Le
nombre de chômeurs a augmenté de plus de 22 % en avril !!
Selon
les chiffres communiqués jeudi par Pôle emploi, la France comptait en
avril 843 000 demandeurs d'emploi de catégorie A de plus qu'en mars.
Du fait du confinement intégral en avril, beaucoup de salariés en contrats courts (intérim ou CDD), qui étaient déjà inscrits en catégorie B (activité réduite de moins de 78 heures) ou C (plus de 78 heures) n'ont plus travaillé du tout et ont basculé en A. En conséquence, après une hausse déjà historique de 7,1 % le mois précédent, le nombre de demandeurs d'emploi en catégorie A a augmenté de 22,6 % pour s'établir à 4,575 millions, un nouveau record. Mais le nombre de ceux en activité réduite (B, C) a, lui, diminué fortement (- 29,9 %).
Des
« entrées sur le marché du travail » différées
« Ainsi,
trois quarts de la hausse en catégorie A est liée à des demandeurs d'emploi en
activité réduite (catégories B et C) le mois précédent et qui ont cessé toute
activité », explique Pôle emploi. Le quart restant est le résultat de
la différence entre les entrées directes en catégorie A de personnes non
inscrites en mars et les sorties de Pôle emploi. Or, avec une chute de
35 %, les sorties de Pôle emploi ont atteint « leur minimum
historique » selon l'opérateur, du fait d'une chute des embauches, des entrées
en stage ou en formation. Bien qu'elles restent supérieures aux sorties,
les inscriptions à Pôle emploi ont elles aussi fortement diminué
(- 19 %).« Certaines personnes ont sans doute, compte tenu de la situation, différé leur entrée sur le marché du travail », souligne Pôle emploi. Les entrées pour fin de mission d'intérim ou fin de contrat reculent (- 18 000 et - 4 600) « mais restent à des niveaux élevés ». Dans un communiqué, le ministère du Travail a jugé que cette hausse du chômage « était prévisible, car avril est le premier mois intégralement marqué par le confinement » qui a conduit « à des non-renouvellements de missions d'intérim ou de contrats courts ainsi qu'à une baisse des embauches en contrats de courte durée ». « Le chômage augmente donc parce que les entreprises, dans le contexte actuel, n'embauchent plus, mais pas parce qu'elles licencient massivement », en conclut le ministère.
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Car avec cette
crise du Covid 19 sanitaire qui en fait est loin d’être jugulée, car ces déconfinements
ne sont qu’un pis-aller qui ne supprime pas ce virus et le freine simplement de la
contamination entre français et encore selon les régions, car au niveau de la pandémie
les scientifiques n’ont rien de probant et pataugent dans leurs hypothèses diverses
sans compter les essais pour d’éventuels vaccins, ou certains laboratoires qui
ne rêvent que de les découvrir pour faire des profits habituels et être les
1ers ?!
Ce qui est
presque plus important et les français ne semble pas s’en rendre compte c’est
le poids de cette la crise économique, car seulement depuis environ 2 mois, elle
a été bloquée et n’est toujours pas repartie, et à la rentrée de septembre qui
même en temps normal est difficile, risque d’être catastrophique, car il y a
comme habituellement les nouveaux jeunes entrant sur le marché du travail,et la
période de congés d’été n’est pas propice aux emplois pérennes, avec un chômage
qui a déjà augmenté comme on n’avait jamais vu à ce point et qui continue à
grimper, car le patronat frileux ne propose pas d’emploi du tout ?!
Donc le réveil
de beaucoup de français lambda risque d’être un mauvais cauchemar et il ne faut
pas compter sur un gouvernement et nos dirigeants de tous bords qui ont déjà
montré dans le passé leur incapacités à régler ces problèmes d’emplois et qui
en plus se réfugierons derrière l’excuse du Covid 19 cause de tout ?!
Jdeclef 29/05/2020
12h50
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