samedi 13 mai 2017

Avec BAYROU, il ne fallait pas s’attendre à autre chose cet « empêcheur de tourner en rond » !

Législatives : le MoDem et En marche ! proches d'un accord

Après trois heures de bureau politique, le président du MoDem juge qu'un projet d'accord "solide" a été mis en place. En marche ! doit donner sa réponse samedi.


L'essentiel :
- Gaspard Gantzer, conseiller de Hollande, a renoncé à se présenter à Rennes pour En marche ! aux législatives. Se disant « très honoré » de la proposition d'Emmanuel Macron, Gaspard Gantzer a indiqué toutefois qu'« après réflexion » il « préfère » la « refuser », estimant que ce n'était « pas une bonne idée », ses « attaches » étant à Paris, la ville où il a « toujours vécu » et pour laquelle il a travaillé à la mairie.
- Imbroglio autour d'un accord de gouvernement. Vendredi, en début de soirée, RTL annonçait qu'un accord était en train d'être passé entre Alain Juppé et Emmanuel Macron, assurant une place à Matignon à Édouard Philippe, le maire du Havre. Une information démentie presque immédiatement par Alain Juppé sur son compte Twitter. L'entourage de Macron a également démenti
- Le MoDem avance sur un accord avec En marche !. Toute la soirée, les dirigeants du parti centriste étaient réunis, à la suite de la convocation de François Bayrou, qui contestait la liste des candidats investis par La République en marche. Un peu avant minuit, François Bayrou a expliqué avoir avancé et bâti un projet d'accord « solide » et « équilibré ». En marche ! doit donner sa réponse samedi.
- Le président du Sénat Gérard Larcher (Les Républicains) rencontrera le nouveau président Emmanuel Macron samedi, à la veille de la cérémonie d'investiture, a-t-on appris vendredi de source parlementaire. Les deux hommes évoqueront tous les sujets.

23 h 35 - Bayrou : "Nous avons progressé"

   
Bayrou a annoncé avoir trouvé un projet d'accord "solide et équilibré" avec En marche ! après plus de trois heures de bureau politique. "Nous avons bâti un accord solide et équilibré qui n'est pas achevé, car les équipes du mouvement En marche ! nous on demandé d'attendre demain pour la réponse", a-t-il expliqué devant la presse vendredi soir. Le principal point traité pendant le bureau politique, mené en présence des dirigeants du parti centriste et "à distance" avec quelques membres d'En marche !, était de trouver un point d'équilibre "au centre" parmi tous les candidats investis. En clair, avoir une majorité de centristes. "On a fait des pas en avant sur des questions extrêmement importantes pour l'avenir de la majorité", a-t-il estimé.      

21 h 47 - Gaspard Gantzer renonce à se présenter pour En marche !

      "Parachuter Gantzer, c'est avant tout une faute politique", estimait jeudi l'entourage Jean-Yves Le Drian. Vendredi, Gaspard Gantzer, conseiller de Hollande, a renoncé à se présenter à Rennes pour En marche ! aux législatives. Se disant "très honoré" de la proposition d'Emmanuel Macron, Gaspard Gantzer a indiqué toutefois qu'"après réflexion" il "préfère" la "refuser", estimant que ce n'était "pas une bonne idée", ses "attaches" étant à Paris, la ville où il a "toujours vécu" et pour laquelle il a travaillé à la mairie.
LIRE NOTRE CONFIDENTIEL Législatives : "Parachuter Gantzer, c'est une faute"
      

20 h 37 - L'entourage de Macron dément également avoir passé un accord avec Juppé

      Après Alain Juppé lui-même, c'est au tour de l'entourage d'Emmanuel Macron de démentir l'information de RTL, annonçant un accord de gouvernement entre les deux camps. "Démenti total", a affirmé une source proche d'Emmanuel Macron à l'Agence France-Presse. De son côté, RTL maintien, par l'intermédiaire de sa chef du service politique, malgré le démenti des deux camps.

19 h 35 - Juppé dément avoir passé un accord avec Macron

   
Vendredi, en début de soirée, RTL annonçait qu'un accord était en train d'être passé entre Alain Juppé et Emmanuel Macron, assurant une place à Matignon à Édouard Philippe, le maire du Havre. Une information démentie presque immédiatement par Alain Juppé sur son compte Twitter. "La capacité d'inventions et de mensonges de certains médias n'a aucune limite. Il n'y a évidemment aucun accord Juppé-Macron !" a tweeté le maire de Bordeaux. 

18 h 54 - Législatives : les duels à suivre

      Les noms des candidats aux élections législatives ont presque tous été dévoilés. Certaines circonscriptions annoncent de belles batailles...  Découvrez notre carte interactive.       

17 h 31 - Macron et Larcher se rencontreront samedi

      Le président du Sénat Gérard Larcher (Les Républicains) rencontrera le nouveau président Emmanuel Macron samedi, à la veille de la cérémonie d'investiture, a-t-on appris vendredi de source parlementaire. Les deux hommes évoqueront tous les sujets, a-t-on ajouté sans préciser le lieu et l'heure de la rencontre. Le président de la Haute-Assemblée est appelé à exercer provisoirement les fonctions de président de la République si ce dernier est empêché, s'il démissionne ou s'il vient à mourir.       

17 h 08 - Investiture LRM : la commission d'éthique saisie

   
Vendredi, la Licra a demandé à ce que l'investiture La République en marche soit retirée à Christian Gerin en raison de propos qui auraient un caractère antisioniste. Quelques minutes plus tard, Laurence Haïm a confirmé que la commission d'éthique avait été saisie et que l'investiture avait été suspendue. 

16 h 34 - Le PCF retire son candidat face à Jean-Luc Mélenchon

      Le Parti communiste a décidé de retirer ses candidats dans quatre circonscriptions des Bouches-du-Rhône, notamment pour "contribuer à faire échec au FN", a indiqué la fédération départementale dans un communiqué transmis vendredi. "Nous refusons le gâchis de la division, nous ne nous y résignons pas. Le résultat de l'élection présidentielle nous confère d'importantes responsabilités", ont estimé les communistes des Bouches-du-Rhône, qui appellent au rassemblement, "malgré l'absence d'accord national [avec La France insoumise, NDLR]". Parmi les 4 circonscriptions figure la 4e, "où Jean-Luc Mélenchon a décidé de se présenter". Les candidats de la 3e circonscription, à Marseille, et de la 9e (Aubagne-La Ciotat) se retirent aussi, "pour contribuer à faire échec au maire FN". Stéphane Ravier, sénateur-maire FN des 13e et 14e arrondissements de Marseille, est candidat aux élections législatives dans la 3e circonscription. Dans la 16e circonscription (Arles-Miramas-Tarascon), le PCF se retire également "pour que la droite et l'extrême droite soient battues". "Nous ne voulons pas laisser le Front national s'ériger en opposition. Nous voulons incarner l'alternative, l'espoir de notre peuple dans un véritable changement", ont affirmé les communistes.       

16 h 03 - Jean-Marc Germain optimiste pour le PS

      Le député PS Jean-Marc Germain a anticipé vendredi "une bonne surprise", assurant que l'Assemblée nationale serait constituée "d'à peu près 150 députés socialistes" après les élections législatives de juin. "Je vous annonce une bonne surprise", a-t-il assuré sur LCP et Public Sénat. "Je pense qu'on aura à peu près 150 députés socialistes" à l'issue des élections législatives. Malgré un sondage Harris Interactive qui crédite le Parti socialiste de 7 % d'intentions de vote aux législatives, le député PS a prédit "un Parlement qui va avoir trois groupes à peu près de même taille".
À la question : "Vous vous basez sur quoi pour cette estimation ?" Jean-Marc Germain a répondu : "Vous savez, il y a des simulations que l'on peut faire. On sait qu'une partie de notre électorat est partie avec Emmanuel Macron parce qu'il ne voulait pas avoir à choisir entre Fillon et Le Pen, et puis il y a une partie qui est partie chez Mélenchon." Et l'ancien codirecteur de la campagne de Benoît Hamon de suggérer que "20 % de chacun de ces deux électorats" (Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon) pourraient se tourner de nouveau vers le Parti socialiste. Cette réorientation s'expliquerait, selon lui, par les "choix clairs, constructifs : Voilà ce qu'on propose, et vigilants : Voilà ce sur quoi on s'opposera si vous votez pour nous", des candidats PS. Le député des Hauts-de-Seine a anticipé "que ces 20 % d'un côté, 20 % de l'autre, un cinquième de ces deux électorats" peuvent "revenir vers nous". "Faites vos calculs, conclut-il. Vous arriverez à 150 députés."     

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Le président MACRON vient de se faire piéger indirectement par le « prêchi prêcha jésuite » BAYROU !

Le jour où il s’est allié avec ce vieux politicien archétype de ce vieux système qu’il faut changer, il était évident qu’il y aurait des problèmes avec personnage qui porte la poisse à qui s’allie avec lui, cette girouette faux jeton qui tourne dans le sens du vent politique du moment, car BAYROU avait dit en public qu’il n’y avait aucun accord d’appareil, ni négociation pour des places ou investitures, quel qu’elles soient !?

BAYROU fait partie de cette classe politique sclérosée, qui ment comme elle respire, qu’il fallait assainir, nous ne savons pas ce que le président MACRON lui a promis, mais il vient de se confronter à la réal politique de cette V eme république obsolète qu’il faut changer absolument !

Et il a cédé à une forme de chantage, sous la menace d’un vieux politicien dont c’est la dernière chance avec son parti marginal qui ne représente rien et qui veut renaitre de ses cendres, malgré que certains disent qu’il faut faire des concessions en politique !

D’ici mercredi, alors qu’il reste 148 investitures à distribuer, cela va donner à d’autres des désirs en se disant pourquoi pas nous ?!

E.MACRON vient de se rendre compte que de balayer un vieux système partisan dont les français ne veulent plus, que cela n’est pas facile à faire (et que c’est encore les français qui décideront de reprendre leur destin en main et enfonceront le clou du changement dans les urnes ou non ?!)


Jdeclef 13/05/2017 10h08

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire