mercredi 20 mai 2020

Trop de liberté mal contrôlée mène à l'anarchie !


Ce squat de Bagnolet qui pourrait servir de QG secret à l'ultragauche

Quatre personnes ont été interpellées dimanche soir par la police, avant d'être déférées au parquet de Bobigny pour fabrication d'engins explosifs.


La police a-t-elle enfin trouvé le quartier général des « Antifa » (antifascistes, NDLR) parisiens ? Ou ne s'agit-il que d'un simple dépôt de « munitions » en vue de préparer « l'insurrection qui vient », voire « le grand soir » ? Dimanche, en filochant des militants considérés comme membre de l'ultragauche, les policiers en civil de la brigade anticriminalité ont découvert plusieurs dizaines d'objets incendiaires – des cocktails Molotov prêts à l'emploi – fabriqués dans l'ancienne clinique de la Dhuys située à Bagnolet, face au 46, rue Lénine.
Ce lieu autrefois réputé de la Seine-Saint-Denis, mais tombé en déshérence, est devenu un squat de la mouvance anarcho et gauchiste, selon les ex-renseignements généraux de la préfecture de police. Sur les murs tagués, les baqueux ont pu noter quelques inscriptions, parmi lesquelles : « Bienvenue à notre QG Paris Antifa75 » ; « Un flic, une balle, justice sociale ».

Fabrication d'engins explosifs

Les flics de la BAC ont interpellé un couple sortant du squat. Le jeune homme de 30 ans, connu des services de police pour violences, et la jeune femme âgée de 29 ans avaient pourtant pris soin, avant d'entrer, de surveiller les alentours et de vérifier s'ils n'avaient pas été suivis. Menottés, ils n'ont opposé aucune résistance lors de leur arrestation. Aucun objet dangereux n'a été retrouvé sur eux. Ils ont été placés en garde à vue.
Sabotage de réseaux téléphoniques : les sites d'ultragauche jubilent
La veille, deux autres personnes avaient été interpellées et également placées en garde à vue. Elles sortaient du même refuge en possession de cocktails Molotov, confectionnés sur place, selon la police, et des mortiers d'artifice récupérés à l'intérieur. Tous ces militants sont mis en cause pour « participation à un groupement en vue de commettre des violences et fabrication d'engins explosifs ».

Réquisition de détention provisoire

À l'issue des gardes à vue, les quatre personnes ont été déférées au parquet de Bobigny en vue d'une comparution immédiate à délai différé. Cette nouvelle procédure mise en œuvre depuis un an permet de continuer à enquêter et de placer un mis en cause en détention provisoire ou sous contrôle judiciaire en se passant du juge d'instruction. Le procureur saisit directement le juge des libertés et de la détention qui statue sur le sort de l'auteur présumé. Le procureur a requis leur détention provisoire.
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Il faut sanctionner sévèrement ces types d’individus dangereux qui non comptant que semer le désordre ou faire des vandalismes divers sont contre la société et la France ou ils vivent, et la pauvreté n’excuse pas tout !

Car ils détruisent, ce qu’ils utilisent indirectement notamment avec des sabotages de matériels publics divers comme des antennes relais de télévision notamment ou câbles de fibre optique entre autres !

Mais le second problème est notre justice laxiste et notre code pénal inadapté pour ce genre de méfaits ou individus que l’on qualifie d’ultra extrême gauche plutôt des voyous !

Donc, puisque la police fait son travail, il ne faut pas lui lancer la pierre, car en matière de sécurité elle est utile, et que ces délinquants ne se plaignent pas car il y a des « bottages de culs qui se perde » que l’on excuse ma trivialité, car notre pays va déjà assez mal en cette période de crise et n’a pas besoin de malfaisants pour augmenter le stress actuel avec la situation économique que se dégrade !

Et donne des raisons de plus à nos dirigeants pour resserrer nos libertés déjà écornées, sous prétexte de cette crise sanitaire, en glissant vers une démocrature larvée !

Jdeclef  20/05/2020 09h07LP

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