Coignard
– Pour Pécresse, la médaille de bronze n’est pas une option !
CHRONIQUE. Contrairement
aux skieurs de fond français, pour la candidate LR, finir sur la troisième
marche du podium ne serait pas une issue honorable.
Il
neige, ce dimanche 13 février, en Chine, sur le relais masculin de ski de
fond. Les Français, déjà médaillés de bronze dans les deux précédentes éditions
des Jeux olympiques, veulent envers et contre tout conserver une place sur le
podium, fût-ce une fois encore la troisième.
Le dernier relayeur, Maurice Manificat, le bien nommé, commence la
course en quatrième position. Distancé dans les descentes, il revient avec une
énergie qui force l'admiration dans les montées. Au point de passer en deuxième
position. Il passe finalement la ligne d'arrivée à la troisième place. Un spectacle
extraordinaire, nourri de talent, d'énergie, de volonté, d'intelligence
tactique aussi.
Présidentielle : à Paris, Pécresse cherche son Zénith
Pourtant, contrairement à Maurice Manificat et à ses coéquipiers,
Valérie Pécresse ne peut pas se réjouir d'une troisième place dans la course
présidentielle. Elle a tout misé sur sa capacité à l'emporter face à Emmanuel
Macron au second tour. Trébucher à l'issue du premier la priverait non
seulement de l'Élysée, mais également de sa toute nouvelle position de patronne
de la droite. Une droite qui devra résister sans elle, en cas d'échec, au
risque de délitement…
Il existe d'ailleurs une hypothèse plus effrayante encore pour
elle, une hypothèse que ses équipes ne peuvent ignorer et que certains de ses anciens
amis politiques, passés dans le camp d'Emmanuel Macron, évoquent
ouvertement : se retrouver en quatrième position, la plus déprimante pour
un athlète olympique. Les sondages lui accordent en effet une avance très
faible sur Éric Zemmour. Elle doit donc creuser l'écart dans une compétition
difficile.
Au zénith, elle a voulu parler de « sa France ». Elle a
surtout choisi pour cible unique le chef de l'État, en usant notamment d'une
anaphore, figure de style classique dans ce genre d'exercice :
« J'accuse Emmanuel Macron d'avoir cédé à la repentance […]. Je l'accuse
d'avoir racialisé la question des banlieues. Je l'accuse de vouloir
déconstruire notre histoire. Je l'accuse d'avoir nié l'existence de la culture
française. » Jamais le nom d'Éric Zemmour n'a été prononcé, encore
moins celui de Marine Le Pen. Rien d'étonnant : Valérie Pécresse sait
qu'en dehors des deux premières marches du podium, il n'y a point de salut.
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Ou ce polémiste
médiatique télévisuel déjanté extrémiste de droite comme ce ZEMMOUR et la
cerise sur le gâteau extrémiste qui a dépassé la date de consommation de M. LE
PEN récidiviste habituelle qui n'est plus dans le coup car trop connue abonnée
à la 2eme place et qui sera étrillée facilement par le président sortant
E.MACRON qui n'aura pas à se forcer !
Alors oui
qu’ils réélisent le président sortant qui leur donnera « des coups de
pieds au derrière » et leur en fera baver jusqu’en 2027 et réduira encore
plus les libertés dont certains disent que l’on ne les respectent pas assez se
prenant encore plus pour un monarque sans couronne qui ne se gênera plus de
jouer au dirigeant rigide de certaines démocratures de certains grands pays
connus puisque ce sera son dernier quinquennat avec trop de pouvoir que les français
pleutres lui auront redonné et qu’il n’aura pas à se battre pour être réélu
dans 5 ans selon la constitution puisque sa dernière mandature !
Car ces
types de français préfèrent les discours bien tournés alambiqués de ce donneur
de leçons hypocrite qui n’aiment pas les Français qu’il dédaigne que certains même
ne comprennent même pas toujours ou préférant ceux des autres gueulards
promettants tout et n’importe quoi et quand plus c’est gros mieux sait !
V.PECRESSE
a le tort d’être une femme ce qui est difficile à faire admettre comme
présidente dans une France encore rétrograde et machiste d’un autre âge et
semble-t-il elle a déroulé son programme étayé qui va pourtant dans le sens de ce
que veulent beaucoup de Français mais qui gênent encore beaucoup d’élus quand
on les voit comme certains députés à l’Assemblée nationale et certains médias
avec leurs sondages orientés !
Comme il
ne reste pas de candidat valable dans le reste de ceux qui se présente le
président sortant va réussir à être réélu à cause de ces français qui ne savent
toujours pas voter depuis 40 ans avec l’abstention qui augmentera logiquement !
En France
lors des campagnes électorales pour être élu il faut parler fort tant pis si
après on ne tient pas ses promesses ça marche à tous les coups avec ces plus mauvais
électeurs gogos français qui eux ne s’améliorent pas !
Jjdeclef
14/02/2022 10h24
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