vendredi 17 avril 2020

Spectacle hypocrite de ces politiciens élus qui ne seront jamais d'accords, car bornés croyant être les meilleurs, les uns plus que les autres avec leurs politiques : gauche, droite, écolos ou extrêmes !


Le mirage de l'« union nationale »

CHRONIQUE. Le président en a évoqué l'idée, mais les oppositions avancent toutes de bonnes raisons de détourner les yeux. Pour toujours ?

L'union sacrée, en période de crise, voire de « guerre », est une tentation agitée par le président de la République lors de son allocution du lundi 13 avril. « Il nous faudra bâtir une stratégie où nous retrouverons le temps long, la possibilité de planifier, la sobriété carbone, la prévention, la résilience. Sachons nous réinventer, moi le premier », a-t-il déclaré. La dernière tentative, toutefois, remonte à la guerre, la vraie, avec le Conseil national de la résistance, qui, en 1944, avait réuni gaullistes et communistes autour de l'objectif commun de la reconstruction.
Le moment est historique, certes, mais tout de même. Les oppositions se méfient de ce qui ressemble à un piège réducteur du débat démocratique, mais surtout à une étreinte potentiellement fatale.

Le smic de Mélenchon, les vociférations de Le Pen

Difficile, tout d'abord, d'imaginer qu'une telle alliance contre l'adversité puisse inclure le Rassemblement national et La France insoumise. Marine Le Pen vocifère à tout-va contre les « mensonges » du gouvernement. Jean-Luc Mélenchon se montre plus mesuré. Il assure une sorte de smic (service minimum de l'Insoumis confiné), mais dénonce par avance tous ceux qui pourraient se montrer intéressés par une opération de débauchage, à commencer par les Verts.
À l'Élysée, il est vrai, l'idée de reverdir le gouvernement ne date pas de la crise épidémique, mais la survenue de celle-ci, et surtout sa durée, donne une seconde vie à cette option, pas vraiment nouvelle en politique. Yannick Jadot serait une belle prise de guerre ; son ralliement risquerait toutefois de contrarier ses ambitions futures…
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Situations inconfortables

Du côté de LR, le président du groupe à l'Assemblée nationale, Damien Abad, a rédigé dès lundi soir un tweet qui a semé le trouble : « Ce soir, l'esprit de concorde a primé (…). Le président donne un nouveau cap. Celui d'un combat résolument collectif contre le Covid-19. » Une formulation qui aurait été jugée unanimement maladroite au sein des instances dirigeantes du parti, dit-on. L'heure, donc, ne serait pas à une nouvelle fracturation de la droite, telle qu'Emmanuel Macron a su la pratiquer après son élection, avec l'aide efficace d'Édouard Philippe. LR se trouve toutefois dans cette position inconfortable où il ne lui est pas possible de se lancer dans la polémique politicienne, mais où il faut néanmoins faire entendre sa différence. Plusieurs de ses ténors ont ainsi mis le paquet sur la question des Ehpad. La ligne de crête reste étroite : se positionner dès que possible en lanceurs d'alerte et « en même temps » voter le projet de loi de finances rectificatif.
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Les grands gagnants, pour l'heure, sont les présidents de région. Xavier Bertrand dans les Hauts-de-France et Laurent Wauquiez en Auvergne-Rhône-Alpes ont annoncé ce jeudi fournir gratuitement à chaque habitant un masque réutilisable. Une façon subliminale de rappeler les insuffisances de l'État en ce domaine.
Quant au Parti socialiste, il se montre étrangement silencieux, refusant de tomber dans le panneau d'un pacte républicain dont les contours ne sont pas dessinés. Ceux qui ont encore le cœur à rire se disent que, faute de bonnes volontés, le président pourra toujours se rabattre sur… Manuel Valls !
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Leaders de partis ringards qui malgré ce grand malheur de cette pandémie française et mondiale se fichent totalement des peuples qu'ils voudraient diriger ou inféoder à leurs idées souvent d'un autre âge !

A noter que ceux en place ne sont pas meilleurs, nos bien-pensants donneurs de leçons !

Pitoyables politiciens qui ne continuent qu'à penser à eux et à leurs avantages si lucratifs ou à gagner le pouvoir, comme nos dirigeants actuels pour se prendre pour des monarques ayant tout pouvoir dont ils ne savent quoi faire pour lutter efficacement contre ce Covid-19 !

Mais en fait, ils ont raison avec ces français si versatiles qui votent si mal, ils auront toujours des gogos pour se faire prendre à leur jeu, surtout si ce virus s’évapore dans l’atmosphère, car ils l’oublieront !

Espérons que cela arrive vite, car pour la France et une majorité de français lambda qui font la majorité du pays « les carottes commencent à être bien cuites » !


Mais pourquoi, les français éternellement, se font rouler dans la farine ( d’ailleurs la farine on n’en trouve plus en IDF...) Sont-ils niais à ce point par ces dirigeants de tous bords par leurs discours de donneurs de leçons moralisateurs, c’est difficilement compréhensible ?!

Jdeclef 17/04/2020 13h47LP

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