Moratoire
sur la dette africaine : « une étape indispensable » pour Macron
Dans un
entretien sur les antennes de Radio France Internationale, le président
français a expliqué la logique de l'approche actuelle de la dette africaine.
Dans cette
crise sanitaire du Covid-19, la question de la dette des pays africains prend de
plus en plus de place et fait réagir de hauts responsables d'institutions
financières internationales, des personnalités de la société civile, des
spécialistes de l'économie, le pape François, des chefs d'État africains et
européens. Parmi ces derniers, la voix du président français s'est fait
entendre une première fois de manière succincte lundi dernier lors de son
allocution à propos des mesures prévues pour les jours à venir quant au
confinement. Ce 14 avril, il s'est confié plus longuement sur cette même
question à Radio France Internationale.Dette africaine : l'alignement des planètes ?
Emmanuel
Macron pour appuyer le moratoire du G20…
Se
prononçant à propos du moratoire proposé par le G20, Emmanuel Macron a
invité les ministres des Finances de ce cercle de décision qui se réunissent
mercredi à acter ce moratoire, alors que la pandémie de Covid-19 menace de
déborder les fragiles systèmes de santé des pays les plus pauvres. Ce moratoire
« est une première mondiale », a affirmé le président français.
« Le temps de la crise, on laisse les économies africaines respirer et ne
pas servir les intérêts de la dette. C'est une étape indispensable et je pense
que c'est une formidable avancée. » « Chaque année, un tiers de
ce que l'Afrique exporte sur le plan commercial sert à servir sa dette. C'est
fou ! Et on a accru ce problème ces dernières années », a-t-il
relevé, rappelant qu'il était « favorable à une initiative d'annulation de
dette massive ».Kako Nubukpo : « Pourquoi les dettes africaines reviennent toujours ? »
… et ne pas
oublier de soutenir l'Afrique sur les plans sanitaire et économique
« Nous
devons absolument aider l'Afrique à renforcer ses capacités à répondre au choc
sanitaire et nous devons a fortiori l'aider sur le plan économique », a
insisté M. Macron. Même si, jusqu'à présent, la pandémie semble moins toucher
l'Afrique que le reste du monde, le président français a appelé à la prudence.
« Je ne suis ni dans les catastrophistes, je ne veux pas non plus être
dans les naïfs. Ce virus aujourd'hui, il touche tout le
monde. » « J'ai beaucoup parlé avec mes partenaires africains
pour qu'ils décident au maximum des confinements et qu'ils retardent l'épidémie :
plus ils la retardent, plus les Européens sont en situation de leur apporter de
l'aide, parce qu'on n'aura pas le pic épidémique au même moment », a
continué Emmanuel Macron.7 points clés pour comprendre ce que le Covid-19 va coûter à l'Afrique
Il a plaidé pour une mobilisation de toutes les institutions internationales et des fondations privées pour la mise au point rapide d'un traitement et d'un vaccin contre le Covid-19. De cette façon, selon lui, « on se met en situation, le jour où on a un traitement, de le rendre accessible au continent africain en même temps qu'il sera accessible chez nous. Donc pas d'histoires de propriété intellectuelle, de délais, de sous : on se met en capacité de le faire. Pour le vaccin, pareil. »
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Et donc avant de s’occuper de l’Afrique que l’on traine comme un boulet
depuis la décolonisation depuis + de 60 ans qu’il s’occupe déjà de la France qui
est en crise et des français qui lui ont fait confiance ?!
Car ce qu’il a évoqué sur les gens âgés est inadmissible !
Cela rappelle des jours sombres pour certains anciens, comme pendant la
dernière guerre inutile de le rappeler, que l’on marquait, cela s'appelle de la
discrimination, car quand des personnes âgées sortiront pour faire des courses,
respirer un peu, ou sortir leurs chiens, il y aura de bonnes âmes pour les
montrer du doigt, voire même les dénoncer, car sur cette attestation de
déplacement qui est déjà un frein à de simple liberté de circuler, la date
de naissance est déjà obligatoire !
Et hélas en France la délation a déjà existé et ça marchait même bien,
car tout le monde n’est pas beau et gentil, notre histoire contemporaine nous
le rappelle !
Je ne sors plus de chez moi depuis début mars, car je respecte les règlements
et n’est pas besoin d’un bout de papier pour que l’on me l’interdise, mais qu’on
mette des français en prisons chez eux et encore pour ceux qui ont un chez soi
ou dans des mouroirs parce qu’ils sont vieux, c’est une régression, voir un
crime dans un pays qui se dit être des droits de l’homme et prône la liberté !
Je ne sais pas si le président lira mon commentaire, mais que la
rédaction du point n’hésite pas à lui faire suivre cela rendra service à
beaucoup de français que l’on veut mettre de côté parce qu’ils gênent !
Je signe mon commentaire pour d’autres comme moi qui ont été choqués
pour ne pas dire autre chose, mais dont certains élus font partis de par
leurs âges !
Jacques DECLEF 15/04/2020 né en 1947, 73 ans en mai
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire