôlable président russe… En envahissant l'Ukraine, Poutine apporte une forme de clarification involontaire et disqualifie les responsables politiques qui soutenaient un accord avec la Russie : Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon et, surtout, Éric Zemmour – qui, en septembre 2018, rêvait d'un « Poutine français ». Ces trois candidats doivent affronter un choix cornélien : reconnaître leur manque de flair diplomatique ou défendre des positions alambiquées donnant largement l'impression d'aller contre les intérêts de la France et de l'Europe… En d'autres termes, ils doivent choisir : passer pour des incompétents ou des cyniques.

Coignard – Présidentielle : Poutine, le chéri des extrêmes

Si l'horizon politique semble dégagé pour le président sortant, il ne s'agit pas pour autant d'une bonne nouvelle pour lui. D'abord, il lui faudra assumer l'échec de la médiation avec Poutine, ainsi que la part d'humiliation diplomatique que représente cette guerre pour l'Europe. Privé de campagne électorale, le président est aussi dépourvu de perspectives. Emmanuel Macron, qui rêvait de faire campagne sur l'optimisme, devra probablement revoir ses plans. Il lui faudra dire comment il compte, dans un pays endetté, gérer les conséquences économiques et sociales d'un tel conflit : les prix de l'énergie, des métaux et du blé vont s'envoler, ce qui ne sera pas sans conséquence sur la vie de nombreux Français. Une fois encore, les ambitions d'Emmanuel Macron se fracassent sur le réel… Lui qui rêvait de faire de la politique autrement ne fait que gérer, depuis 2018, les crises.

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Ambitions de réélection présidentielle de notre petit pseudo monarque sans couronne fat si sûr de lui dont POUTINE s’est moqué ouvertement ainsi que de la France ce qui est plus grave et dont notre champion des donneurs de leçons bienpensant continue à lui téléphoner en le sommant d'arrêter son invasion de l'UKRAINE !?

Car pour le maitre du Kremlin : « les chiens hurlent et la caravane passe » et il ira jusqu’au bout en espérant qu’il n’ira pas plus loin pour récupérer toutes ces républiques perdues de cet ex URSS qui bordent les frontières russes si près de chez nous ne subissent le même sort surtout si les occidentaux et surtout les USA ne veulent pas réactiver le bouclier de l’OTAN qui semble la seule défense qu’il craint !

Car la veulerie ou pleutrerie occidentale a déjà été testée avec les guerres moyen-orientales pendant plus de 20 ans avec ces échecs retentissants ou printemps arabe fumeux et même jusqu’en 2013 ou cette coalition européenne et US n’ont encore pas été capable de s’entendre et après la fuite des USA en AFGHANISTAN et la lutte contre DAESH EI et lutte contre l’islamisme terrorisme toujours présent et agissant toujours périodiquement en Europe et occident sans oublier l’exemple du MALI et de son immense SAHEL et pays africains adjacents de cet ex empire colonial français AOF/AEF avec l’évacuation de l’armée française et ses quelques allés européens !

Alors faire confiance à ce petit MACRON qui a dit que le monde change on s’en était rendu compte on n’a pas besoin de lui pour le dire mais on peut avoir une certitude ce n’est pas lui qui le changera car il ne sait que s’écouter parler pour ne rien dire et ne sait pas nous protéger alors les Français qui se regarde le nombril feront ce qu’ils veulent pour 2022 voire 2027 !?

Jdeclef 25/02/2022 13h25


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