lundi 15 mai 2017

La grande défaite est surtout pour DUPONT AIGNAN qui dont la tête avait enflé trop vite ?

Le FN et Nicolas Dupont-Aignan rompent leur alliance

INFO LE POINT.FR. L'accord entre Marine Le Pen et Debout la France n'a pas survécu à la présidentielle. Les deux partis feront candidats séparés.

Nouveau coup dur pour le FN. Ce samedi avait lieu un conseil national élargi aux candidats aux législatives de Debout la France pour se mettre d'accord sur un éventuel accord en vue des législatives. Selon un membre présent lors de cette réunion, Nicolas Dupont-Aignan devrait annoncer lundi au micro de Jean-Jacques Bourdin qu'il ne pactisera pas avec Marine Le Pen pour cette élection. Debout la France présentera donc des candidats dans les 577 circonscriptions.
Lors de cette réunion où les esprits se sont parfois échauffés, plusieurs cadres se sont montrés favorables à un accord qui prévoyait que chaque parti retire mutuellement des candidats dans plusieurs circonscriptions pour favoriser les candidats de l'autre. Mais après la déception de la présidentielle, les conditions de l'accord proposé par le FN auraient été revues à la baisse, explique un cadre de Debout la France. « Au début, on parlait en interne de 120 candidats, puis finalement 50. Et maintenant, le FN n'arrive plus à trouver les circo », explique un cadre de Debout la France. « Au FN, on considère que les accords ou ébauches d'accords passés il y a quelques jours ne correspondent plus à la réalité. Ils ne proposent plus autant de circonscriptions gagnables que Nicolas Dupont-Aignan le voulait », confirme Dominique Jamet, ancien vice-président du parti qui a démissionné après le soutien à Marine Le Pen.
Autre pomme de discorde : le FN aurait exigé que les candidats de Debout la France se présentent avec une double étiquette FN et DLF. Le vice-président du FN Louis Aliot avait déjà évoqué cette possibilité. Nicolas Dupont-Aignan s'est montré fermement opposé à cette condition. Déçu par la décision du président du parti, son chef de cabinet Thomas Ménagé, favorable au rapprochement avec le FN l'a traité de « pauvre minable », rapporte un membre du conseil national*.

Mauvaise nouvelle supplémentaire pour Marine Le Pen

Après l'annonce du soutien de Nicolas Dupont-Aignan à Marine Le Pen, les deux personnalités s'étaient déjà contredites sur l'existence et le contenu d'un éventuel accord pour les législatives. « Pour l'instant, ce débat n'a pas eu lieu. Chacun présente ses candidats et nous verrons bien ce qui se passera. L'important, pour l'instant, c'est la présidentielle », assurait Marine Le Pen. De son côté, Nicolas Dupont-Aignan présentait au contraire cet accord comme acquis. À la question de savoir si dans 50 circonscriptions il n'y aurait pas de candidats Front national face à ceux de Debout la France, le maire de Yerres a répondu : « Tout à fait. On verra comment tout ça se passera après la présidentielle », a-t-il répondu. « Debout la France reste un parti équilibré qui déposera des candidatures dans plus de 525 circonscriptions. Les Français auront le choix entre deux patriotismes : le patriotisme du Front national, le patriotisme gaulliste de Debout la France. Le parti vivra », a ajouté plus tard le député. Il devrait donc vivre à l'avenir sans son éphémère allié.
Cette annonce est une mauvaise nouvelle de supplémentaire pour Marine Le Pen. Miné par des contestations internes, orphelin de Marion Maréchal-Le Pen, le parti comptait sur le ralliement de Nicolas Dupont-Aignan pour créer un appel d'air et ouvrir la voie à d'autres ralliements de « patriotes ». Selon Le Canard enchaîné, avant le second tour, une cinquantaine de circonscriptions avaient été « gelées », dont celle de Thierry Mariani, Véronique Besse et Jacques Myard, pour tenter de faire alliance avec ces élus jugés fronto-compatibles. Mais non seulement le parti n'a engrangé aucun nouvel allié de poids, mais Nicolas Dupont-Aignan fait aujourd'hui machine arrière. De son côté, ce dernier aura bien du mal à faire oublier à ses sympathisants et électeurs hostiles au Front national qu'il a franchi la ligne bleu marine. « Le soutien à Marine Le Pen était donc une erreur tactique en plus d'être une erreur politique et morale », résume Dominique Jamet.
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L’ambition de ce politicien qui a fait un mauvais calcul politique par son égo qui l’a amené à faire comme  « la grenouille qui voulait se faire aussi grosse que le bœuf » avec la promesse de M.LE PEN de le nommer 1er ministre !?

De cette leader du FN ou ce député avec son parti « debout la France », c’est lui qui a fait un très mauvais choix politique, qu’il risque de payer dans les urnes aux législatives même dans sa circonscription de l’Essonne ou il a été beaucoup décrié pour s’être allié au FN !

On peut comprendre la déception de ses électeurs et administrés de sa ville de YERRES car son attitude a changé, alors qu’il critiquait avant son revirement, fortement M.LE PEN !

Encore un exemple de ces paroles non fiables et faux discours de ces politiciens girouettes qui tournent au gré du vent politique du moment dont les français ne veulent plus à juste titre !


Jdeclef 15/05/2017 12h38

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