L'Élysée demande au Parlement la prolongation de l'état
d'urgence jusqu'au 1er novembre
"Pour concrétiser ses engagements", le président
Emmanuel Macron souhaite également une nouvelle loi pour lutter contre le
terrorisme.
Emmanuel Macron a présidé
ce mercredi 24 mai le deuxième Conseil de défense de son quinquennat,
deux jours après l'attentat-suicide à Manchester qui a fait 22 morts.
Le nouveau chef de l'État demandera au Parlement la prolongation de l'état
d'urgence, qui devait arriver à échéance le 15 juillet, jusqu'au 1er
novembre. « Le président de la République a décidé que le Parlement
serait saisi d'une prolongation de l'état d'urgence [instauré après les
attentats de novembre 2015 et déjà prolongé à cinq reprises] jusqu'au
1er novembre », a déclaré la présidence dans un communiqué publié à
l'issue du Conseil de défense.Emmanuel Macron souhaite également une nouvelle loi pour lutter contre la « menace terroriste » et a demandé « au gouvernement de proposer des mesures de renforcement de la sécurité hors état d'urgence afin qu'un texte législatif soit préparé dans les prochaines semaines ». « Pour concrétiser ses engagements », le président a « donné des instructions pour la mise en place du centre de coordination des services engagés dans la lutte contre le terrorisme, dont l'organisation sera arrêtée, sous son autorité, par le Conseil de défense et de sécurité d'ici au 7 juin », poursuit la présidence.
Toujours selon l'Élysée, Emmanuel Macron a une nouvelle fois « souligné la solidarité qui unit la France et le Royaume-Uni dans la lutte contre le terrorisme » après l'attentat qui a fait 22 morts, dont des enfants, à la sortie d'un concert lundi soir à Manchester (Grande-Bretagne). « Le Conseil a examiné les moyens d'apporter toute l'assistance possible à l'enquête menée par les autorités britanniques », poursuit la présidence, précisant qu'il « a étudié les implications de cette nouvelle attaque terroriste sur les mesures de protection mises en œuvre pour assurer la sécurité de nos concitoyens et contribuer à celle de nos partenaires européens ».
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Une précaution plus morale qu’autre chose, car cela ne change rien dans la vie quotidienne des français depuis qu’il est en place ?!
Surtout dans les grandes métropoles PARIS, MARSEILLE, NICE etc…
Les français ont appris à comprendre que ces fous terroristes criminels frappent partout ou ils veulent et quand ils veulent et n’ont aucune pitié pour la vie humaine !
Seules des enquêtes d’investigations pointues sur le terrain des grandes villes ou régions et départements sensibles dans des lieux connus pouvant abriter ce type d’individus malfaisants peut donner des résultats en matière de renseignement, mais ils faut des effectifs formés pour et plus nombreux !
Et une justice très ferme qui laisse travailler la police et services de renseignements au mieux sans freiner leurs actions par des arguties juridiques protégeant trop les criminels (quand on les arrête plutôt que les victimes !)
Le terrorisme doit être traité à part de tout autres délits ou crimes avec une sévérité exemplaire !
Car ceci en passant car malgré l’état d’urgence celui-ci n’empêche en rien les malfrats et la délinquance de tous poils de sévir et perdurer et ne semble pas les gêner dans leurs petites affaires au quotidien !
Jdeclef 24/05/2017 12h33 LP
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