lundi 21 février 2022

Pourquoi insister les africains de l’ex-empire français colonial ex AOF/AEF Ne veulent plus des occidentaux blancs chez eux qui les ont asservis çà peut se comprendre ! Que le NIGER refuse se sera mieux pour la France !

 

Redéploiement de Barkhane : comment le Niger compte s’y prendre

PLAN. Alors que le Niger s’apprête à devenir un point névralgique du futur dispositif de la lutte contre le terrorisme dans le Sahel, les débats s'intensifient dans l’opinion.

Si la décision d'un redéploiement de la force française Barkhane au Niger était attendue, les débats dans le pays et au-delà dans la sous-région n'en sont pas pour autant moins tendus. Le Niger va en effet accueillir de nouvelles implantations, notamment du groupement de forces spéciales européennes Takuba, à la suite du retrait des forces françaises et européennes du Mali. Le président Mohamed Bazoum l'a confirmé dans une interview au quotidien français Le Figaro, vendredi 18 février.

Mali : qu'est-ce qu'une intervention militaire réussie ?

Une reconfiguration du dispositif dans la zone dite des trois frontières

Dans cet entretien paru au lendemain de l'annonce par la France et ses partenaires au sein de Takuba de leur « retrait coordonné », le chef de l'État nigérien estime que « leur départ va créer un vide qui sera rempli par les organisations terroristes déjà très présentes dans cette région » frontalière entre les deux pays. Il critique aussi vivement les autorités maliennes issues de deux putschs, en août 2020 et en mai 2021, dont la France et les pays européens participant à Takuba ont cité les « multiples obstructions » comme principal motif de leur retrait. « Il y aura de nouvelles implantations au Niger. Notre objectif est que notre frontière avec le Mali soit sécurisée. Nous prévoyons qu'après le départ de Barkhane et de Takuba, cette zone soit encore plus infestée et que les groupes terroristes se renforcent », a indiqué le président nigérien. Pour appuyer son propos, il a précisé que sous les colonels maliens, « la situation s'est considérablement dégradée. Depuis le coup d'État, tous les postes militaires à la frontière du Niger ont été désertés sous la pression terroriste. Il n'y a plus d'armée malienne à la frontière du Niger, une zone littéralement occupée par les terroristes ».

D'après les premières informations, les nouvelles bases seront non loin de Ménaka et de Gao, dans le nord-est du Mali. « Elles accueilleront surtout Takuba, car cela a de grands avantages pour nous. Ce sont des forces spéciales avec des capacités répondant à la menace posée par les organisations terroristes », a souligné le président Bazoum. « Takuba est aussi une force intégrée à l'armée malienne et bientôt à l'armée du Niger. Nous aurons un accord avec les gouvernements européens qui pourraient intervenir. Le concept de Barkhane est un peu différent », a-t-il poursuivi.

Retrait français du Mali : casse-tête logistique en vue

Le Niger va lancer un débat au Parlement

Depuis ces annonces, les débats sont très vifs au Niger, un pays déjà traversé par des questionnements sur la présence de forces militaires étrangères. Niamey abrite déjà la base projetée aérienne française, où se trouve l'ensemble des moyens aériens comme les Mirage et les drones. Pour de nombreuses voix qui s'élèvent, accepter de nouveaux soldats étrangers pourrait être un risque pour la stabilité du Niger et pour son dirigeant, seul civil récemment élu dans le Sahel, qui plus est lors d'une transition pacifique. Mais ce serait vite oublier que le pays, membre du G5 Sahel, joue un rôle stratégique plus important depuis qu'il a hérité du rôle de coordonnateur entre la France et les pays de la sous-région, à l'issue du sommet de Pau de janvier 2020. La conjoncture sous-régionale est également favorable à cette décision, puisque les voisins du Niger connaissent des situations politiques compliquées : deux putschs au Mali, la mort d'Idriss Déby au Tchad, et le coup d'État intervenu au Burkina Faso, fin janvier. Reste aux autorités nigériennes de convaincre l'opinion publique. Une bonne partie de celle-ci est très critique envers la présence militaire étrangère et française en particulier. Les manifestations antifrançaises de Kaya en septembre 2021 et celles, qui ont bloqué à Téra un convoi logistique de Barkhane en novembre, l'ont montré. Trois jeunes ont été tués lors de la confrontation entre le convoi français et la société civile. Le président Bazoum a exigé de la France une enquête, dont les résultats ne sont toujours pas connus.

Sans attendre, le chef de l'État nigérien a chargé son Premier ministre, Ouhoumoudou Mahamadou, d'organiser un débat suivi d'un vote sur cette question sensible de l'accueil de la force Barkhane sur le sol nigérien devant l'Assemblée nationale du Niger.

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Après tout ils ont le droit d'être maitres chez eux de commettre leurs erreurs et être vraiment indépendant en subir les conséquences et bien fait de s'assumer après plus de 60 ans d'indépendance !

Quant à la France et nos dirigeants il faut qu'ils arrêtent de vouloir donner des leçons à ces peuples et tourner la page de cette Afrique francophone en essayant de leur imposer une démocratie à l'occidentale après une colonisation datant du IXXeme siècle tout comme on n'a voulu le faire au moyen orient après 20 ans en pure perte avec ces fumeux printemps arabes un échec retentissant pour finir à s’en aller ou fuir comme on fait les américains en AFGHANISTAN et cette lutte avec une coalition occidentale désordonnées européenne et USA contre DAESH EI toujours présent en IRAK mais surtout en SYRIE ou la Russie poutinienne a repris la suite car possédant des bases navales qu’elle veut garder en Méditerranée !

Il faut que les petits NAPOLEONS CESAR à petits pieds français qui se sont succédé gonflés d’orgueil mal placé car devenant indirectement dangereux pour notre sécurité car se servant de l’alibi de cette lutte contre le djihadisme profitent de cette affaire de retrait du MALI par les troupes françaises pour tourner une fois définitivement pour toute la page de cette AFRIQUE de l’ouest et du Maghreb !

Car le terrorisme islamique est toujours venu de l’intérieur de la France ou chez nos voisins européens le procès fleuve de ces attentats de 2015 et ceux qui ont suivi dans notre pays jusqu’à maintenant de ces terroristes islamiques venait de chez nous comme celui par exemple de ce prêtre à ST ETIENNE DU ROUVRAIS et bien d’autres car la liste est longue et pas encore finie !

Donc au lieu de lutter contre des fantômes brigands de grand chemin dans cet immense SAHEL il vaut mieux se protéger chez nous et mieux que le font nos dirigeants partisans du politiquement correct hypocrite !

Car le terrorisme islamique à consonnance religieuse moyenâgeuse vient du moyen orient depuis plus de 20 ans n’a jamais cessé et s’amplifie contre le monde judéo chrétien occidental dont ils veulent la perte ne respectant pas la vie humaine donc ni les droits de l’homme !

Il y a deux mondes qui s’opposent depuis la nuit des temps l’OCCIDENT judéo chrétien qui a perdu sa puissance et l’ORIENT islamique qui essaie de rattraper son retard de 700 ans pour prendre sa revanche on peut vivre avec mais pas ensemble c’est incompatible religieusement et culturellement il faut rester chacun chez soi c’est plus simple que d’essayer d’assimiler les uns aux autres le monde est assez grand pour tous !

Jdeclef 21/02/2022 14h38


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