Depuis l'indépendance de ce pays et cette malheureuse guerre inutile les Français : Il faut couper vraiment le ponts avec ce pays qui n'aime pas la FRANCE mais qui veut en profiter par rencoeurs et revanche

 

FOG – La France a toujours mal à l’Algérie

ÉDITO. Emmanuel Macron est-il l’homme qui peut, enfin, réconcilier les Français et les Algériens ? Oui, s’il sait, sans tabou, tenir un langage de vérité.

Non il faut que çà s'arrête car depuis 62 ans, c'est impératif !

La guerre d'Algérie n'est pas terminée. Près de soixante ans après les accords d'Évian, qui devaient y mettre fin, elle bat toujours son plein dans les esprits. « L'Algérie, c'est la France », disait Mitterrand. Après que l'Hexagone a accueilli sans limites des millions d'Algériens, l'inverse est, d'une certaine façon, en train de devenir vrai.

La France se retrouve chargée de tous les péchés d'Israël : quand les historiens ne tartinent pas sur les tortures abjectes qui ont été perpétrées par ses militaires, ils glosent sur les méfaits de sa colonisation. Dieu sait si notre pays a commis des fautes. Il est pourtant aberrant de le rendre responsable, comme on le fait souvent, de l'état actuel de l'Algérie : les coupables sont les prévaricateurs du FLN qui, depuis 1962, au nom de l'islamo-marxisme, ont mis dans leurs poches l'argent du pétrole et du gaz.

Quasi intouchables sont les concussionnaires ou les sanguinaires, pourvu qu'ils soient « de gauche ». C'est une règle historique qui permet à la mafia du FLN et à sa descendance, propriétaires de nombreux biens immobiliers à Paris, de n'être pas inquiétées par la procédure des « biens mal acquis » engagée contre la corruption. Et gare à ceux qui osent évoquer les actes de barbarie des fellagas du même FLN contre leurs ennemis musulmans ou français d'Algérie. Pour un peu, ces actes seraient classés secret-défense.

Emmanuel Macron est-il l'homme qui peut, enfin, réconcilier les Français et les Algériens , comme de Gaulle avait réconcilié les Français et les Allemands à partir de 1958 ? En tout cas, il ose soulever les tabous. La semaine dernière, il a reconnu que le massacre de la rue d'Isly , à Alger, le 26 mars 1962, était « impardonnable ». Un mitraillage de quinze minutes commis par des soldats français contre des manifestants pieds-noirs sans armes. Bilan officiel : 46 morts, en réalité beaucoup plus.

Un autre tabou a sauté quand le président a dit, le même jour, qu' il fallait « reconnaître » le massacre d'Oran , entamé quelques heures avant la proclamation de l'indépendance de l'Algérie, le 5 juillet 1962. Alors que la deuxième ville d'Algérie - avec une population en majorité européenne - se vidait de ses habitants, une chasse arabe aux pieds-noirs, apparemment bien organisée, dans laquelle certains ont vu la main du FLN, a commencé dans les rues : plusieurs centaines d'Européens d'Algérie ont été assassinés, sans que les unités du général Katz, exécutant les ordres venus d'en haut, ne bougent un cil.

Les mauvais esprits se gaussent de ces guili-guili tardifs de Macron à l'électorat pied-noir : il n'est plus un bleu, et il arrose large ces temps-ci. Il a même déjà donné - et c'est tant mieux - aux harkis en leur demandant « pardon » au nom de la République, qui a laissé le FLN exterminer dès l'indépendance plusieurs dizaines de milliers d'entre eux, certains ayant été bouillis à petit feu dans des chaudrons. Le président revient de loin.

« Oui, la colonisation est un crime contre l'humanité », avait déclaré Macron en 2017, alors qu'il ignorait manifestement que ce morceau de terre berbère qu'on appellerait l'Algérie avait souvent été colonisé dans le passé. Notamment par les envahisseurs arabes qui, depuis le VII^e siècle, ont imposé leur loi d'airain aux autochtones, en particulier aux Kabyles, et c'est devant les descendants des colonisateurs précédents que ceux des anciens colonisateurs français étaient priés de s'agenouiller ! Le farceur ! Dans la foulée, le président décida aussi que le récit français de la guerre d'Algérie serait une resucée du récit du FLN, c'est-à-dire une litanie de bobards. À l'évidence, il est en train de se reprendre.

N'est-il pas temps de rétablir les vérités que tant de cerveaux hémiplégiques ne peuvent pas concevoir ? Quand la France a signé les accords d'Évian, elle avait gagné la guerre, sur le terrain. Mais de Gaulle voulait à tout prix couper la France de l'Algérie. Pour trois raisons. Idéologiquement, même s'il l'avait caché pour revenir au pouvoir en 1958, c'était un décolonisateur dans l'âme : chacun chez soi. Économiquement, il considérait que les départements algériens seraient toujours un boulet pour la métropole, un « tonneau des Danaïdes » : « Bye-bye, vous nous coûtez trop cher ! » résumera-t-il. Enfin, il était obsédé par la démographie arabe : « Avez-vous songé, dira-t-il encore, que les Arabes se multiplieront par deux, puis cinq, pendant que la population française restera presque stationnaire ? […] Vous voyez un président arabe à l'Élysée ? » (1)

Pressé de réaliser l'indépendance, de Gaulle a bâclé la paix en laissant l'Algérie aux véreux du FLN. Mais ce n'est pas en reprenant ses mensonges d'État que la France se rabibochera avec le pouvoir algérien ; c'est en disant la vérité et en tenant la balance entre le Bien et le Mal. Même s'il y a des combats justes, l'Histoire n'est pas une série télé où ne s'affrontent que Bons et Méchants.

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Et la France n’a que des ennuis avec les dirigeants qui se sont succédé dans ce pays qui sont d'une mauvaise foi évidente !

Et on note toujours une immigration importante de leurs ressortissants notamment jeunes vers la France et l’Europe car ils manquent de liberté, de travail dans leur pays riche ou les profits divers des ressources naturelles énergétiques dont les profits sont mal gérés ne tombent que dans la poche de leurs dirigeants qui soutiennent hypocritement ce sentiment anti-français !

Car leurs dirigeants gouvernent mal et se comportent comme des autocrates anti-français qu'ils tiennent responsables de leur mauvaise gestion de leur pays depuis 62 ans (un peu comme toutes nos ex colonies Africaines ex-AOF/AEF et ce Maghreb!)

Alors que Mr MACRON ne fasse pas semblant de s’occuper de la France et des Français car étant en campagne électorale ou une trop grande communauté d’algérien et leurs familles vivent en France, alors qu’une majorité d’entre eux ont expulsé 1 million de Français nés en d’ALGERIE avec pour tout bagage une valise !

Il faut que le président traite ce problème de l’ALGERIE comme tous les autres pays étrangers sans passe-droit ni avantages divers !

Car E.MACRON est trop jeune pour juger ce problème algérien et des familles de français qui ont souffert et perdus des enfants envoyés faire cette guerre inutile, j’y ai moi-même passé 18 mois et un de mes voisins de ma classe scolaire y a perdu la vie !

Notre président donneur de leçon pratiquant le politiquement correct hypocrite et qui semble vouloir s’occuper plus des affaires étrangères que du peuple de France pour se faire mousser sache que les Français de cette génération votent en espérant qu’ils se réveillent enfin !

Jdeclef 05/02/2022 09h50