Ce squat
de Bagnolet qui pourrait servir de QG secret à l'ultragauche
Quatre
personnes ont été interpellées dimanche soir par la police, avant d'être
déférées au parquet de Bobigny pour fabrication d'engins explosifs.
Ce lieu autrefois réputé de la Seine-Saint-Denis, mais tombé en déshérence, est devenu un squat de la mouvance anarcho et gauchiste, selon les ex-renseignements généraux de la préfecture de police. Sur les murs tagués, les baqueux ont pu noter quelques inscriptions, parmi lesquelles : « Bienvenue à notre QG Paris Antifa75 » ; « Un flic, une balle, justice sociale ».
Fabrication d'engins explosifs
Les flics de la BAC ont interpellé un couple sortant du squat. Le
jeune homme de 30 ans, connu des services de police pour violences, et la
jeune femme âgée de 29 ans avaient pourtant pris soin, avant d'entrer, de
surveiller les alentours et de vérifier s'ils n'avaient pas été suivis.
Menottés, ils n'ont opposé aucune résistance lors de leur arrestation. Aucun
objet dangereux n'a été retrouvé sur eux. Ils ont été placés en garde à vue.Sabotage de réseaux téléphoniques : les sites d'ultragauche jubilent
La veille, deux autres personnes avaient été interpellées et également placées en garde à vue. Elles sortaient du même refuge en possession de cocktails Molotov, confectionnés sur place, selon la police, et des mortiers d'artifice récupérés à l'intérieur. Tous ces militants sont mis en cause pour « participation à un groupement en vue de commettre des violences et fabrication d'engins explosifs ».
Réquisition de détention provisoire
À l'issue des gardes à vue, les quatre personnes ont été déférées
au parquet de Bobigny en vue d'une comparution immédiate à délai différé. Cette
nouvelle procédure mise en œuvre depuis un an permet de continuer à enquêter et
de placer un mis en cause en détention provisoire ou sous contrôle judiciaire
en se passant du juge d'instruction. Le procureur saisit directement le juge
des libertés et de la détention qui statue sur le sort de l'auteur présumé. Le
procureur a requis leur détention provisoire.
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Il faut
sanctionner sévèrement ces types d’individus dangereux qui non comptant que
semer le désordre ou faire des vandalismes divers sont contre la société et la
France ou ils vivent, et la pauvreté n’excuse pas tout !
Car ils
détruisent, ce qu’ils utilisent indirectement notamment avec des sabotages de
matériels publics divers comme des antennes relais de télévision notamment ou câbles
de fibre optique entre autres !
Mais le
second problème est notre justice laxiste et notre code pénal inadapté pour ce
genre de méfaits ou individus que l’on qualifie d’ultra extrême gauche plutôt
des voyous !
Donc,
puisque la police fait son travail, il ne faut pas lui lancer la pierre, car en
matière de sécurité elle est utile, et que ces délinquants ne se plaignent pas
car il y a des « bottages de culs qui se perde » que l’on
excuse ma trivialité, car notre pays va déjà assez mal en cette période de
crise et n’a pas besoin de malfaisants pour augmenter le stress actuel avec la
situation économique que se dégrade !
Et donne des
raisons de plus à nos dirigeants pour resserrer nos libertés déjà écornées,
sous prétexte de cette crise sanitaire, en glissant vers une démocrature
larvée !
Jdeclef 20/05/2020 09h07LP
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