mardi 2 mai 2017

Ce n'est pas si illogique que cela d'attirer VALLS, pour MACRON car :

Macron entrouvre la porte à Valls, sous condition

Ce mardi, Emmanuel Macron a déclaré : "Si Manuel Valls est prêt à quitter le PS et participer à cette majorité présidentielle, il le pourra."

Ils ont encore cinq jours pour convaincre. Marine Le Pen et Emmanuel Macron, les deux finalistes de l'élection présidentielle, durcissent le ton pendant cette seconde semaine de campagne de l'entre-deux-tours. Après la bataille de l'image la semaine passée, les candidats s'affrontent par meetings interposés, les derniers avant le second tour du scrutin, avant de confronter leurs idées et leur programme face à face mercredi, lors du dernier débat de la présidentielle. Les derniers sondages donnent Emmanuel Macron largement gagnant dimanche avec autour de 60 % des intentions de vote.

11 h 01 - Mamère votera Macron "sans se pincer le nez"

       "J'irai voter pour Emmanuel Macron, sans me pincer le nez", a déclaré le député-maire écologiste de Bègles, interrogé par France Bleu Gironde. Si Emmanuel Macron est élu, "on peut aller dans la rue, on peut combattre sa politique, mais on n'a pas le risque d'avoir une démocratie complètement défigurée comme cela sera le cas avec Mme Le Pen".
Pour Noël Mamère, le risque n'est pas seulement de voir Marine Le Pen élue, mais de la voir dépasser les 40 %, une hypothèse validée par les derniers sondages. "La situation est telle qu'on ne peut pas permettre à Mme Le Pen d'avoir un score qui dépasserait les 40 %. Cela crée une dynamique (...), ce qui lui permettra de peser de manière assez forte à l'Assemblée nationale. Cela conduira à un quinquennat difficile et sans doute à la possibilité pour Mme Le Pen de devenir présidente en 2022", s'est alarmé Noël Mamère.
L'élu, qui ne se représentera pas aux législatives en juin et quittera son mandat de maire dans la foulée, s'en est également pris au leader de La France insoumise. "Je suis extrêmement déçu : Jean-Luc Mélenchon se présentait en quelque sorte comme le capitaine des pompiers insoumis. Aujourd'hui, il se transforme en pyromane", a-t-il dénoncé. Selon lui, suivant un "calcul assez dangereux, irresponsable", le candidat malheureux à la présidentielle "veut maintenir son capital électoral" : "Il mise peut-être sur une montée en puissance de Marine Le Pen pour pouvoir se présenter demain comme le chef de l'insurrection citoyenne, l'homme providentiel qui serait le recours face à une situation politiquement chaotique."      

10 h 53 - NKM demande à Macron qu'il soigne sa droite

      "Il faut qu'[Emmanuel Macron] s'adresse plus directement à l'électorat, et notamment à l'électorat de droite", a déclaré Nathalie Kosciusko-Morizet sur France Inter. "Moi, j'ai appelé à voter Macron au second tour absolument sans hésiter. Pour moi, il n'y a pas de question, il y a deux candidats, il faut battre le Front national et il n'y a pas 36 moyens de le faire. Il n'y a qu'un moyen, on vote Macron. Mais il faut bien comprendre aussi que, pour beaucoup d'électeurs de droite, c'est un vote qui n'est pas si facile. Il y a beaucoup de déception, l'alternance était attendue. Je pense qu'il (Emmanuel Macron) peut faire plus en s'adressant plus directement aux électeurs qui ont voté François Fillon au premier tour."
Une déclaration qui n'est pas sans rappeler celle de Jean-Luc Mélenchon sur TF1 dimanche. Lui aussi demandait à Emmanuel Macron de donner un gage aux électeurs de La France insoumise. "Il pourrait leur dire : Écoutez, je vous ai compris, je retire mon idée de réforme du Code du travail (…) pour que vous puissiez faire un mouvement vers moi. M. Macron, il faut faire quelque chose, vous ne pouvez pas vous contenter de venir et de dire je veux un vote d'adhésion.”

10 h 11 - Macron entrouvre la porte à Valls, sous condition

      Manuel Valls aura-t-il finalement sa place auprès d'Emmanuel Macron si celui-ci est élu ? La porte ne lui a en tout cas pas été fermée par le candidat d'En marche ! au micro de Jean-Jacques Bourdin. "Si Manuel Valls est prêt à quitter le PS et participer à cette majorité présidentielle, il le pourra", a-t-il indiqué. Il y a encore quelques jours, il avait pourtant pris ses distances avec l'ex-Premier ministre.
Emmanuel Macron a toutefois répété qu'au nom du "renouvellement" il excluait que Manuel Valls appartienne à son gouvernement.
Pour rappel, Manuel Valls avait appelé dès le premier tour à soutenir Emmanuel Macron malgré la candidature de Benoît Hamon, dont il dénonçait la ligne politique choisie pour la campagne.
      

10 h 00 - Le Premier ministre de Macron bientôt dévoilé ?

      Au micro de Jean-Jacques Bourdin, Emmanuel Macron a indiqué qu'il avait deux profils en tête pour le poste de chef du gouvernement, sans pour autant en dire plus sur son choix s'il était élu dimanche prochain. Depuis plusieurs jours de nombreux noms circulent comme celui de François Baroin ou de Laurence Parisot.

09 h 53 - "Monsieur Blanc n'est pas candidat à l'élection"

      Au micro de France Inter, Jean-Louis Borloo, soutien d'Emmanuel Macron, a exhorté ses "amis du centre et du centre droit", "la droite française" et ses "amis de gauche" à ne pas "hésiter" dimanche à voter pour Emmanuel Macron, mettant en garde contre le vote blanc. "Vous savez M. Blanc, il n'est pas candidat à l'élection. (...) La vérité, c'est que vous devez choisir", a lancé Jean-Louis Borloo.

09 h 21 - L'appel de Cohn-Bendit aux insoumis

      Daniel Cohn-Bendit a lancé un message aux électeurs de Jean-Luc Mélenchon, dont beaucoup sont dans le "ni-ni" et choisiront l'abstention : "À la gauche de la gauche, c'est la haine. Eh bien, on ne fait pas du socialisme, on ne fait pas une nouvelle société avec la haine. Donc mettez votre haine de côté, pensez rationnellement, et, en votant Emmanuel Macron, on défend la démocratie, la démocratie et la liberté", a lancé l'ancien eurodéputé écologiste sur Europe 1. "Il y a deux choses, il y a le programme d'Emmanuel Macron, on peut discuter, et il y a la démocratie, ça ne discute plus. Si on ne la défend pas, eh bien, à la fin, on est perdants, tous", a-t-il poursuivi. C'était ce week-end l'argument d'Edwy Plenel en une de Mediapart. "Sans hésiter, dans la mesure où nous avons le choix, nous préférons être dans l'opposition à une présidence Macron plutôt que sous un pouvoir nationaliste, autoritaire et identitaire", écrivait le fondateur du site
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L'ex 1er ministre a été empêché de faire des réformes facilement et l'a amené à ce fameux 49/3 si décrié à cause de F.HOLLANDE et des frondeurs de cette vieille gauche PS enfermée dans des dogmes d'un autre temps !

Par contre faire des appels du pied appuyé à Ségolene ROYAL, comme pendant son discours de la VILLETTE est une erreur, à ne pas commettre, car celle-ci a été une ministre plus que médiocre girouette inutile protégée pendant le quinquennat de HOLLANDE !


Jdeclef 02/05/2017 11h36

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